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Le terroriste Donald Trump a pardonné aux tueurs de 17 civils irakiens de Blackwater - vidéo

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  • Le terroriste Donald Trump a pardonné aux tueurs de 17 civils irakiens de Blackwater - vidéo

    Sans surprises, le terroriste fasciste Donald Trump qui a toujours été un psychopathe sadique et sanguinaire, a accordé des grâces présidentielles à 4 criminels américains du groupe de mercenaires Blackwater qui avaient massacré 17 civils irakiens et gravement blessés 20 autres en 2007 à Bagdad (voir vidéo).

    3 des 4 terroristes américains avaient été condamnés à 30 ans de prison et le 4e à la prison à vie en 2015. Mais grâce au sinistre terroriste sadique Donald Trump, ces criminels américains sont désormais libres et leurs casiers judiciaires blanchis.


  • #2
    Et il a pas voulu accorder sa grâce au gars qui avait participé à un meurtre et qui avait à peine 18 ans au moment des faits, et ceci malgré plusieurs appels dans ce sens.

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    • #3
      Le terroriste Donald Trump a pardonné aux tueurs de 14 civils irakiens de Blackwater
      Il est, helas, veneré par les mkhazni de ce forum qui voit en lui dieu sur terre.

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      • #4
        pour eviter tout probleme ,il a gracier ces criminels en fin de mandats.cela prouve que lui meme savait que il ne devait pas les gracier.
        d autres graces presidentielles vont suivre probablement les derniers jours ou dernieres heures de son mandat.

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        • #5
          Le blondinet gracie à tour de bras et pousse le bouchon jusqu'à vouloir ... s'autogracier !!


          Trump gracie ses alliés à tour de bras, mais peut-il le faire pour lui-même ? (Spoiler : c’est compliqué)
          En 2018, le président américain avait affirmé avoir « le droit absolu » de prendre cette mesure. A un mois de son départ de la Maison-Blanche, la question reste posée.

          Par Sarah Diffalah
          Publié le 24 décembre 2020

          Avec la nouvelle série de grâces présidentielles faites mercredi 23 décembre, Donald Trump a tiré d’affaire bon nombre de proches qui avaient été condamnés dans le cadre de l’enquête du procureur spécial, Robert Mueller, sur les interférences russes dans l’élection présidentielle américaine de 2016.

          Le président sortant a aussi accordé l’amnistie à des membres de sa famille et des employés de la société de sécurité privée Blackwater, reconnus d’avoir tué des civils en Irak en 2007. Parmi les heureux élus figurent aussi son ancien directeur de campagne, Paul Manafort, condamné à sept ans et demi de prison, en résidence surveillée, son ami et ancien conseiller, Roger Stone dont la peine de quarante mois d’emprisonnement avait déjà été commuée en juillet, le père de son gendre, Charles Kushner, qui avait effectué deux ans de prison…

          Avant son départ de la Maison-Blanche d’ici le 20 janvier, jour de l’investiture et de l’entrée en fonction du démocrate Joe Biden, la liste risque encore de s’allonger, des noms pourraient être ajoutés à commencer par… celui du président sortant. En effet, en 2018, alors qu’il était visé par l’enquête du procureur Mueller, le 45e président des Etats-Unis avait affirmé qu’il avait le « droit absolu » de se gracier. Fin novembre, Donald Trump a relayé sur Twitter le message d’un représentant républicain l’appelant à se gracier tout seul.

          Le président américain, qui se prépare à quitter ses fonctions, n’a pas évoqué cette possibilité récemment. Mais s’il se décidait à franchir le pas, il empêcherait toute poursuite pénale fédérale contre lui, alors qu’il fait face à un tourbillon d’enquêtes (fraude fiscale, harcèlements sexuels…). Mais peut-il le faire ?

          Les spécialistes divisés

          La loi est beaucoup plus obscure que la confiance de Donald Trump ne le suggère. Aucun président n’a jamais tenté de se pardonner pendant son mandat. Par conséquent, il n’existe pas de précédent juridique, de cas sur lequel la Cour suprême, la plus haute juridiction du pays, aurait pu statuer, une décision à laquelle se référer.

