Nouvelle victoire d’Algérie Part devant les tribunaux français
ALGERIEPART PLUS
27 NOVEMBER 2020
Lorsque la Justice est indépendante, la liberté de la presse triomphe. Algérie Part vient de gagner un nouveau procès qui lui a été intenté devant les tribunaux français. En effet, notre rédacteur en chef, Abdou Semmar a été relaxé par la chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Poitiers dans l’affaire qui l’oppose à Bouchareb Kahina, la nièce de l’ex-ministre de l’Industrie et ancien directeur de communication d’Abdelaziz Bouteflika lors de sa campagne électorale pour le 4e mandat en 2014, Abdesslam Bouchouareb.
La justice française a estimé que le travail d’Abdou Semmar ne relève aucunement de la diffamation et qui ne porte pas atteinte à l’honneur de la personne citée dans les investigations d’Algérie Part. Des investigations qui s’appuient sur des documents irréfutables et des faits véridiques recoupés. Dans notre démarche journalistique, il n’y a aucune animosité personnelle et le droit de réponse a été garanti à la personne citée qui se sentait diffamée ou injuriée.
C’est la troisième victoire judiciaire de la rédaction d’Algérie Part et d’Abdou Semmar devant les juridictions françaises après celles arrachées en septembre 2019 contre le milliardaire et oligarque Mohamed Laid Benamor et en mai 2020 contre Anis Rhamani, l’ex-magnat de la presse et patron d’Ennahar TV. Cette nouvelle victoire judiciaire consacre le professionnalisme du travail d’Algérie Part qui est reconnu comme un média francophone disposant d’une immense communauté de lectrices et de lecteurs. Un média de référence consulté à travers le monde entier et qui demeure encore censuré en Algérie depuis l’été 2019. Algérie Part travaille dans le plus grand respect des normes les plus sérieuses du journalisme d’investigation
Malheureusement, si en France, la justice reconnaît la valeur et l’intégrité de notre travail, en Algérie, nous sommes persécutés, censurés et nous n’avons même pas le droit à des procès équitables pour défendre nos enquêtes menées avec beaucoup d’abnégation devant des juges impartiaux et professionnels. C’est dommage pour la liberté de la presse.
ALGERIEPART PLUS
27 NOVEMBER 2020
Lorsque la Justice est indépendante, la liberté de la presse triomphe. Algérie Part vient de gagner un nouveau procès qui lui a été intenté devant les tribunaux français. En effet, notre rédacteur en chef, Abdou Semmar a été relaxé par la chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Poitiers dans l’affaire qui l’oppose à Bouchareb Kahina, la nièce de l’ex-ministre de l’Industrie et ancien directeur de communication d’Abdelaziz Bouteflika lors de sa campagne électorale pour le 4e mandat en 2014, Abdesslam Bouchouareb.
La justice française a estimé que le travail d’Abdou Semmar ne relève aucunement de la diffamation et qui ne porte pas atteinte à l’honneur de la personne citée dans les investigations d’Algérie Part. Des investigations qui s’appuient sur des documents irréfutables et des faits véridiques recoupés. Dans notre démarche journalistique, il n’y a aucune animosité personnelle et le droit de réponse a été garanti à la personne citée qui se sentait diffamée ou injuriée.
C’est la troisième victoire judiciaire de la rédaction d’Algérie Part et d’Abdou Semmar devant les juridictions françaises après celles arrachées en septembre 2019 contre le milliardaire et oligarque Mohamed Laid Benamor et en mai 2020 contre Anis Rhamani, l’ex-magnat de la presse et patron d’Ennahar TV. Cette nouvelle victoire judiciaire consacre le professionnalisme du travail d’Algérie Part qui est reconnu comme un média francophone disposant d’une immense communauté de lectrices et de lecteurs. Un média de référence consulté à travers le monde entier et qui demeure encore censuré en Algérie depuis l’été 2019. Algérie Part travaille dans le plus grand respect des normes les plus sérieuses du journalisme d’investigation
Malheureusement, si en France, la justice reconnaît la valeur et l’intégrité de notre travail, en Algérie, nous sommes persécutés, censurés et nous n’avons même pas le droit à des procès équitables pour défendre nos enquêtes menées avec beaucoup d’abnégation devant des juges impartiaux et professionnels. C’est dommage pour la liberté de la presse.
Commentaire