Certains cercles manifestement intéressés par le déclin de l’Algérie ont mené une campagne féroce sur les thèmes de la maladie du président et de prétendus manquements aux droits de l’homme. Ces cercles forcément hostiles à l’épanouissement de l’Algérie, ont fait des projections sur les deux ou trois prochaines mois dépeignant un pays disloqué par une gouvernance sclérosée, une société à vau l’eau en raison des prix des hydrocarbures en baisse sur le marché international.
Ils ne se sont pas contentés d’énoncer des scénarios aussi rocambolesques les uns que les autres. Il on été jusqu’au détail. Ils font la comptabilité de la population à l’échéance 2030. Ils ont construit des hypothèses basées sur des chiffres de l’ONS, histoire de convaincre les Algériens, que nous sommes, que leur approche était rationnelle. Et même avec un maximum d’optimisme, l’Algérie, disaient-ils, était irrémédiablement perdue. Trop de temps et d’argent perdu. Trop d’occasions de démocratisation ratées. Il ne reste rien à gratter. L’Algérie est quasi morte et enterrée, affirmaient-ils. Toutes ces cabales médiatique reposaient sur un seul fait avéré : l’absence du président Tebboune pour cause de maladie. L’objectif n’était pas tant d’analyser la situation présente et future de l’Algérie, mais d’atteindre le moral des Algériens pour affaiblir leur résistance légendaire.
Les discours qui revenaient en boucle, étaient censés s’immiscer dans les têtes des citoyens, via la presse écrite et les réseaux sociaux. Il y avait pour finalité de nous détruire tous autant que nous sommes. Ils ne voulaient pas que l’Algérie poursuive son chemin, qu’elle progresse et devienne une nation forte et respectée dans le monde.
Ces cercles ont travaillé durant tout un mois à l’écroulement de l’Algérie. Pour se faire, il leur fallait s’assurer de l’écroulement de l’Algérien. Et c’est à cette fin qu’ils ont mis la pression et voulaient nous faire dégoûter de notre propre pays, nous pomper toute notre énergie, pour qu’on fasse la sale besogne à leur place, à savoir nous exterminer nous-mêmes. En fait, ils ont préparé une guerre civile en Algérie. Ils auraient voulu que l’on retombe dans la préhistoire, pour assouvir leurs desseins néocoloniaux. Le propos n’est pas exagéré et la riposte est venue avant-hier du président de la République. En un peu moins de 5 minutes, il a détruit tous leurs espoirs de voir l’Algérie basculer dans le chaos.
Par Nabil G.
Ouest Tribune, 15 décembre 2020
Ils ne se sont pas contentés d’énoncer des scénarios aussi rocambolesques les uns que les autres. Il on été jusqu’au détail. Ils font la comptabilité de la population à l’échéance 2030. Ils ont construit des hypothèses basées sur des chiffres de l’ONS, histoire de convaincre les Algériens, que nous sommes, que leur approche était rationnelle. Et même avec un maximum d’optimisme, l’Algérie, disaient-ils, était irrémédiablement perdue. Trop de temps et d’argent perdu. Trop d’occasions de démocratisation ratées. Il ne reste rien à gratter. L’Algérie est quasi morte et enterrée, affirmaient-ils. Toutes ces cabales médiatique reposaient sur un seul fait avéré : l’absence du président Tebboune pour cause de maladie. L’objectif n’était pas tant d’analyser la situation présente et future de l’Algérie, mais d’atteindre le moral des Algériens pour affaiblir leur résistance légendaire.
Les discours qui revenaient en boucle, étaient censés s’immiscer dans les têtes des citoyens, via la presse écrite et les réseaux sociaux. Il y avait pour finalité de nous détruire tous autant que nous sommes. Ils ne voulaient pas que l’Algérie poursuive son chemin, qu’elle progresse et devienne une nation forte et respectée dans le monde.
Ces cercles ont travaillé durant tout un mois à l’écroulement de l’Algérie. Pour se faire, il leur fallait s’assurer de l’écroulement de l’Algérien. Et c’est à cette fin qu’ils ont mis la pression et voulaient nous faire dégoûter de notre propre pays, nous pomper toute notre énergie, pour qu’on fasse la sale besogne à leur place, à savoir nous exterminer nous-mêmes. En fait, ils ont préparé une guerre civile en Algérie. Ils auraient voulu que l’on retombe dans la préhistoire, pour assouvir leurs desseins néocoloniaux. Le propos n’est pas exagéré et la riposte est venue avant-hier du président de la République. En un peu moins de 5 minutes, il a détruit tous leurs espoirs de voir l’Algérie basculer dans le chaos.
Par Nabil G.
Ouest Tribune, 15 décembre 2020
Commentaire