          En théorie, la Constitution américaine n’interdit pas explicitement l’auto-grâce. Elle prévoit que le président peut gracier toute personne accusée ou condamnée pour un crime fédéral, sauf en cas de destitution. Les juristes sont cependant divisés sur la question. Les uns estiment qu’un président peut se gracier car la Constitution est rédigée de manière générale et ne contient aucune exception empêchant un usage ou un abus de pouvoir, selon le « New York Times ». « Parce que les fondateurs [les rédacteurs de la Constitution, NDLR] ont fait une exception explicite pour les cas de destitution, cela signifie qu’ils n’avaient pas l’intention qu’il y ait d’autres exceptions », écrit le journal.

          D’autres spécialistes, note le quotidien, pensent que la Cour suprême pourrait néanmoins rejeter une prétendue auto-grâce si jamais elle se présentait. Certains estiment par exemple que le mot utilisé dans la Constitution « accorder » doit être interprété comme signifiant qu’une personne donne quelque chose à quelqu’un d’autre, de sorte qu’un président ne peut pas s’accorder une grâce à lui-même.

          Se faire remplacer par son vice-président… pour être gracié

          Au moment de l’affaire du Watergate en 1974, Richard Nixon avait envisagé de se gracier avant de démissionner le 9 août 1974. Quatre jours avant qu’il quitte ses fonctions, Mary C. Lawton, alors chef par intérim du Bureau du conseiller juridique du ministère de la Justice, avait émis un avis juridique déclarant qu’il « semblerait » qu’il ne pouvait se gracier « en vertu du principe fondamental selon lequel nul ne peut être juge dans son propre cas », rappelle le « New York Times ».

          Mary C. Lawton n’a cependant pas expliqué ce qui aurait pu transformer cette règle en une limite légale non écrite au pouvoir que la Constitution confère aux présidents. Richard Nixon sera gracié quelques semaines plus tard par son successeur et ancien vice-président, Gérald Ford, en échange d’excuses publiques.

          Le quotidien américain émet la possibilité d’un contournement de la Constitution en utilisant le 25e amendement. Celui-ci prévoit un mécanisme pour faire temporairement du vice-président le président par intérim lorsqu’un président est empêché d’exercer ses fonctions – pour des examens ou opérations médicales par exemple. « Dans sa note de 1974, explique le journal, Mary C. Lawton a soutenu qu’il était légal pour un président de se déclarer temporairement invalide, de recevoir du vice-président une grâce et de reprendre ensuite ses fonctions de président… »

          S’auto-gracier, est-ce reconnaître sa culpabilité ?

          Les avocats de Donald Trump pourraient également invoquer l’intérêt public en arguant que de futures poursuites judiciaires pourraient diviser le pays, déjà profondément clivé, et favorisé un climat de « guerre civile ».

          Quoi qu’il en soit, la grâce présidentielle ne l’absoudrait que des crimes fédéraux. Les procédures judiciaires menées au niveau de chaque Etat ne pourront être soumises à aucune amnistie. C’est le cas, par exemple, de l’enquête pénale, initiée par le procureur général de New York, Cyrus Vance Jr., chargée de déterminer si Donald Trump et son entreprise se sont livrés à des fraudes bancaires, fiscales et à l’assurance, comme le rappelle France 24.

          La question de savoir si Trump le fera est, cependant, aussi incertaine que la question de savoir s’il le peut. Une auto-grâce serait un acte ultime de rupture des normes, et cela entrerait en contradiction avec ses déclarations où il affirme n’avoir rien à se reprocher. Dans le « Wasghinton Post », un constitutionnaliste rappelle qu’une décision de la Cour suprême datant de 1915, dans l’affaire Burdick vs Etats-Unis, a jugé qu’une grâce présidentielle comportait une « imputation de culpabilité » et qu’une acceptation d’une grâce constituait une « confession ».

