Je pleure, je n'arrive pas à dormir
Mes larmes coulent à flot
A chaque fois , j'essaie de me ressaisir
Je n'y peux , ce sont des sanglots
Je l'aime, ,je l'aime à mourir
C'est lui et lui seul , je ne peux fuir
Que j'aime sans me retenir
D'une flamme si ardente, ,je ne peux la contenir
Et pourtant j'ai essayé, mille fois de m'abstenir
Son amour, sa persistance , ont failli a ma résistance
Sa présence , son intelligence , ont brisé mes murs de défense
Je ne peux pas , sa souffrance me tourmente jusqu'à outrance
Je ne veux pas , le laisser aussi dans cette potence
Je vais le soulager , lui dire , lui écrire
Ainsi du passé du si il serait et du présent l’ensevelir
Que c'est un rêve lointain et de l'amour il n'en a que le teint
Que ce qu'il croit être vrai , n'est qu'éphémère,qu'à cela ne devient à le plaire
Lui parler de raison ,sachant que raison et passion sont de deux pères
Tu penses et tu décides
Ta volonté est ton seul guide
Tu m'oublies dans tout ça
Tu crois que je suis quoi ?
Un rêve
Un rêve que tu peux effacer?
Comme ça
Sur un coup de tête , d'un trait
Tu crois quoi, que je suis de m'arbre
Je n'ai pas mon mot à dire , moi
Tu crois que je ne peux me défendre ,
Toi t'es là ,pour me ressaisir
Que serai-je donc à l'avenir ?
Un pantin parmi certains , à savoir
Et à croire que ceux-là peuvent me nuire !
Moi qui croyais, que c'était moi ton Ange gardien
Je me trouve d'un coup,comme un mendiant quémandant une lire
Tu vois le rêve quand il en a marre et marre et marre, il peut se transformer en cauchemar
T'as tort de penser raisonnable ,à la limite tu pouvais malgré moi et mes émois me fuir
Car moi aussi, fier , je peux écrire des fables , quitte a me détruire
sin et sain
orifardi
Mes larmes coulent à flot
A chaque fois , j'essaie de me ressaisir
Je n'y peux , ce sont des sanglots
Je l'aime, ,je l'aime à mourir
C'est lui et lui seul , je ne peux fuir
Que j'aime sans me retenir
D'une flamme si ardente, ,je ne peux la contenir
Et pourtant j'ai essayé, mille fois de m'abstenir
Son amour, sa persistance , ont failli a ma résistance
Sa présence , son intelligence , ont brisé mes murs de défense
Je ne peux pas , sa souffrance me tourmente jusqu'à outrance
Je ne veux pas , le laisser aussi dans cette potence
Je vais le soulager , lui dire , lui écrire
Ainsi du passé du si il serait et du présent l’ensevelir
Que c'est un rêve lointain et de l'amour il n'en a que le teint
Que ce qu'il croit être vrai , n'est qu'éphémère,qu'à cela ne devient à le plaire
Lui parler de raison ,sachant que raison et passion sont de deux pères
Tu penses et tu décides
Ta volonté est ton seul guide
Tu m'oublies dans tout ça
Tu crois que je suis quoi ?
Un rêve
Un rêve que tu peux effacer?
Comme ça
Sur un coup de tête , d'un trait
Tu crois quoi, que je suis de m'arbre
Je n'ai pas mon mot à dire , moi
Tu crois que je ne peux me défendre ,
Toi t'es là ,pour me ressaisir
Que serai-je donc à l'avenir ?
Un pantin parmi certains , à savoir
Et à croire que ceux-là peuvent me nuire !
Moi qui croyais, que c'était moi ton Ange gardien
Je me trouve d'un coup,comme un mendiant quémandant une lire
Tu vois le rêve quand il en a marre et marre et marre, il peut se transformer en cauchemar
T'as tort de penser raisonnable ,à la limite tu pouvais malgré moi et mes émois me fuir
Car moi aussi, fier , je peux écrire des fables , quitte a me détruire
sin et sain
orifardi
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