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Le vaccin covid-19

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  • Le vaccin covid-19

    Bonjour,

    On vient d'apprendre que le covid-19 est mutant en Angleterre , je me pose la question : est-ce que le vaccin qui vient d'être découvert servira-t-il ou pas , ou bien tout est remis en cause ?
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    je me pose la question : est-ce que le vaccin qui vient d'être découvert servira-t-il ou pas , ou bien tout est remis en cause ?
    C'est la question que toute la planète se pose...

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    • #3
      Un virus mute en moyenne 5000-6000 fois par an avec une tendance vers des variants moins sévères.
      Aucune étude fiable n’a démontré pour le moment la corrélation entre ce nouveau variant UK avec les contaminations et la mortalité en hausse.
      Le vaccin a de fortes chances qu’il couvre ce variant sinon il y a la possibilité d’intervenir pour adapter les vaccins géniques. Lol

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      • #4
        on ne sait pas encore grand chose de la nouvelle souche. Plus contagieuse mais moins grave, semblerait-il.
        Le vaccin a toutes les chances de couvrir cette souche aussi.

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        • #5
          on a affaire à un variant du virus et non une nouvelle souche, dans ce cas, les vaccins sont toujours bons d'après les spécialistes. Et si c'est une nouvelle souche, cela ne prendrait presque rien pour ajuster les vaccins (comme pour l'influenza, le virus de la grippe, à chaque année). Il ne faut pas être très alarmiste.

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          • #6
            Pour comprendre la différence entre un variant et une souche, imaginons un texte, disons en français. Dans le texte, on peut modifier quelques mots sans compromettre la sémantique du texte (la logique du contenu). C'est des variants qu'on crée et, dans le cas du covid, le vaccin reconnaîtra toujours sa cible pour l'annihiler.

            Par contre, à force de faire des modifications, le texte perd de sa compréhension première, son contenu premier, on aura carrément un autre texte, dans le cas de la covid, une autre souche. Le vaccin ne la reconnaitra pas, il faudrait l'ajuster.

            Enfin, à force d'avoir des variants, on arrivera inextricablement à une nouvelle souche, plus il y a de contaminations, plus il y aura de variants et plus la probabilité d'avoir de nouvelles souches est grande. C'est pour cela également qu'il faut essayer de stopper rapidement les contaminations.
            Dernière modification par UnAlgerien, 23 décembre 2020, 09h37.

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            • #7
              on a affaire à un variant du virus et non une nouvelle souche, dans ce cas, les vaccins sont toujours bons d'après les spécialistes.
              Encore faut-il que celui du COVD-19 (ancienne souche) fasse ses preuves !

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              • #8
                Voire ce que on dise sur les defirents méthode de principe de fabriquer un vaccin un labo pharmaceutique et ces états de transition de morphose entre virus et corps c'est un peut mouche .sur cette question des protéines et sa mise en quarantaine du virus
                dz(0000/1111)dz

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                • #9
                  Encore faut-il que celui du COVD-19 (ancienne souche) fasse ses preuves !
                  les deux vaccins actuellement utilisés en Amérique du Nord et bientôt en Europe ont été testés avant, ils sont efficaces à plus de 94%.

                  Deux interrogations restent à vérifier
                  1- La durée de l’immunisation une fois vacciné
                  2- Et si une personne vacciné peut toujours contaminer d'autres personnes, non à cause du vaccin mais du virus lui-même

                  Commentaire


                  • #10
                    les deux vaccins actuellement utilisés en Amérique du Nord et bientôt en Europe ont été testés avant, ils sont efficaces à plus de 94%.

                    Deux interrogations restent à vérifier
                    1- La durée de l’immunisation une fois vacciné
                    2- Et si une personne vacciné peut toujours contaminer d'autres personnes, non à cause du vaccin mais du virus lui-même
                    Tu ne penses pas qu'il y a contradiction, là ?
                    Des vaccins sensés être "testés avant" doivent aussi être testés pour répondre à tes 2 interrogations, sinon, ils n'ont pas été suffisamment vérifiés.

                    Tant qu'il y a des "interrogations", il y a des doutes sur l'efficacité !

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                    • #11
                      Voici une info très intéressante sur le vaccin à AN que vient de me transmettre une amie chef de service biologie hospitalier

                      À retenir :

                      Les vaccins à ARN ont pour avantage de pouvoir être développés plus rapidement et de pouvoir être adaptés facilement si une mutation du SARS-CoV-2 venait compromettre leur efficacité
                      Ils déclenchent une réponse immunitaire puissante (sans adjuvant chimique) et très spécifique
                      L’ARNm injecté ne pénètre pas dans le noyau et ne peut donc pas transformer notre génome, ni être transmis à notre descendance car il n’atteint pas les gonades

                      Alors que le début de la campagne de vaccination contre le SARS-CoV-2 est imminente en France, les vaccins à ARN, de par leur nouveauté, suscitent de nombreuses questions et craintes. L’INSERM a fait le point sur cette nouvelle technique.

