José Ignacio Sánchez : “La situation est grave et déplorable en Algérie à cause du pouvoir militaire”
ALGERIEPART PLUS
26 NOVEMBER 2020
Ce jeudi matin, le Parlement Européen a lancé les travaux de sa séance plénière sur la situation chaotique dans laquelle patauge les Droits de l’Homme en Algérie. Et à ce titre, le député espagnol, José Ignacio Sánchez Amor, membre du Parti socialiste ouvrier espagnol, s’en est pris violemment au “pouvoir militaire” en Algérie qu’il accuse de violer les Droits de l’Homme.
“L’Algérie est un pays important pour nous”, a-t-il dit d’emblée lors de son intervention diffusée lors des séances additionnelles qui se tiennent toute la journée de ce jeudi à l’Espace Léopold, à Bruxelles en Belgique. L’euro-député espagnol a pointé du doigt le décalage qui existe entre le discours officiel du régime algérien et la réalité amère de la répression qui est pratiquée quotidiennement à l’encontre des activistes du Hirak ou des journalistes indépendants comme Khaled Drareni ainsi que Said Boudour.
“Le régime algérien proposer des changements de façade alors que les Algériens ne veulent plus de promesses vides de sens. Nous constatons une répression considérable, des abus, des mauvais traitements, une censure effroyable. Tout cela doit finir”, dénonce José Ignacio Sánchez Amor qui s’appuie sur le cas de Khaled Drareni pour affirmer que la “situation en Algérie est grave et déplorable”.
Selon, il faut circonscrire le pouvoir militaire en Algérie dont les fausses promesses suscitent le mépris des Algériens. José Sanchez Amor appellent les autorités européennes à soutenir les revendications pacifiques et démocratiques du Hirak pour permettre à l’Algérie de vivre un véritable changement démocratique. “Nous souhaitons avoir en face de nous au-delà de la Méditerranée un pays démocratique”, conclut l’europ-député espagnol.
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26 NOVEMBER 2020
Ce jeudi matin, le Parlement Européen a lancé les travaux de sa séance plénière sur la situation chaotique dans laquelle patauge les Droits de l’Homme en Algérie. Et à ce titre, le député espagnol, José Ignacio Sánchez Amor, membre du Parti socialiste ouvrier espagnol, s’en est pris violemment au “pouvoir militaire” en Algérie qu’il accuse de violer les Droits de l’Homme.
“L’Algérie est un pays important pour nous”, a-t-il dit d’emblée lors de son intervention diffusée lors des séances additionnelles qui se tiennent toute la journée de ce jeudi à l’Espace Léopold, à Bruxelles en Belgique. L’euro-député espagnol a pointé du doigt le décalage qui existe entre le discours officiel du régime algérien et la réalité amère de la répression qui est pratiquée quotidiennement à l’encontre des activistes du Hirak ou des journalistes indépendants comme Khaled Drareni ainsi que Said Boudour.
“Le régime algérien proposer des changements de façade alors que les Algériens ne veulent plus de promesses vides de sens. Nous constatons une répression considérable, des abus, des mauvais traitements, une censure effroyable. Tout cela doit finir”, dénonce José Ignacio Sánchez Amor qui s’appuie sur le cas de Khaled Drareni pour affirmer que la “situation en Algérie est grave et déplorable”.
Selon, il faut circonscrire le pouvoir militaire en Algérie dont les fausses promesses suscitent le mépris des Algériens. José Sanchez Amor appellent les autorités européennes à soutenir les revendications pacifiques et démocratiques du Hirak pour permettre à l’Algérie de vivre un véritable changement démocratique. “Nous souhaitons avoir en face de nous au-delà de la Méditerranée un pays démocratique”, conclut l’europ-député espagnol.
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