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La presse israélienne qualifie les combats au Sahara occidental de "violents et dangereux".
Madrid, le 27 novembre 2020. - Lehbib Abdelhay / ECS
Ce jeudi 26 novembre 2020, les médias israéliens ont qualifié les affrontements guerriers qui se sont déroulés entre les armées sahraouie et marocaine depuis le 13 novembre comme sanglants et dangereux.
La presse israélienne a révélé que la gravité des événements au Sahara Occidental et leurs répercussions sur le trône marocain ont conduit le rabbin marocain Josiah Pinto, chef de la Cour suprême rabbinique du Maroc, considérée comme l'une des personnalités proches du roi du Maroc, à donner au alarme sur les répercussions de la guerre au Sahara Occidental sur l'avenir du roi et de son trône.
Mercredi soir, le rabbin juif a adressé un discours aux Juifs marocains et au monde entier, les invitant à prier pour le roi Mohamed VI et son trône, notant que le roi avait embrassé les Juifs et les avait défendus.
Le rabbin juif a clairement indiqué que le Maroc n'était pas prêt à la guerre en raison de sa situation interne, qui s'est affaiblie à la suite de l'éclosion de la pandémie de coronavirus, de la crise économique et de la fermeture des frontières.
Madrid, le 27 novembre 2020. - Lehbib Abdelhay / ECS
Ce jeudi 26 novembre 2020, les médias israéliens ont qualifié les affrontements guerriers qui se sont déroulés entre les armées sahraouie et marocaine depuis le 13 novembre comme sanglants et dangereux.
La presse israélienne a révélé que la gravité des événements au Sahara Occidental et leurs répercussions sur le trône marocain ont conduit le rabbin marocain Josiah Pinto, chef de la Cour suprême rabbinique du Maroc, considérée comme l'une des personnalités proches du roi du Maroc, à donner au alarme sur les répercussions de la guerre au Sahara Occidental sur l'avenir du roi et de son trône.
Mercredi soir, le rabbin juif a adressé un discours aux Juifs marocains et au monde entier, les invitant à prier pour le roi Mohamed VI et son trône, notant que le roi avait embrassé les Juifs et les avait défendus.
Le rabbin juif a clairement indiqué que le Maroc n'était pas prêt à la guerre en raison de sa situation interne, qui s'est affaiblie à la suite de l'éclosion de la pandémie de coronavirus, de la crise économique et de la fermeture des frontières.
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