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Pourquoi la dictature marocaine n'a-t-elle pas obtenu sa "marocanité sur le Sahara Occidental" sans être soumise à reconnaître Israël?
- L’ancien porte-parole de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) Abdelhamid Siyam a dit que lier la question de la normalisation entre le Maroc et l’occupant israélien au dossier du Sahara occidental est un fait délibéré du point de vue politique et qu’il est enveloppé dans «un cadeau empoisonné » pour contenir la grogne populaire que cette décision pourrait engendrer.
Le diplomate palestinien a ajouté dans un entretien à la chaîne qatarie “Al-Araby”, dimanche, que le peuple marocain s’opposait à la normalisation avec l’entité sioniste et que la majorité des Marocains sont favorables au règlement de la question palestinienne.
Selon Siyam, cette dernière a été liée à une autre question, celle de la reconnaissance par Donald Trump -dans un tweet- de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, soutenant que cette reconnaissance n’a aucune valeur juridique car émanant d’un seul Etat.
Selon celui qui fut porte-parole de la Minurso, le droit international n’obéit pas à un seul Etat et qu’il renferme des traités, conventions et des décisions collectives adoptés à l’unanimité ou la quasi-unanimité et acceptés par la communauté internationale.
En outre, Siyam a affirmé qu’aucun membre de la communauté internationale n’a soutenu la reconnaissance par Trump du Golan comme étant un territoire israélien, non plus lorsqu’il (Trump) proclamait El Qods capitale d’Israël, y compris la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.
pour lui, la question de la normalisation a été enveloppée de sorte de contenir la colère des millions de Marocains qui se seraient sortis dans la rue pour refuser cette décision si les autorités marocaines avaient reconnu la normalisation et accepté l’ouverture réciproque d’ambassades à Rabat et Tel Aviv.
«Elle (décision) est enveloppée par ce cadeau empoisonné pour absorber la colère des Marocains en leur disant: ”Me voilà obtenir une reconnaissance du pays le plus puissant au monde et du coup vous ne devrez pas y souffler mot”», a estimé l’expert onusien palestinien.
Selon porte-parole de la Minurso, les autorités marocaines ont réprimé des manifestations qui se dirigeaient vers le parlement pour dire non à la normalisation-.
Maghreb online
- L’ancien porte-parole de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) Abdelhamid Siyam a dit que lier la question de la normalisation entre le Maroc et l’occupant israélien au dossier du Sahara occidental est un fait délibéré du point de vue politique et qu’il est enveloppé dans «un cadeau empoisonné » pour contenir la grogne populaire que cette décision pourrait engendrer.
Le diplomate palestinien a ajouté dans un entretien à la chaîne qatarie “Al-Araby”, dimanche, que le peuple marocain s’opposait à la normalisation avec l’entité sioniste et que la majorité des Marocains sont favorables au règlement de la question palestinienne.
Selon Siyam, cette dernière a été liée à une autre question, celle de la reconnaissance par Donald Trump -dans un tweet- de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, soutenant que cette reconnaissance n’a aucune valeur juridique car émanant d’un seul Etat.
Selon celui qui fut porte-parole de la Minurso, le droit international n’obéit pas à un seul Etat et qu’il renferme des traités, conventions et des décisions collectives adoptés à l’unanimité ou la quasi-unanimité et acceptés par la communauté internationale.
En outre, Siyam a affirmé qu’aucun membre de la communauté internationale n’a soutenu la reconnaissance par Trump du Golan comme étant un territoire israélien, non plus lorsqu’il (Trump) proclamait El Qods capitale d’Israël, y compris la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.
pour lui, la question de la normalisation a été enveloppée de sorte de contenir la colère des millions de Marocains qui se seraient sortis dans la rue pour refuser cette décision si les autorités marocaines avaient reconnu la normalisation et accepté l’ouverture réciproque d’ambassades à Rabat et Tel Aviv.
«Elle (décision) est enveloppée par ce cadeau empoisonné pour absorber la colère des Marocains en leur disant: ”Me voilà obtenir une reconnaissance du pays le plus puissant au monde et du coup vous ne devrez pas y souffler mot”», a estimé l’expert onusien palestinien.
Selon porte-parole de la Minurso, les autorités marocaines ont réprimé des manifestations qui se dirigeaient vers le parlement pour dire non à la normalisation-.
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