J'ai un total respect pour Chavez et vous...? Un homme si près du pays des ogres et qui osent tant de provoc je ne peut que m'incliner devant autant d'audaces et de courages politiques . Un exemple pour les shmeytes qui dirige nôtre pays.
Hugo Chavez ne veut plus entendre parler du FMI et de la Banque mondial
Le président vénézuélien a déclaré que son pays se retirera des deux organisations, qu'il a qualifiées je cite de "mécanismes de l'impérialisme, destinés à exploiter les pays pauvres". "Nous n'avons pas besoin d'aller à Washington, ni au FMI, ni même à la Banque mondiale. Nous n'avons besoin de personne. Je suis ici pour vous annoncer le retrait de notre pays de ces organisations.", a-t-il déclaré.
Très applaudi, Hugo Chavez a demandé la restitution des fonds investis par le Venezuela dans les deux instances financières. C'est un nouveau coup dur pour la banque mondiale après le scandale entourant son président, l'américain Paul Wolfowitz. C'est aussi un message fort à l'Amérique de George Bush, l'ennemi éternel d'Hugo Chavez.
Le président a également annoncé la poursuite de la nationalisation du pétrole. Les sociétés étrangères comme total, BP ou Shell sont tenues, si elles veulent exploiter les gisements, de s'allier moyennant une forte redevance à la Société Nationale du Pétrole Vénézuélien. Avec trois millions de barils par jours, le pays est le huitième producteur mondial de pétrole.
Hugo Chavez ne veut plus entendre parler du FMI et de la Banque mondial
Le président vénézuélien a déclaré que son pays se retirera des deux organisations, qu'il a qualifiées je cite de "mécanismes de l'impérialisme, destinés à exploiter les pays pauvres". "Nous n'avons pas besoin d'aller à Washington, ni au FMI, ni même à la Banque mondiale. Nous n'avons besoin de personne. Je suis ici pour vous annoncer le retrait de notre pays de ces organisations.", a-t-il déclaré.
Très applaudi, Hugo Chavez a demandé la restitution des fonds investis par le Venezuela dans les deux instances financières. C'est un nouveau coup dur pour la banque mondiale après le scandale entourant son président, l'américain Paul Wolfowitz. C'est aussi un message fort à l'Amérique de George Bush, l'ennemi éternel d'Hugo Chavez.
Le président a également annoncé la poursuite de la nationalisation du pétrole. Les sociétés étrangères comme total, BP ou Shell sont tenues, si elles veulent exploiter les gisements, de s'allier moyennant une forte redevance à la Société Nationale du Pétrole Vénézuélien. Avec trois millions de barils par jours, le pays est le huitième producteur mondial de pétrole.
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