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Investissement français:L'Algérie nouvelle destination ?

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  • Investissement français:L'Algérie nouvelle destination ?

    Le club Ubifrance, affilié au ministère français de l'Economie et des Finances, a eu le mérite d'organiser en collaboration avec Michel Caffarelli et Pierre Mourlevat, respectivement président de la Chambre française du commerce et de l'industrie en Algérie (Cfcia) et conseiller du commerce extérieur de la France, un séminaire qui diffère des forums précédents tant par le haut niveau des participants que par une actualité économique mise en relief par son thème.
    Les promoteurs de la rencontre ont cherché comment "encourager les investisseurs français à choisir la nouvelle destination, Algérie, qui offre de larges opportunités plurisectorielles et à long terme". Ubi France, qui intervient dans la coordination des démarches entreprises par les différents organismes économiques français dans le but de redynamiser le rôle des investisseurs français dans le monde, fait remarquer aux investisseurs français que les politiques de réformes financières, initiées par l'Algérie depuis 2002, ont abouti à un taux de croissance de 5%.
    Des exploits économiques que ne doivent pas laisser indifférents les investisseurs français. Les banques, telles que la Société Générale Algérie, BNP Paribas Algérie et d'autres industriels français étaient présents à ce séminaire pour faire part de leur expérience réussie en Algérie.
    Leur ont fait face des représentants de l'Agence nationale pour le développement de l'investissement et de l'Institut de développement des ressources humaines qui vont s'attarder sur les thèmes : "Pourquoi faut-il investir en Algérie ?" et "Le financement de l'investissement ".
    De nombreuses sociétés algériennes, dont la SNVI et autres opérateurs des secteurs de l'agroalimentaire, la pharmacie, l'hôtellerie, du tourisme… vont animer des débats autour du "programme de privatisation et les transferts de technologie", "des besoins et opportunités sectorielles ou comment sortir de la dépendance vis-à-vis du secteur des hydrocarbures", ou encore "comment être présent en Algérie : entre stratégie et réalité". Le président de la Chambre française du commerce et de l'industrie en Algérie (Cfcia), Michel Caffarelli, et Pierre Mourlevat, conseiller du commerce extérieur de la France, vont pour leur part enrichir les débats en insistant sur le climat propice des affaires en Algérie. "Il faut aller investir y maintenant.
    Il faut occuper le terrain", en évoquant la concurrence internationale "extrêmement aiguisée sur le marché algérien". Michel Caffarelli a lancé à l'adresse des investisseurs : "Pour mieux connaître les opportunités qu'offre ce pays ami, il faut se déplacer", soulignant que "l'hospitalité est la grande qualité de l'Algérie et de son peuple. L'Algérie vous accueillera très bien", a-t-il dit aux entrepreneurs français.
    En homme sage, le président de la Cfcia insistera sur le fait que le meilleur moyen de réussir le placement des capitaux est "de ne pas y aller avec un esprit de terrain conquis, de respecter les spécificités socioculturelles du peuple algérien et de tenir les promesses faites en matière d'investissements et de création d'emplois".
    L'année 2006 a connu la visite en Algérie, du Medef, conduit en mai 2006 par Mme Laurence Parisot, à la tête d'une délégation composée de 70 chefs d'entreprises et dont la mission visait au renforcement de la présence française sur le marché algérien.
    D'autres rencontres, toujours visant à l'investissement en Algérie, ont été organisées, notamment celle de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP) qui a traité le thème : "Algérie : analyse d'un marché en pleine mutation" et relevé que "l'Algérie présente le plus important potentiel de croissance en matière de développement économique du Maghreb et constitue, depuis plusieurs années, un marché très porteur pour les entreprises étrangères" ; et celle de l'assureur crédit français à l'exportation COFACE, qui a tenu à rassurer qu'investir en Algérie ne présente plus le même risque.
    Source: le point eco

  • #2
    mon sentiment: toutes ces rencontres sont nécesssaires pour donner une impulsion nouvelle aux investissements étrangers en Algérie, mais sur le terrain peu de concrétisation; il faut essayer de comprendre pourquoi existe encore cette réticence alors que le marché algérien est prometteur.
    Mr NOUBAT

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    • #3
      La prise en main de la BNP et de la SG du secteur banquaire en Algerie aura un effet sur l'installation de firmes francaises dans notre pays !
      ?

