Par: Rédaction 26 Nov. 2020 à 20:40
Un homme a été violemment tabassé par des policiers dans un studio de musique à Paris. La scène filmée par des caméras de surveillance a été diffusée ce jeudi par le média Loopsider pour des faits qui se sont déroulés samedi dernier dans le 17e arrondissement de la capitale française. « On m’a dit +sale nègre+ plusieurs fois et en me donnant des coups de poing », a témoigné l’homme tabassé, un producteur prénommé Michel.
Les trois policiers, auteurs de l’agression ont été suspendus et une enquête a été ouverte pour « violences par personnes dépositaires de l’autorité publique » et « faux en écriture publique ». L’enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Dans leur rapport, les policiers ont écrit que l’homme les avait agressés, ce que ne montre pas les images de la vidéo qui ont été vues plus de sept millions de fois jusqu’à ce jeudi soir.
L’affaire a tout de suite débordé sur le terrain politique et provoqué les réactions de plusieurs hommes politiques et même des joueurs de football de l’équipe de France comme Antoine Griezmann. « Sur ces images, ce n’est pas une police républicaine, mais une milice barbare hors de contrôle », a dénoncé Jean-Luc Mélenchon, président de la France insoumise (LFI). « C’est une affaire extrêmement importante à mes yeux et que je suis personnellement depuis samedi », a dit à l’AFP le procureur de Paris Rémy Heitz.
TSA
Un homme a été violemment tabassé par des policiers dans un studio de musique à Paris. La scène filmée par des caméras de surveillance a été diffusée ce jeudi par le média Loopsider pour des faits qui se sont déroulés samedi dernier dans le 17e arrondissement de la capitale française. « On m’a dit +sale nègre+ plusieurs fois et en me donnant des coups de poing », a témoigné l’homme tabassé, un producteur prénommé Michel.
Les trois policiers, auteurs de l’agression ont été suspendus et une enquête a été ouverte pour « violences par personnes dépositaires de l’autorité publique » et « faux en écriture publique ». L’enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Dans leur rapport, les policiers ont écrit que l’homme les avait agressés, ce que ne montre pas les images de la vidéo qui ont été vues plus de sept millions de fois jusqu’à ce jeudi soir.
L’affaire a tout de suite débordé sur le terrain politique et provoqué les réactions de plusieurs hommes politiques et même des joueurs de football de l’équipe de France comme Antoine Griezmann. « Sur ces images, ce n’est pas une police républicaine, mais une milice barbare hors de contrôle », a dénoncé Jean-Luc Mélenchon, président de la France insoumise (LFI). « C’est une affaire extrêmement importante à mes yeux et que je suis personnellement depuis samedi », a dit à l’AFP le procureur de Paris Rémy Heitz.
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