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Les septs merveilles d’Algérie
Fiertén La croyance générale est que le monde ne recèle que sept merveilles. Mais l’Algérie peut se targuer d’avoir autant de merveilles historiques et culturelles, des sites fabuleux, dont quelques-uns classés patrimoine mondial par l’Unesco.
La Kalaa de Beni Hammad classée en 1980, représente les ruines d’une ville musulmane typique. Avec sa mosquée — l’une des plus grandes du pays — dotée d’une salle de prière avec ses 13 nefs à 8 travées, la ville fut la première capitale des ?mirs hammadites fondée en 1007 et démantelée en 1152.
Autre site, autre histoire. Classée en 1982, Djamila l’une des plus importantes citées romaines du IIe siècle et sa colonie de Cuicul, une sentinelle romaine entre Sétif et Constantine a été construite autour d’un forum entouré d’édifices publics. a la fin du IIe siècle Cuicul fut enrichie avec un théâtre de 3 000 places (en l’an 160), des thermes de 2 600 m2 ainsi que la «maison de Bacchus» divinité romaine du vin, de la vigne et du délire mystique.
Dès le début du III e siècle, une grande esplanade publique de 3 200 m2 dallée mise en valeur par deux monuments ; l’Arc de Caracalla (216) et le temple de la Gens Septemia (229) ont été ajoutés . Plus tard, une fontaine, un petit temple, une basilique IV et deux églises cryptes sont venu orner le tout.
Plus au sud, Le Tassili N’Ajjer (classé également en 1982), où figure un des plus anciens arts rupestres du monde. Pas moins de 15 000 desseins et gravures représentant un véritable compte rendu de la vie faunistique et floristique ainsi que l’évolution humaine des gens du Sahara depuis 6 000 ans avant nôtre ère jusqu’au premier siècle du calendrier moderne.
Autre site ; Timgad (classé en 1982), une parfaite infiltration de l’art mosaïque numide au cœur du savoir faire romain. Le Cardo, le decumanus, le théâtre creusé dans la colline, l’arcade Trajan, les thermes du sud, la bibliothèque, la nécropole, le forum, le capitole et de nombreuses églises attestent de l’importance de la ville construite il y a plus de 19 siècles. Fondée en l’an 100 de notre ère, la ville construite sous le règne de l’empereur Tarjan, face au désert présente des pièces uniques comme Neptune sur son char, ou Diane surprise au bain par Actéon.
Tipaza, classée en 1982, un ancien comptoir punique occupé par Rome. Celle-ci en fit une base stratégique pour la conquête de l’Afrique du nord. Y figurent, un ensemble unique de vestiges phéniciens, romains, paléochrétiens et byzantins. Sans oublier les monuments autochtones tels que le Tombeau de la chrétienne ou le grand mausolée royal de Mauritanie. En 1992, c’est au tour de la Valée du M’Zab d’être classée patrimoine mondial. Crée durant la période de 1012 au 1353 par les Ibadites, le village fortifié avec ses cinq ksours a été conçu pour la vie en communauté. La même année fut classée également la Casbah d’Alger. Constituée en forteresse, la ville fut la capitale du corsaire turque Khaïr Eddine en 1516. Six portes assurent la liaison entre la vielle-ville et le reste du pays. La Casbah qui présente un dénivellement de 118 mètres est bâtie sur 45 hectares, sa richesse se traduit par les décorations intérieures des habitations et ses rues étroites et tortueuses et abrite douze mosquées dont Djamaa El Kébir du XI e siècle.
S. A. in http://www.infosoir.com/
La Kalaa de Beni Hammad classée en 1980, représente les ruines d’une ville musulmane typique. Avec sa mosquée — l’une des plus grandes du pays — dotée d’une salle de prière avec ses 13 nefs à 8 travées, la ville fut la première capitale des ?mirs hammadites fondée en 1007 et démantelée en 1152.
Autre site, autre histoire. Classée en 1982, Djamila l’une des plus importantes citées romaines du IIe siècle et sa colonie de Cuicul, une sentinelle romaine entre Sétif et Constantine a été construite autour d’un forum entouré d’édifices publics. a la fin du IIe siècle Cuicul fut enrichie avec un théâtre de 3 000 places (en l’an 160), des thermes de 2 600 m2 ainsi que la «maison de Bacchus» divinité romaine du vin, de la vigne et du délire mystique.
Dès le début du III e siècle, une grande esplanade publique de 3 200 m2 dallée mise en valeur par deux monuments ; l’Arc de Caracalla (216) et le temple de la Gens Septemia (229) ont été ajoutés . Plus tard, une fontaine, un petit temple, une basilique IV et deux églises cryptes sont venu orner le tout.
Plus au sud, Le Tassili N’Ajjer (classé également en 1982), où figure un des plus anciens arts rupestres du monde. Pas moins de 15 000 desseins et gravures représentant un véritable compte rendu de la vie faunistique et floristique ainsi que l’évolution humaine des gens du Sahara depuis 6 000 ans avant nôtre ère jusqu’au premier siècle du calendrier moderne.
Autre site ; Timgad (classé en 1982), une parfaite infiltration de l’art mosaïque numide au cœur du savoir faire romain. Le Cardo, le decumanus, le théâtre creusé dans la colline, l’arcade Trajan, les thermes du sud, la bibliothèque, la nécropole, le forum, le capitole et de nombreuses églises attestent de l’importance de la ville construite il y a plus de 19 siècles. Fondée en l’an 100 de notre ère, la ville construite sous le règne de l’empereur Tarjan, face au désert présente des pièces uniques comme Neptune sur son char, ou Diane surprise au bain par Actéon.
Tipaza, classée en 1982, un ancien comptoir punique occupé par Rome. Celle-ci en fit une base stratégique pour la conquête de l’Afrique du nord. Y figurent, un ensemble unique de vestiges phéniciens, romains, paléochrétiens et byzantins. Sans oublier les monuments autochtones tels que le Tombeau de la chrétienne ou le grand mausolée royal de Mauritanie. En 1992, c’est au tour de la Valée du M’Zab d’être classée patrimoine mondial. Crée durant la période de 1012 au 1353 par les Ibadites, le village fortifié avec ses cinq ksours a été conçu pour la vie en communauté. La même année fut classée également la Casbah d’Alger. Constituée en forteresse, la ville fut la capitale du corsaire turque Khaïr Eddine en 1516. Six portes assurent la liaison entre la vielle-ville et le reste du pays. La Casbah qui présente un dénivellement de 118 mètres est bâtie sur 45 hectares, sa richesse se traduit par les décorations intérieures des habitations et ses rues étroites et tortueuses et abrite douze mosquées dont Djamaa El Kébir du XI e siècle.
S. A. in http://www.infosoir.com/
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