Sur son lit de mort, Freud a dit : “Il y a une chose que je
n’ai jamais vraiment réussi à comprendre. C’est ce que veulent les femmes.”
Si vous demandez à une fille ce qu’elle veut chez un homme, elle vous répondra : “qu’il m’aime, qu’il me chérisse, qu’il me fasse des cadeaux, qu’il me prenne dans ses bras, qu’il soit romantique, qu’il écoute avec attention mes petits problèmes, qu’il me comprenne, qu’il fasse de temps en temps la vaisselle, la cuisine et le ménage pour moi, qu’il aille au devant de tous mes désirs sans que j’aie à le lui demander, qu’il m’aide à porter les courses, qu’il respecte mes sentiments, qu’il contrôle ses pulsions au lit, qu’il m’offre des fleurs tous les dimanches, qu’il me murmure des mots doux à l’oreille, qu’il me dise que je suis la plus belle, que je suis unique, qu’il se demande comment il avait fait jusque-là pour vire sans moi…”
Et en entendant cela, vous vous dites : “Parfait, je vais lui offrir des chocolats, lui parler d’amour, et elle tombera dans mes bras. L’aimer… moi je ne demande que ça !”. Un beau jour, bombant le torse, vous allez lui faire une déclaration passionnée digne des plus grands films.
Mais que se passe-t-il ? Elle affiche son plus beau sourire, vous sort une excuse bidon et se dérobe plus vite que son ombre. Frustré, humilié, vous versez toutes les larmes de votre corps ne cessant de vous répéter que le besoin d’amour des femmes n’est que pure fiction.
n’ai jamais vraiment réussi à comprendre. C’est ce que veulent les femmes.”
Si vous demandez à une fille ce qu’elle veut chez un homme, elle vous répondra : “qu’il m’aime, qu’il me chérisse, qu’il me fasse des cadeaux, qu’il me prenne dans ses bras, qu’il soit romantique, qu’il écoute avec attention mes petits problèmes, qu’il me comprenne, qu’il fasse de temps en temps la vaisselle, la cuisine et le ménage pour moi, qu’il aille au devant de tous mes désirs sans que j’aie à le lui demander, qu’il m’aide à porter les courses, qu’il respecte mes sentiments, qu’il contrôle ses pulsions au lit, qu’il m’offre des fleurs tous les dimanches, qu’il me murmure des mots doux à l’oreille, qu’il me dise que je suis la plus belle, que je suis unique, qu’il se demande comment il avait fait jusque-là pour vire sans moi…”
Et en entendant cela, vous vous dites : “Parfait, je vais lui offrir des chocolats, lui parler d’amour, et elle tombera dans mes bras. L’aimer… moi je ne demande que ça !”. Un beau jour, bombant le torse, vous allez lui faire une déclaration passionnée digne des plus grands films.
Mais que se passe-t-il ? Elle affiche son plus beau sourire, vous sort une excuse bidon et se dérobe plus vite que son ombre. Frustré, humilié, vous versez toutes les larmes de votre corps ne cessant de vous répéter que le besoin d’amour des femmes n’est que pure fiction.
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