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Pourquoi la longue hospitalisation du Président algérien à l’étranger est devenue une source de danger pour la sécurité nationale
ALGERIEPART PLUS
27 NOVEMBER 2020
Nous sommes à la veille du premier mois d’hospitalisation d’Abdelmadjid Tebboune en Allemagne. Depuis le 28 octobre dernier, la vie du Président algérien est entre les mains des médecins et spécialistes allemands. A Cologne d’abord, ensuite à Berlin, tous les dessous de l’état de santé du Président algérien sont à la portée des autorités allemandes. Sur le plan purement géostratégique, nous sommes bel et bien face à un énorme danger de sécurité nationale auquel s’expose l’Algérie. Et ce n’est pas une rigolade qu’il faut prendre à la légère.
Un Chef d’Etat, ce n’est pas un patient comme tous les autres. Ce n’est pas du tout un patient ordinaire. Un Chef d’Etat est la “boite noire” du pays qu’il dirige. Son “coffre-fort” qui contient tous ses secrets. Or, lorsque ce Chef d’Etat est à l’étranger pour une si longue période et dans un état de santé très chancelant, il est très fragile et dépend entièrement des spécialistes étrangers qui le soignent pour lui permettre de survivre encore et de s’en sortir face à la maladie. Cette dépendance du Premier responsable du pays, le Chef des Armées du pays, le Premier magistrat du pays, bref l’homme qui décide de tout dans un pays comme l’Algérie, vis-à-vis d’une puissance étrangère soulève de véritables interrogations sur les risques encourus pour la sécurité nationale.
Le danger est très simple à comprendre : quand un pays, ou des pays étrangers, détiennent le bulletin de santé du Président algérien, connaissent ses points forts et ses points faibles, cela leur confère un impressionnant pouvoir d’influence sur les questions internes de l’Algérie. Ce pouvoir d’influence peut rapidement se transformer en un pouvoir de nuisance si, par malheur, ses puissances qui soignent Tebboune décident d’agir contre… l’Algérie.
Aujourd’hui, après un mois d’hospitalisation en Allemagne, Abdelmadjid Tebboune est devenu, malheureusement, le talon d’Achille de l’Etat algérien. Pourquoi ? Parce que les informations sur les évolutions de son état de santé, des évolutions qui vont déterminer les futurs évènements politiques lesquels vont marquer le pays, sont en train de devenir facilement accessibles aux lobbys les plus hostiles à l’Algérie. Il est naturellement question de certains lobbys marocains qui torpillent l’Algérie dans un grave contexte de tension géopolitique dans la région de l’Afrique du Nord. Force est de constater que toutes les dernières informations les plus affolantes sur la santé de Tebboune ont été communiquées par… des médias marocains ou financés par des lobbys affiliés au Maroc. Ces informations sont alarmantes, exagérées et largement amplifiées. Mais, malheureusement, elles contiennent de nombreux éléments factuels confirmés et véridiques. Oui, Tebboune va mal, très mal et il a perdu beaucoup de son poids. Il peine encore à respirer de façon autonome et demeure exposé à un énorme risque d’un fatal AVC qui pourrait causer son décès.
Ces informations encore plus détaillées sont entre les mains de plusieurs services étrangers qui entretiennent de très bonnes relations avec des lobbys marocains ou d’autres lobbys volontairement engagés contre l’Algérie. L’Allemagne est un pays plus au moins neutre. Oui. Mais c’est un pays européen dont la politique extérieure dans la région du Maghreb et de l’Afrique du Nord est claquée sur les intérêts de ses voisins français, espagnols ou italiens. Il faut être naïf pour ne pas croire que les services occidentaux connaissent, désormais, le moindre petit détail de l’intimité du Chef de l’Etat algérien, du premier commandant des armées du pays. Ces informations circulent entre agences spécialisées via des circuits complexes que l’on ne saurait expliquer dans un seul article. Quoi qu’il en soit, la menace contre la sécurité nationale est bel et bien là et n’importe quel pays étranger pourrait déstabiliser l’Algérie en diffusant des informations secrètes sur Tebboune. Cette hospitalisation qui a trop duré va devenir un problème sécuritaire délicat alors qu’elle est déjà un énorme problème politique. A bon entendeur, salut !