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      • #4
        Exact BallZ. Je suis d'accord avec toi. Je pense que le deblocage de la situation bancaire va coincider avec la multiplication des IDE vers l'Algerie. Le chantier n°1 à terminer pour liberaliser l'economie algerienne c'est celui la.
        Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
        "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
        Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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        • #5
          ie, mais sur le terrain peu de concrétisation; il faut essayer de comprendre pourquoi existe encore cette réticence alors que le marché algérien est prometteur.

          En effet, c'est essientiellement du aux médias qui salissent l'image de l'Algérie, et également les Algériens eux meme qu'ils soient d'Algérie ou de France qui aiment à dépeindre l'Algérie non comme un eldorado mais comme une grande mafia ou il ne faut surtout pas investir.

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          • #6
            Bonjour tout le monde

            Le MEDEF n'est pas une organisation de philanthropes. C'est aussi une organisation où l'information circule. Et tant qu'ils sauront que l'élite algérienne exerce ses talents en dehors du pays, que les investisseurs (Rebrab étant l'exeption qui confirme la règle) préfèrent investir leur argent en amérique latine et ailleurs, il n'y aura rien à attendre d'eux, sachant que les problèmes de bureaucratie, de système bancaire obsolète et de foncier industriel ne sont que la partie visible de l'iceberg.
            Wahd chat'ha fi rassi loukan jaw ya3arfouha rejlia

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            • #7
              Investir en Algérie est un casse tête épouvantable.

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              • #8
                Investir en Algérie est un casse tête épouvantable.
                te revoila tamurt!!tes critiques m"ont manquer je dois dire!!donc selon toi il faut laisser tomber l'algerie,c'est sa ,y'as plus d'espoir labas ,a ton avis il faut aller ou!!attend j'essey de deviner!!
                Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                • #9
                  te revoila tamurt!!tes critiques m"ont manquer je dois dire!!donc selon toi il faut laisser tomber l'algerie,c'est sa ,y'as plus d'espoir labas ,a ton avis il faut aller ou!!attend j'essey de deviner!!
                  Les investisseur vont là ou les conditions sont bonnes tout le monde le sait.

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                  • #10
                    alors comment tu explique que les IDE en algerie augemente !!?selon toi les invistisseurs ne savent pas ou ils metent les pieds?!!ou ils sont foux de venir en algerie!!
                    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                    • #11
                      alors comment tu explique que les IDE en algerie augemente !!?selon toi les invistisseurs ne savent pas ou ils metent les pieds?!!ou ils sont foux de venir en algerie!!
                      Ca c'est toi qui le dit...

                      Moi je me base sur la presse économique algérienne qui décrit une situation difficile.

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                      • #12
                        Moi je me base sur la presse économique algérienne qui décrit une situation difficile.
                        ah ici je suis daccord avec toi, desole j'avais pas compris de quoi tu parler, c'est vrai que l'algerie eest toujours victime de la bureacratie qui empeche et ralentis boucoup de projet!!!
                        desole
                        Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                        • #13
                          ah ici je suis daccord avec toi, desole j'avais pas compris de quoi tu parler, c'est vrai que l'algerie eest toujours victime de la bureacratie qui empeche et ralentis boucoup de projet!!!
                          desole
                          C'est pas grave. Ce probléme n'est pas unique à l'Algérie. On le retrouve dans tous les pays arabes malheureusement.

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                          • #14
                            oui et il est plus grave en algerie,malheureusement,!!on a tous vu parexample le temps que met une reponse a une demande d'invistissement en algerie! qui met maximum 7 jours dans les pays normaux, et 21 jours en algerie???!!
                            Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                            • #15
                              oui et il est plus grave en algerie,malheureusement,!!on a tous vu parexample le temps que met une reponse a une demande d'invistissement en algerie! qui met maximum 7 jours dans les pays normaux, et 21 jours en algerie???!!
                              Je pense qu'avec les réformes qui vont venir le pays va rapidement baisser les délais. Il faut laisser le temps au réforme de s'installer et ensuite les choses avanceront d'elle même petit à petit.

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