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Algeria Blows Another Chance at Reform

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  • Algeria Blows Another Chance at Reform

    Bloomberg Opinion
    Par Bobby GHOSH
    Paru le 20/11/2020



    If you’re looking for a redeeming feature in the farce that was Algeria’s constitutional referendum, it may be this: The ruling clique didn’t pretend it got a ringing endorsement. The official turnout was 23%, the country’s lowest ever, and 67% supported the changes.In other words, less than 16% of eligible voters favor the proposals.
    The referendum was an opportunity for President Abdelmadjid Tebboune to overcome the skepticism surrounding his election last year and claim a meaningful mandate from Algerians. Instead, he must now preside over a restive population that has spiked his tepid attempt at reform. This rejection will severely hamper his government’s ability to deal with the economic and public-health crises brought on by the pandemic, as well as the impact of low oil prices.
    The government is struggling to explain away the embarrassment. Mohamed Charfi, head of the Algerian elections authority, has tried to argue that, given the coronavirus pandemic, a 23% turnout actually demonstrates that Algerians “crave democratic change.”
    Nice try, Mr. Charfi, but it won’t wash. Algerians know that their government is still essentially run by a cabal of military, political and business leaders known collectively as “le pouvoir,” or “the power.” They clearly did not feel the proposed alterations to the constitution represented the change they crave. The proposals were rejected by Hirak, the protest movement that bought down President Abdelaziz Bouteflika last year. Hirak is demanding more meaningful change, including a constituent assembly, an independent judiciary and fairer distribution of Algeria’s wealth.
    The changes put to the plebiscite are strictly small-bore. They allow for some transparency in elections and in the management of public funds. But although they limit the president to two five-year terms — Bouteflika ruled for 20 — they do little to curb the power of the office. Nor do they represent a substantial check on “the power.”

    But in a way, the dismal turnout has achieved what the changes did not: It left Tebboune, Bouteflika’s successor, politically weakened.
    It doesn’t help that the president is himself in poor health: Tebboune, who is 74, is recovering from a serious bout of Covid-19, which required him to be airlifted to a hospital in Germany.
    Hirak, on the other hand, will be energized by the poor turnout. The momentum of the people-power movement has been slowed by the pandemic, but any doubts about its political power can now be set aside. Demands for more meaningful reform will grow as Hirak seeks to press home its advantage against a debilitated government.
    It is not too late for Tebboune to turn the humiliation of the referendum into an opportunity. He could pronounce himself unsatisfied by the low turnout and call for a do-over — this time, with a more consultative approach that grants Hirak and other groups a substantial role in the process. But that would require both statesmanship and the courage to break with “the power,” qualities that Tebboune has not yet demonstrated.
    The worst outcome would be a return to the old authoritarian playbook of political repression. Happily, this result is unlikely: The military leadership may guard its privileges, but it has shown no appetite for putting down a popular uprising by force. It would be nigh impossible to persuade the men in brass that Hirak represents an existential threat to the Algerian state on the order of the Islamic Salvation Front (better known by its French acronym, FIS) in the 1990s.
    That leaves Tebboune and “the power” in a no-win situation, a fact that will not be lost on Hirak.
    La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

  • #2
    Google traduction

    L'Algérie rate une autre occasion de réforme



    Si vous cherchez un élément rédempteur dans la farce qui était le référendum constitutionnel de l’Algérie, c’est peut-être ceci: la clique au pouvoir n’a pas prétendu avoir reçu un appui retentissant. Le taux de participation officiel était de 23%, le plus bas jamais enregistré dans le pays, et 67% ont soutenu les changements. En d'autres termes, moins de 16% des électeurs éligibles sont favorables aux propositions. Le référendum a été l'occasion pour le président Abdelmadjid Tebboune de surmonter le scepticisme entourant son élection l'an dernier et de revendiquer un mandat significatif des Algériens. Au lieu de cela, il doit maintenant présider une population rétive qui a dopé sa tiède tentative de réforme. Ce rejet entravera gravement la capacité de son gouvernement à faire face aux crises économiques et de santé publique provoquées par la pandémie, ainsi qu’à l’impact des bas prix du pétrole. Le gouvernement a du mal à expliquer cet embarras. Mohamed Charfi, chef de l'autorité électorale algérienne, a tenté de faire valoir que, compte tenu de la pandémie de coronavirus, un taux de participation de 23% démontre en fait que les Algériens «aspirent à un changement démocratique». Bien essayé, M. Charfi, mais ça ne se lave pas. Les Algériens savent que leur gouvernement est toujours essentiellement dirigé par une cabale de chefs militaires, politiques et d'affaires connus collectivement sous le nom de «le pouvoir» ou «le pouvoir». Ils ne pensaient manifestement pas que les modifications proposées à la constitution représentaient le changement dont ils avaient besoin. Les propositions ont été rejetées par Hirak, le mouvement de protestation qui a racheté le président Abdelaziz Bouteflika l'année dernière. Le Hirak demande des changements plus significatifs, notamment une assemblée constituante, un pouvoir judiciaire indépendant et une répartition plus équitable des richesses algériennes. Les modifications apportées au plébiscite sont strictement de petit calibre. Ils permettent une certaine transparence dans les élections et dans la gestion des fonds publics. Mais bien qu'ils limitent le président à deux mandats de cinq ans - Bouteflika a gouverné pendant 20 ans - ils ne font pas grand-chose pour limiter le pouvoir du bureau. Ils ne représentent pas non plus un contrôle substantiel du «pouvoir». Mais d’une certaine manière, la triste participation a permis d’obtenir ce que les changements n’ont pas permis: elle a laissé Tebboune, le successeur de Bouteflika, politiquement affaiblie. Le fait que le président soit lui-même en mauvaise santé n’aide pas: Tebboune, qui a 74 ans, se remet d’un grave épisode de Covid-19, qui l’a obligé à être transporté par avion vers un hôpital en Allemagne. Hirak, en revanche, sera dynamisé par le faible taux de participation. L'élan du mouvement du pouvoir populaire a été ralenti par la pandémie, mais tout doute sur son pouvoir politique peut désormais être mis de côté. Les demandes de réformes plus significatives augmenteront à mesure que Hirak cherchera à faire valoir son avantage contre un gouvernement affaibli. Il n'est pas trop tard pour Tebboune de faire de l'humiliation du référendum une opportunité. Il pourrait se déclarer insatisfait du faible taux de participation et appeler à une reprise - cette fois, avec une approche plus consultative qui accorde au Hirak et à d'autres groupes un rôle substantiel dans le processus. Mais cela exigerait à la fois de la sagesse politique et le courage de rompre avec «le pouvoir», qualités que Tebboune n'a pas encore démontrées. Le pire résultat serait un retour à l'ancien manuel autoritaire de la répression politique. Heureusement, ce résultat est peu probable: la direction militaire peut garder ses privilèges, mais elle n'a montré aucun appétit pour réprimer un soulèvement populaire par la force. Il serait quasiment impossible de persuader les hommes en bronze que le Hirak représente une menace existentielle pour l'État algérien sur l'ordre du Front islamique du salut (mieux connu sous son acronyme français, FIS) dans les années 1990. Cela laisse Tebboune et «le pouvoir» dans une situation sans issue, un fait qui ne sera pas perdu pour Hirak.
    La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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    • #3
      Débat sur le sujet :