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27 NOVEMBER 2020
Nous sommes à la veille du premier mois d’hospitalisation d’Abdelmadjid Tebboune en Allemagne. Depuis le 28 octobre dernier, la vie du Président algérien est entre les mains des médecins et spécialistes allemands. A Cologne d’abord, ensuite à Berlin, tous les dessous de l’état de santé du Président algérien sont à la portée des autorités allemandes. Sur le plan purement géostratégique, nous sommes bel et bien face à un énorme danger de sécurité nationale auquel s’expose l’Algérie. Et ce n’est pas une rigolade qu’il faut prendre à la légère.
Un Chef d’Etat, ce n’est pas un patient comme tous les autres. Ce n’est pas du tout un patient ordinaire. Un Chef d’Etat est la “boite noire” du pays qu’il dirige. Son “coffre-fort” qui contient tous ses secrets. Or, lorsque ce Chef d’Etat est à l’étranger pour une si longue période et dans un état de santé très chancelant, il est très fragile et dépend entièrement des spécialistes étrangers qui le soignent pour lui permettre de survivre encore et de s’en sortir face à la maladie. Cette dépendance du Premier responsable du pays, le Chef des Armées du pays, le Premier magistrat du pays, bref l’homme qui décide de tout dans un pays comme l’Algérie, vis-à-vis d’une puissance étrangère soulève de véritables interrogations sur les risques encourus pour la sécurité nationale.
Le danger est très simple à comprendre : quand un pays, ou des pays étrangers, détiennent le bulletin de santé du Président algérien, connaissent ses points forts et ses points faibles, cela leur confère un impressionnant pouvoir d’influence sur les questions internes de l’Algérie. Ce pouvoir d’influence peut rapidement se transformer en un pouvoir de nuisance si, par malheur, ses puissances qui soignent Tebboune décident d’agir contre… l’Algérie.
Aujourd’hui, après un mois d’hospitalisation en Allemagne, Abdelmadjid Tebboune est devenu, malheureusement, le talon d’Achille de l’Etat algérien. Pourquoi ? Parce que les informations sur les évolutions de son état de santé, des évolutions qui vont déterminer les futurs évènements politiques lesquels vont marquer le pays, sont en train de devenir facilement accessibles aux lobbys les plus hostiles à l’Algérie. Il est naturellement question de certains lobbys marocains qui torpillent l’Algérie dans un grave contexte de tension géopolitique dans la région de l’Afrique du Nord. Force est de constater que toutes les dernières informations les plus affolantes sur la santé de Tebboune ont été communiquées par… des médias marocains ou financés par des lobbys affiliés au Maroc. Ces informations sont alarmantes, exagérées et largement amplifiées. Mais, malheureusement, elles contiennent de nombreux éléments factuels confirmés et véridiques. Oui, Tebboune va mal, très mal et il a perdu beaucoup de son poids. Il peine encore à respirer de façon autonome et demeure exposé à un énorme risque d’un fatal AVC qui pourrait causer son décès.
Ces informations encore plus détaillées sont entre les mains de plusieurs services étrangers qui entretiennent de très bonnes relations avec des lobbys marocains ou d’autres lobbys volontairement engagés contre l’Algérie. L’Allemagne est un pays plus au moins neutre. Oui. Mais c’est un pays européen dont la politique extérieure dans la région du Maghreb et de l’Afrique du Nord est claquée sur les intérêts de ses voisins français, espagnols ou italiens. Il faut être naïf pour ne pas croire que les services occidentaux connaissent, désormais, le moindre petit détail de l’intimité du Chef de l’Etat algérien, du premier commandant des armées du pays. Ces informations circulent entre agences spécialisées via des circuits complexes que l’on ne saurait expliquer dans un seul article. Quoi qu’il en soit, la menace contre la sécurité nationale est bel et bien là et n’importe quel pays étranger pourrait déstabiliser l’Algérie en diffusant des informations secrètes sur Tebboune. Cette hospitalisation qui a trop duré va devenir un problème sécuritaire délicat alors qu’elle est déjà un énorme problème politique. A bon entendeur, salut !