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Lors de la première, Nicolas Sarkozy, président de la Vérépublique, joue pour la "corruption" devant le tribunal correctionnel. Au sud du plateau LCI, Jean-Michel Aphatie n'est pas monté au sol j'aurai un fils à respecter. Lundi 23 novembre, Nicolas Sarkozy compare le devant du tribunal correctionnel de Paris pour l'affaire des "écoutes", la loi sous le nom de "affaire Bismuth". L'ancien président de la République est joué pour "corruption", "trafic d'influence" et "violation du secret professionnel". Sur le plateau de LCI ce même jour, Eric Brunet et ses invités ont été interrogés: «Les juges s'acharnent-ils?» Le journaliste Jean-Michel Aphatie n'éprouve aucune compassion à l'égard de l'ancien chef de l «État. "Si Nicolas Sarkozy veut nous dissiper les soupçons, il faut qu'il soit beaucoup plus clair et transparent sur les relations qu'il a divertit avec Mouammar Kadhafi", a-t-il commencé. Avant d’ajouter: «Nicolas Sarkozy cache une vérité. Je ne sais pas ce qu’elle est, mais tant il la cache, il en souffre. " Jean-Michel Aphatie dans un profit pour interpeler ses confrères.
"Comment admettre - vous savez, Nicolas Sarkozy est très à cheval sur les principes - qu'un ancien président de la République accepte de dialoguer avec es avocat en utilisant des mesures de voyous?", Ai-je demandé l'intéressé, à l'avance que le Si Nicolas Sarkozy «avait eu le respect, comme il dit l'avoir, des valeurs et des principes», il aurait refusé La proposition de Thierry Herzog de «louer une fausse ligne téléfonique au nom d'un de (ses) vieux copains de classe» dans la lignée de «parler tranquille». Selon lui, l'ancien président aurait du lui répondre: «Je n'accepte pas un tel procédé. "
Des tensions qui ne datent pas d'hier
Entre Nicolas Sarkozy et Jean-Michel Aphatie, les tensions ne datent pas d'hier. Ils ne s’apprécient guère. Et les deux hommes n’ont jamais hésité à le faire savoir. En 2014, l’époux de Carla Bruni envisage un retour sur la scène politique. Pour marquer les esprits, l’ancien président de la République voulait le médium. Quel journaliste allait-il donner l’exclusivité de cette information? «Pas à ce connard d'Aphatie de Canal +», avait-il affirmé à nos confrères du magazine L'Express. Enfin, Laurent Delahousse est sur le point d'obtenir le privilège de l'interrogatoire.