Madrid (Espagne), 1er décembre 2020 (SAPS) - Le conseil municipal de Rivas-Vaciamadrid a approuvé une décision prévoyant la reconnaissance politique de la République sahraouie (RASD), décidant de nommer l'une des places publiques après le peuple sahraoui comme un forme de solidarité et d'engagement pour la cause sahraouie.
Le Conseil a exhorté le gouvernement espagnol à reconnaître officiellement l'État sahraoui et le Front Polisario, qui est un mouvement de libération selon les Nations Unies.
Il a, à cet égard, demandé à accorder aux représentants du Front Polisario le même statut diplomatique dont bénéficie la mission palestinienne en Espagne.
La décision a appelé l'Espagne, ancienne puissance administrante coloniale et de jure, à adopter une attitude plus sérieuse pour défendre les résolutions de l'ONU sur le référendum d'autodétermination, le respect des droits de l'homme et mettre fin au pillage des ressources naturelles.
En ce qui concerne la situation humanitaire des réfugiés sahraouis, le Conseil a demandé au Gouvernement espagnol de multiplier les projets d'aide humanitaire visant à atténuer la grave pénurie de services essentiels dans les camps, dont la nutrition, la santé et l'éducation, entre autres services de base.
Dans un autre contexte, la décision exprimait une profonde préoccupation face aux violations des droits de l'homme perpétrées contre les citoyens sahraouis au Sahara Occidental occupé, appelant à l'arrêt immédiat de la répression, la libération des prisonniers politiques, l'arrêt du pillage des ressources naturelles et permettant l'accès des observateurs internationaux dans le territoires occupés du Sahara occidental.
Le Conseil a souligné la nécessité de prolonger le mandat de la MINURSO pour inclure les droits de l'homme, et pas seulement la surveillance du cessez-le-feu, ajoutant que cela éviterait une augmentation des violations des droits de l'homme, jusqu'à ce que le référendum soit célébré.
Le conseil municipal a saisi l'occasion pour réaffirmer son soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination.
Soutenue par 21 voix, la décision a été transmise au chef de l'ONU, à la commission et au parlement de l'UE, ainsi qu'au palais royal espagnol, à la présidence du gouvernement, au ministère des Affaires étrangères et à la mission permanente auprès de l'ONU. (SPS)
Le Conseil a exhorté le gouvernement espagnol à reconnaître officiellement l'État sahraoui et le Front Polisario, qui est un mouvement de libération selon les Nations Unies.
Il a, à cet égard, demandé à accorder aux représentants du Front Polisario le même statut diplomatique dont bénéficie la mission palestinienne en Espagne.
La décision a appelé l'Espagne, ancienne puissance administrante coloniale et de jure, à adopter une attitude plus sérieuse pour défendre les résolutions de l'ONU sur le référendum d'autodétermination, le respect des droits de l'homme et mettre fin au pillage des ressources naturelles.
En ce qui concerne la situation humanitaire des réfugiés sahraouis, le Conseil a demandé au Gouvernement espagnol de multiplier les projets d'aide humanitaire visant à atténuer la grave pénurie de services essentiels dans les camps, dont la nutrition, la santé et l'éducation, entre autres services de base.
Dans un autre contexte, la décision exprimait une profonde préoccupation face aux violations des droits de l'homme perpétrées contre les citoyens sahraouis au Sahara Occidental occupé, appelant à l'arrêt immédiat de la répression, la libération des prisonniers politiques, l'arrêt du pillage des ressources naturelles et permettant l'accès des observateurs internationaux dans le territoires occupés du Sahara occidental.
Le Conseil a souligné la nécessité de prolonger le mandat de la MINURSO pour inclure les droits de l'homme, et pas seulement la surveillance du cessez-le-feu, ajoutant que cela éviterait une augmentation des violations des droits de l'homme, jusqu'à ce que le référendum soit célébré.
Le conseil municipal a saisi l'occasion pour réaffirmer son soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination.
Soutenue par 21 voix, la décision a été transmise au chef de l'ONU, à la commission et au parlement de l'UE, ainsi qu'au palais royal espagnol, à la présidence du gouvernement, au ministère des Affaires étrangères et à la mission permanente auprès de l'ONU. (SPS)
Commentaire