      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

      Commentaire


      • #4
        Le Hirak demande des changements plus significatifs, notamment
        1. - une assemblée constituante,
        2. - un pouvoir judiciaire indépendant
        3. - et une répartition plus équitable des richesses algériennes.

        Ce ne sont que quelques points seulement.
        Mais grosso mode, le message du HIRAK est à peu près passé à travers le MONDE ENTIER.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Il parait qu'on prépare Abdelaziz Rehabi pour succéder à Tebboune et conduire une période de transition. Qu'en pensez-vous de ce personnage ?
          La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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          • #6
            Mais, à ce jour, nos Inconscients du POUVOIR MAFIEUX ne veulent rien entendre.

            Leurs équipes travaillent toujours d'arche pied pour tenter d'écraser le contestation populaire.

            Mais sans CONFIANCE de ce peuple, il n'iront pas trop loin. Ils empirent juste leur cas.

            Eux, leurs relais médiatiques et leurs doubaberies partout, n'y changeront rien à la donne.


            Ce POUVOIR MAFIEUX est fini.
            Même avec l'aide de MACRON contre ce PEUPLE
            Même avec l'aide de toutes les PUISSANCES MONDIALES contre ce PEUPLE

            Même avec les tentatives du CLAN du CRIMINEL TOUFIK de faire la CONTRE-REVOLUTION
            en ayant recours

            • à ses services d' INTOX du DRS;
            • sa répression féroce et tout azimut sur tout qui s'ouvre le bec et les dénonce
            • à ses TECHNIQUES pour faire régner la TERREUR et l'ionsécurité parmi le peuple, que tous le monde connait maintenant
            • ou en régénérant leur Système sous une autre forme et d'autres noms, mais avec les mêmes personnages honnis du système.

            Ca ne changera en rien en ce que ce PEUPLE vous Haie ! Et vous reconnais tous. C'est peine perdue. Il faut que vous partiez tous.
            Et le peuple saura se prendre en charge tout seul

            Il est temps que les membres de ce régime, acceptent l'échec de toutes leurs tentatives honteuses et misérables avant que ca ne soit trop tard,

            Et s'il reste au membre de ce régime honni, s'il ont un minimum de PATRIOTISME pour leur pays, qu'ils décident de travailler sérieusement pour donner le pouvoir exclusif au PEUPLE et au PEUPLE SEUL, pour qu'il se prenne en charge face à cette CRISE MONDIALE MULTI-FORMES

            Et tout le monde sera gagnant à la fin. Donner la liberté et la souveraineté à ce peuple, et ce dernier saura oublier les égarements et les erreurs passés de ses ex-gouvernants.
            Dernière modification par Pomaria, 24 novembre 2020, 19h16.
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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            • #7
              Cette fois ci le peuple ne lâchera pas sa constituante.
              Le peuple désormais connaît très bien les éléments et les attributs de la légitimité. Ce n'est pas l'algérien des années 60 ou d'avant 2019.

              El ahrar avait donné plusieurs chance aux élites du dhoubab et aux mentalités archaïques flneux, rndistes et les esclaves du putshisme et du clan d'oujda.

              Ils ont préféré miser sur les généraux, les racistes et aux bureaucrates biberonné au bathisme.

              Les rats essaient de sortir la tête de la ***** dans laquelle ils se sont jetés et dans laquelle de toutes façons le peuple les a assigné en essayant de profiter des tensions à la frontière ouest.
              Rebbi yerrahmek ya djamel.
              "Tu es, donc je suis"
              Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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              • #8
                Depuis l’arrivée du tocard Tebboune, la répression et les traitements humiliants qu'ont subit les hirakistes est sans précédents. Les détenus ont fait même l'objet de torture et d'intimidations, parfois engendrant la mort des victimes.

                Un régime de voyous qui sévit sans retenue et l’échec de cette présidence de pacotille pourrait être une opportunité pour le Hirak...!
                البعره تدل على البعير

                Quand l’injustice devient la loi, la Résistance est un Devoir !✊🏼DZ

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