Des eurodéputés au Parlement européen dénoncent l’opération des FAR à El Guerguerate
Visiblement, l’Algérie a décidé de répliquer à l’adoption d’une résolution du Parlement européen, condamnant la détérioration des droits de l'Homme dans le pays. Et comme elle ne peut rien entreprendre contre la France, accusée par son ministre de la Communication d’être l’instigatrice du texte du 26 novembre, le pouvoir en place a choisi de viser le Maroc.
C’est dans le cadre de cette campagne que trois eurodéputés de l’extrême gauche ont adressé, le 7 décembre, trois questions écrites à la Commission européenne sur «la répression du peuple du Sahara». Ces auteurs sont le communiste grecs Kostas Papadakis et les Portugais Sandra Pereira et João Ferreira du Groupe Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique (GUE/NGL).
Les trois dénoncent l’opération des Forces armées royales du 13 novembre à El Guerguarte, la qualifiant d’un «autre exemple du non-respect par les autorités marocaines des conditions de cessez-le-feu, du droit international, des droits de l'Homme et du droit souverain du peuple sahraoui à l'autodétermination».
Ils ont, par ailleurs, interrogé la Commission européenne sur «les mesures à entreprendre en vue de parvenir à une solution juste au conflit à travers le respect effectif et immédiat de l'autodétermination du peuple sahraoui, y compris la reconnaissance de sa souveraineté sur ses ressources naturelles».
Ils ont également insisté sur les démarches que compte prendre la CE en vue de permettre à la MINURSO d'organiser un référendum d’autodétermination au Sahara. Les trois questions écrites ont bénéficié d'une couverture de l'agence de presse algérienne.
Yab iladi
Visiblement, l’Algérie a décidé de répliquer à l’adoption d’une résolution du Parlement européen, condamnant la détérioration des droits de l'Homme dans le pays. Et comme elle ne peut rien entreprendre contre la France, accusée par son ministre de la Communication d’être l’instigatrice du texte du 26 novembre, le pouvoir en place a choisi de viser le Maroc.
C’est dans le cadre de cette campagne que trois eurodéputés de l’extrême gauche ont adressé, le 7 décembre, trois questions écrites à la Commission européenne sur «la répression du peuple du Sahara». Ces auteurs sont le communiste grecs Kostas Papadakis et les Portugais Sandra Pereira et João Ferreira du Groupe Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique (GUE/NGL).
Les trois dénoncent l’opération des Forces armées royales du 13 novembre à El Guerguarte, la qualifiant d’un «autre exemple du non-respect par les autorités marocaines des conditions de cessez-le-feu, du droit international, des droits de l'Homme et du droit souverain du peuple sahraoui à l'autodétermination».
Ils ont, par ailleurs, interrogé la Commission européenne sur «les mesures à entreprendre en vue de parvenir à une solution juste au conflit à travers le respect effectif et immédiat de l'autodétermination du peuple sahraoui, y compris la reconnaissance de sa souveraineté sur ses ressources naturelles».
Ils ont également insisté sur les démarches que compte prendre la CE en vue de permettre à la MINURSO d'organiser un référendum d’autodétermination au Sahara. Les trois questions écrites ont bénéficié d'une couverture de l'agence de presse algérienne.
Yab iladi
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