- Par El Khabar
Une source médiatique américaine a indiqué que le gouvernement algérien « traîne » à accepter la remise de ressortissants algériens détenus à Guantanamo, que Washington compte libérer, pour insuffisance de preuves, alors que la famille d’un des prisonniers concernés par l’extradition, a demandé aux autorités de l’accueillir, car « l’Etat est responsable de tous ses ressortissants à l’intérieur et à l’extérieur du pays ».
Dans l’édition de dimanche dernier, le Washington post a publié des informations indiquant que l’ambassadeur itinérant, Clint Williamson, n’est pas parvenu à trouver une solution pour l’extradition de 24 Algériens détenus dans le camp de Guantanamo.
Le journal affirme que l’Algérie « traîne » à accepter les détenus qui devraient être extradés, en se rapportant à l’administration Bush et à la défense des prisonniers.
Clint Williamson s’était rendu en Algérie le 14 avril dernier, où il avait rencontré le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bejaoui et quelques responsables de la Présidence, avec qui il s’était entretenu sur l’extradition de 24 Algériens détenus à Guantanamo.
Le Washington Post évoque le cas d’un prisonnier qui a été informé, en février, qu’il a allait être prochainement libéré, il s’agit de Ahmed Belbacha, emprisonné à la base américaine de Cuba depuis cinq années. Le journal a indiqué que le département d’Etat américain à la défense a informé ses avocats qu’« il pouvait être libéré », mais la Grande- Bretagne a refusé de recevoir Belbacha et « cinq autres Algériens dont elle n’a pas divulgué les noms ».
Rappelons que Belbacha avait quitté l’Algérie pour la Grande-Bretagne en 1999, avant de rejoindre le Pakistan en 2001, pour des raisons inconnues. Il est tombé entre les mains des forces américaines qui ont envahi l’Afghanistan à la fin 2001, et il fut accusé d’entraînement à l’armement, comme on lui a prêté deux rencontres avec Oussama Ben Laden, mais le frère de Ahmed Belbacha, Brahim, a déclaré que le prisonnier a assuré à son avocat britannique qu’il avait été contraint, sous la torture, à avouer qu’il avait été entraîné à l’armement et qu’il avait rencontré Oussama Ben Laden.
Une source médiatique américaine a indiqué que le gouvernement algérien « traîne » à accepter la remise de ressortissants algériens détenus à Guantanamo, que Washington compte libérer, pour insuffisance de preuves, alors que la famille d’un des prisonniers concernés par l’extradition, a demandé aux autorités de l’accueillir, car « l’Etat est responsable de tous ses ressortissants à l’intérieur et à l’extérieur du pays ».
Dans l’édition de dimanche dernier, le Washington post a publié des informations indiquant que l’ambassadeur itinérant, Clint Williamson, n’est pas parvenu à trouver une solution pour l’extradition de 24 Algériens détenus dans le camp de Guantanamo.
Le journal affirme que l’Algérie « traîne » à accepter les détenus qui devraient être extradés, en se rapportant à l’administration Bush et à la défense des prisonniers.
Clint Williamson s’était rendu en Algérie le 14 avril dernier, où il avait rencontré le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bejaoui et quelques responsables de la Présidence, avec qui il s’était entretenu sur l’extradition de 24 Algériens détenus à Guantanamo.
Le Washington Post évoque le cas d’un prisonnier qui a été informé, en février, qu’il a allait être prochainement libéré, il s’agit de Ahmed Belbacha, emprisonné à la base américaine de Cuba depuis cinq années. Le journal a indiqué que le département d’Etat américain à la défense a informé ses avocats qu’« il pouvait être libéré », mais la Grande- Bretagne a refusé de recevoir Belbacha et « cinq autres Algériens dont elle n’a pas divulgué les noms ».
Rappelons que Belbacha avait quitté l’Algérie pour la Grande-Bretagne en 1999, avant de rejoindre le Pakistan en 2001, pour des raisons inconnues. Il est tombé entre les mains des forces américaines qui ont envahi l’Afghanistan à la fin 2001, et il fut accusé d’entraînement à l’armement, comme on lui a prêté deux rencontres avec Oussama Ben Laden, mais le frère de Ahmed Belbacha, Brahim, a déclaré que le prisonnier a assuré à son avocat britannique qu’il avait été contraint, sous la torture, à avouer qu’il avait été entraîné à l’armement et qu’il avait rencontré Oussama Ben Laden.
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