M. David Fischer ambassadeur américain à Rabat
Cette récente reconnaissance changera-t-elle la position des Etats-Unis, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, sur le différend territorial ?
M. David Fischer: Concernant le Sahara occidental, le président Trump rejette le statu quo - qui ne profite à personne - et se dirige vers une solution sérieuse, réaliste et crédible au conflit du Sahara occidental. Les Etats-Unis estiment que l’autonomie est la seule option réaliste pour parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable pour l’avenir du Sahara occidental. Ce plan encourage une discussion plus approfondie et utilise l'autonomie comme cadre d'une solution qui satisfait les aspirations du peuple du Sahara occidental. Cela peut et sera trouvé.
Nous continuons d'exhorter tous les participants à s'engager de manière constructive avec les Nations unies et à envisager des moyens nouveaux, créatifs et authentiques pour faire avancer le processus politique. Les Etats-Unis continuent aussi de faire pression pour la nomination d'un nouvel envoyé personnel du Secrétaire général afin de faciliter cette solution historique. Les Etats-Unis restent déterminés à travailler avec toutes les parties concernées pour soutenir les travaux nécessaires à venir.
Vous attendez-vous à ce que l'administration Biden ait son mot à dire quant à la décision décrétée par le président sortant Donald Trump ?
M. David Fischer : En vertu de la Constitution américaine, le président - par l'intermédiaire de la branche exécutive du gouvernement fédéral - mène une diplomatie avec d'autres nations. Le Maroc est l'un des alliés les plus anciens et les plus proches des Etats-Unis. De plus, chaque administration présidentielle, depuis celle du président Clinton, a affirmé son soutien à la proposition d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Chaque administration, républicaine ou démocrate, a également fortement encouragé la reconnaissance d'Israël et l'expansion de la paix régionale.
...Suite .... ya biladi
Cette récente reconnaissance changera-t-elle la position des Etats-Unis, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, sur le différend territorial ?
M. David Fischer: Concernant le Sahara occidental, le président Trump rejette le statu quo - qui ne profite à personne - et se dirige vers une solution sérieuse, réaliste et crédible au conflit du Sahara occidental. Les Etats-Unis estiment que l’autonomie est la seule option réaliste pour parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable pour l’avenir du Sahara occidental. Ce plan encourage une discussion plus approfondie et utilise l'autonomie comme cadre d'une solution qui satisfait les aspirations du peuple du Sahara occidental. Cela peut et sera trouvé.
Nous continuons d'exhorter tous les participants à s'engager de manière constructive avec les Nations unies et à envisager des moyens nouveaux, créatifs et authentiques pour faire avancer le processus politique. Les Etats-Unis continuent aussi de faire pression pour la nomination d'un nouvel envoyé personnel du Secrétaire général afin de faciliter cette solution historique. Les Etats-Unis restent déterminés à travailler avec toutes les parties concernées pour soutenir les travaux nécessaires à venir.
Vous attendez-vous à ce que l'administration Biden ait son mot à dire quant à la décision décrétée par le président sortant Donald Trump ?
M. David Fischer : En vertu de la Constitution américaine, le président - par l'intermédiaire de la branche exécutive du gouvernement fédéral - mène une diplomatie avec d'autres nations. Le Maroc est l'un des alliés les plus anciens et les plus proches des Etats-Unis. De plus, chaque administration présidentielle, depuis celle du président Clinton, a affirmé son soutien à la proposition d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Chaque administration, républicaine ou démocrate, a également fortement encouragé la reconnaissance d'Israël et l'expansion de la paix régionale.
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