                      Quelle différence avec les autres types de vaccins ?

                      Les vaccins à ARN ont pour particularité de ne pas contenir l’agent infectieux atténué ou inactivé, ou certains de ses composants, comme c’est habituellement le cas. Ces nouveaux vaccins reposent sur l’injection d’un ARN messager (ARNm) codant pour la protéine Spike présente à la surface du coronavirus SARS-CoV-2. Cet ARN va pénétrer dans les cellules du patient localisées au niveau du site d’injection et être traduit en protéine, comme n’importe quel autre ARNm se trouvant dans le cytoplasme. C’est la protéine Spike traduite par la cellule qui déclenchera la réaction immunitaire.

                      Pourquoi avoir choisi cette nouvelle technique ?

                      Les vaccins à ARN ont pour avantage de pouvoir être développés plus rapidement que les vaccins utilisant les techniques plus traditionnelles et ils ne nécessitent pas d’adjuvant chimique. Cette nouvelle technologie vaccinale permet de réagir plus vite en période pandémique et permettra d’adapter rapidement le vaccin si une mutation du SARS-CoV-2 venait compromettre son efficacité.

                      Les vaccins à ARN ont également pour avantage de déclencher une réponse immunitaire puissante et très spécifique. La protéine Spike produite par l’organisme est extrêmement proche de sa conformation naturelle dans le virus sauvage.

                      Faut-il craindre une modification de notre génome ?

                      Il est important de préciser que l’ARNm injecté via le vaccin pénètre uniquement dans le cytoplasme de la cellule et non dans le noyau. Il ne peut donc pas transformer notre génome puisque celui-ci se trouve dans le noyau.

                      Par ailleurs, cet ARNm ne peut pas être transmis à la descendance car l’injection est locale : les cellules qui reçoivent cet ARNm sont principalement les cellules musculaires. En aucun cas l’ARNm ne va jusqu’aux cellules des organes reproducteurs.

                      Enfin, les cellules produisant la protéine Spike suite à l’injection du vaccin sont rapidement détruites par le système immunitaire. L’ARNm étranger ne reste donc pas longtemps dans l’organisme.

                      Pourquoi les vaccins à ARN n’avaient jamais atteint les études de phase 3 ?

                      Alors que les vaccins à ARN apparaissent comme une technologie nouvelle, elle ne date pourtant pas d’hier… Des chercheurs travaillent sur ce sujet depuis plusieurs décennies, mais il a fallu surmonter quelques obstacles techniques, comme la taille des molécules d’ARN qui est dix fois plus importante qu’un antigène protéique injecté via un vaccin traditionnel. Il a donc été nécessaire de développer un système de transport de ces molécules pour qu’elles puissent entrer dans les cellules d’intérêt. Ce n’est que récemment que des solutions ont été trouvées, notamment en utilisant des particules nanolipidiques pour transporter l’ARNm vaccinal jusqu’aux cellules.

                      Le développement de cette technique a également été accéléré par la vitesse de circulation du virus dans la population, qui a permis d’obtenir plus rapidement des résultats d’efficacité lors des essais cliniques et par des financements qui n’avaient jamais été aussi élevés. Les chercheurs ont disposé de moyens qu’ils n’avaient pas jusqu’alors pour mener des essais cliniques aussi rapidement et efficacement.
                      Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
                      Mahomet

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                      • #12
                        Tu ne penses pas qu'il y a contradiction, là ?
                        Des vaccins sensés être "testés avant" doivent aussi être testés pour répondre à tes 2 interrogations, sinon, ils n'ont pas été suffisamment vérifiés.

                        Tant qu'il y a des "interrogations", il y a des doutes sur l'efficacité !
                        Aucune contradiction. Les 2 interrogations sont "secondaires" par rapport à l'objectif premier d'un vaccin : freiner, voire annihiler, les effets du covid une fois contaminé. La durée de l'immunisation est secondaire vu qu'en général, elle dure une saison, comme pour le virus de l'influenza (la grippe). La question qui n'est pas élucidée est est-ce que les vaccins développés actuellement sont à vie ou, saisonnier, etc.. Pour ce qui est du potentiel contaminatrice d'un vacciné, cela ne change rien à la donne du moment que le vaccin empêche le développement des effets indésirables une fois contaminé.

                        Lire le post précédent de gdesmon, on est plus au temps de Louis Pasteur, avec les connaissances scientifiques actuelles en biologie humaine, on peut faire des miracles.

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                        • #13
                          Merci gdesmon pour le partage

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