Nicolas Sarkozy a insisté mercredi soir sur sa volonté "d'action" à la tête de la France, sa rivale Ségolène Royal mettant elle l'accent sur son intention de mettre en place "une France créative".
"Ca fait trop longtemps que la politique est impuissante. Moi je souhaite que la politique soit de retour, la vraie politique", a expliqué le candidat UMP en conclusion du débat télévisé de l'entre-deux-tours de la présidentielle.
Regardant les journalistes, il a lancé: "la France m'a tout donné, il est venu le temps pour moi, à 52 ans, de tout lui rendre". "Je veux résoudre la crise morale française, elle porte un nom, c'est la crise du travail. Je ne crois pas à l'assistanat, je ne crois pas au nivellement, je ne crois pas à l'égalitarisme, je crois au mérite, à l'effort, à la récompense, à la promotion sociale et plus que tout au travail", a ajouté M. Sarkozy.
"Tout ce que j'ai dit, je le ferai. Je tiendrai scrupuleusement ma promesse. Je ne me suis pas engagé à la légère dans cette campagne présidentielle, c'est un choix de vie, c'est un don de soi, c'est une véritable d'ascèse, je me suis préparé pour ce rendez-vous. Si les Français me font confiance, je ne les décevrai pas, je ne les trahirai pas, je ne leur mentirai pas", a-t-il insisté.
De son côté, la candidate PS, s'adressant directement à la caméra, a déclaré vouloir "une France créative, imaginative". En direction des électeurs indécis, elle a lancé: "je veux m'adresser aussi à ceux qui hésitent encore, je veux leur dire de faire le choix de l'audace, de l'avenir".
"Je sais que pour certains d'entre eux ce n'est pas évident de se dire qu'une femme peut incarner les plus hautes responsabilités, d'autres le font à l'échelle de la planète", a-t-elle dit en citant l'exemple de la chancelière allemande, Angela Merkel, jugée "concrète, efficace, opérationnelle".
Citant en conclusion ses thèmes phares -familles, école, travail, lutte contre les insécurités et la précarité- Mme Royal s'est engagée à "construire une France paisible où l'on pourra réformer sans brutaliser, où jamais (elle) ne dressera les Français les uns contre les autres, ceux qui ont des heures supplémentaires contre ceux qui n'en ont pas, ceux qui ont des parachutes dorés et ceux qui sont licenciés".
"Ca fait trop longtemps que la politique est impuissante. Moi je souhaite que la politique soit de retour, la vraie politique", a expliqué le candidat UMP en conclusion du débat télévisé de l'entre-deux-tours de la présidentielle.
Regardant les journalistes, il a lancé: "la France m'a tout donné, il est venu le temps pour moi, à 52 ans, de tout lui rendre". "Je veux résoudre la crise morale française, elle porte un nom, c'est la crise du travail. Je ne crois pas à l'assistanat, je ne crois pas au nivellement, je ne crois pas à l'égalitarisme, je crois au mérite, à l'effort, à la récompense, à la promotion sociale et plus que tout au travail", a ajouté M. Sarkozy.
"Tout ce que j'ai dit, je le ferai. Je tiendrai scrupuleusement ma promesse. Je ne me suis pas engagé à la légère dans cette campagne présidentielle, c'est un choix de vie, c'est un don de soi, c'est une véritable d'ascèse, je me suis préparé pour ce rendez-vous. Si les Français me font confiance, je ne les décevrai pas, je ne les trahirai pas, je ne leur mentirai pas", a-t-il insisté.
De son côté, la candidate PS, s'adressant directement à la caméra, a déclaré vouloir "une France créative, imaginative". En direction des électeurs indécis, elle a lancé: "je veux m'adresser aussi à ceux qui hésitent encore, je veux leur dire de faire le choix de l'audace, de l'avenir".
"Je sais que pour certains d'entre eux ce n'est pas évident de se dire qu'une femme peut incarner les plus hautes responsabilités, d'autres le font à l'échelle de la planète", a-t-elle dit en citant l'exemple de la chancelière allemande, Angela Merkel, jugée "concrète, efficace, opérationnelle".
Citant en conclusion ses thèmes phares -familles, école, travail, lutte contre les insécurités et la précarité- Mme Royal s'est engagée à "construire une France paisible où l'on pourra réformer sans brutaliser, où jamais (elle) ne dressera les Français les uns contre les autres, ceux qui ont des heures supplémentaires contre ceux qui n'en ont pas, ceux qui ont des parachutes dorés et ceux qui sont licenciés".
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