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L’Iran veut se faire une place sur le marché algérien

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  • L’Iran veut se faire une place sur le marché algérien

    L’Algérie et l’Iran souhaiteraient renforcer leur coopération dans le secteur industriel, notamment celui de l’automobile. «L’industrie automobile iranienne est en plein essor et ce pays pourrait créer des usines de montage en partenariat avec des sociétés algériennes pour le marché local», a déclaré, hier, le président de la Chambre algérienne du commerce et de l’industrie (CACI), M. Brahim Bendjabber, en marge du Salon iranien de l’industrie et de l’artisanat qui se déroule du 2 au 7 mai au Palais des exposition des Pins Maritimes (SAFEX).
    M. Bendjabber a estimé que la délocalisation serait rentable pour les deux parties : «Elle permettra à l’Iran de bénéficier des abaissements tarifaires et de pénétrer le marché algérien, un marché potentiel qui importe plus de 200 000 véhicules par an, et à l’Algérie de créer des emplois.» Le représentant du constructeur automobile Saipa, nouvellement installé en Algérie, a affirmé, pour sa part, qu’il compte, dans un premier temps, commercialiser les véhicules iraniens tout en évaluant le marché algérien avant de penser à la délocalisation.
    Les Iraniens seraient par ailleurs intéressés par le projet Fatia de Tiaret, à l’arrêt depuis le départ du partenaire italien en 1998, a révélé une source proche du ministère de l’Industrie, qui précise toutefois que les discussions avec la partie algérienne n’ont pas abouti.
    Le secteur automobile en Iran, qui possède une grande infrastructure de sous-traitance, est dominé par deux constructeurs publics, Iran Khodro et Saipa qui travaillent en partenariat avec les grands constructeurs français Renault et Peugeot pour les véhicules particuliers et Mercedes pour ceux industriels (camions, autocars et tracteurs routiers).
    Outre l’investissement dans l’industrie automobile en Algérie, les Iraniens veulent également se lancer dans l’industrie du ciment et projettent de monter une usine dans la région des Hauts Plateaux, a affirmé la même source. Globalement, les investissements iraniens en Algérie n’excèdent pas un million de dollars.
    Quant à leurs échanges commerciaux, ils ont totalisé un montant négligeable de 10 millions de dollars en 2006. Un résultat qui reste très en deçà des potentialités de partenariat existantes entre les deux parties, juge-t-on. Pour favoriser le flux commercial, les Iraniens souhaitent ouvrir une ligne maritime entre le port Bandar Abbas et celui de Djendjen, affirme notre source.
    Pour rappel, un comité de suivi et d’évaluation de la coopération industrielle algéro-iranienne a été installé suite à l’accord de coopération industrielle économique signé lors de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en Iran en 2003.
    Le Salon iranien de l’industrie et de l’artisanat, qui a une approche commerciale, permet néanmoins de renforcer la coopération et le partenariat économique entre les deux pays, selon le président de la CACI, qui a affirmé que 46 sociétés de différents domaines, notamment l’automobile, les machines agricoles, la pneumatique, les pièces détachées, les panneaux électroniques et les produits chimiques (détergents), sont présentes en Algérie.

    - La nouvelle Republique

  • #2
    ils vont nous vendre quoi? des bombes nucleaires?
    Pardonner? C'est le travail de DIEU. Moi, Je ne peux pas.

    Commentaire


    • #3
      hé hé

      non il ven nous vendre des pti diable

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      • #4
        ils vont surement indtroduire leur voiture qui ressemble a la renault 5!!
        il vont surement nos fair part de la teechnoligie nucleair aussi?
        Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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