          Par conséquent, si l’acceptation d’une grâce équivaut à considérer qu’il s’agit d’un aveu légal de culpabilité, Donald Trump se tirerait une balle dans le pied et compromettrait une éventuelle candidature à la présidentielle de 2024. Difficile d’imaginer qu’il se résout à abandonner l’idée d’être de nouveau président des Etats-Unis. Mais qui sait…

          Sarah Diffalah

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          • #6
            Envoyé par maroc
            pour eviter tout probleme ,il a gracier ces criminels en fin de mandats.cela prouve que lui meme savait que il ne devait pas les gracier.
            Le terroriste Trump a pardonné aux assassins de Blackwater parcequ'il est réellement un psychopathe sadique qui est absolument convaincu que massacrer des Arabes/Musulmans est parfaitement normal et que cela ne doit jamais être condamné par la justice américaine. D'ailleurs, le terroriste Trump a déjà pardonné à des soldats américains condamnées pour des crimes de guerre en Afghanistan. Depuis son arrivée au pouvoir, le terroriste Trump a causé une hausse de 330% de victimes civiles en Afghanistan tant il a donné carte blanche aux soldats américains pour bombarder et massacrer aveuglement les civils.

            Sinon, politiquement, le terroriste Trump ne risque absolument rien en pardonnant aux assassins des Arabes/Musulmans puisque non seulement les fascistes républicains le vénèrent et le défendent systématiquement au Congrès américain, mais en plus, les dirigeants arabes/musulmans sont quasiment tous des hypocrites lâches qui ne vont pas condamner ces pardons odieux.

            Au contraire, beaucoup d'Arabes/Musulmans adorent le terroriste sadique Trump et ils n'hésitent pas à le défendre avec ferveur et à danser avec lui malgré son racisme et son sadisme anti-Arabes/Musulmans (voir vidéo).

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            • #7
              édifiant depuis hier le taré de trump a le pentagone sous ses talons

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              • #8
                donald trump pourrait egalement gracier sa fille et son gendre et son fils poursuivis par la justice new yorkaise ,meme si cette grace sera denoncee personne ne pourra rie n y faire parce que le president des usa peut gracier qui il veut.
                mais le plus difficille serait de s auto-gracier,cela pourrait etre considere comme un abus de pouvoir.

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                • #9
                  Donald Trump ,ou le visage hideux de l'Amérique ..
                  ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                  On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                  • #10
                    Envoyé par maroc
                    cela pourrait etre considere comme un abus de pouvoir.
                    Les dizaines de pardons déjà accordés par le terroriste Trump sont déjà de graves abus de ce pouvoir présidentiel. Le ministère de la justice a défini les conditions et les règles pour accorder des grâces présidentielles mais le terroriste Trump a violé toutes ces règles et il distribue des pardons à ses amis/proches et à des assassins dans un mépris total de la justice américaine et des Américains.

                    Au vu de ses graves crimes politiques et financiers, le terroriste Trump devrait être destitué mais les républicains sont tous des cultistes fascistes et tribalistes qui sont totalement soumis aux terroristes Trump de peur de perdre leurs postes. La démocratie américaine est tellement malade que l'Amérique est dirigée par un président illégitime et un criminel archi corrompu et dépravé qui commet des crimes financiers/politiques 24/24 dans une totale impunité grâce à la soumission totale des fascistes républicains.

                    Le régime mafieux et dépravé du terroriste Trump a dépassé les républiques bananières africaines en matière de corruption et de décadence politique et morale.

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                    • #11
                      mais le plus difficille serait de s auto-gracier,cela pourrait etre considere comme un abus de pouvoir.
                      Il n'est pas permet d'etre a la fois juge et accusé dans la même affaire ..un flagrant conflit d’intérêt .. mais Biden pourrait le garantir avant son départ.

                      La grâce des elements de Blackwater est surement liée a l’influences des lobbies des armes et les sociétés de sécurités qui travaillent cote a cote avec l'administration américaine dans les zones de conflit mais encore trump ne pense pas a la sécurité des américains qui pourront subir des actes de représailles.

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                      • #12
                        Malgré les critiques,un communiqué de la Maison Blanche justifie la raison du pardon comme suit: ils ont rendu service à la nation et que leur pardon est largement soutenu par les officiels élus et le peuple.


                        J'ai l'impression que le monde est entré dans une grande anarchie, tag 3la man tag.
                        البعره تدل على البعير

                        Quand l’injustice devient la loi, la Résistance est un Devoir !✊🏼DZ

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