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Erdogan-Israël. Maudits soient les normalisateurs, sauf moi
Erdogan vient de nommer un nouvel ambassadeur en Israël. Il s’appelle Ufuk Ulutas. Ça c’est Erdogan de la diplomatie. Eh bien on du mal à le reconnaître, parce que sur le front médiatique, il y a un autre président de Turquie, qui descend tous les pays qui établissent des relations avec Israël.
Il mobilise des chaînes turques comme TRT, son agence de presse, ses relais dans les pays concernés et paie grassement des journalistes qui passent leur temps à aboyer contre le TGV qui passe. Et qu’il a lui-même devancé!
Quelqu’un pourrait-il nous expliquer ce qui se passe, parce que les esprits rationnels ne s’y retrouvent plus. Erdogan veut-il monopoliser les relations avec Israël et se positionner comme le seul, l’unique facilitateur, celui sans qui rien de bon ne pourrait arriver? Comme on le connaît ce n’est pas exclu.
Quoi qu’il en soit, la réalité sur le terrain a montré qu’il n’a que peu de prise sur la décision d’Etats indépendants de faire la paix avec Israël. Il a beau crier au loup, on s’est vite aperçu que le loup c’est lui.
Je plains les journalistes qui font la promotion des idées erdoganiennes. Ils sont bien payés, certes, mais à chaque apparition, ils perdent un peu de crédibilité. Erdogan va les déplumer complètement.
Enfin, le président comprendra peut-être un jour que les relations internationales ne sont pas un match de foot où le gardien de but de l’équipe adverse se couche à droite pour laisser passer le ballon présidentiel à gauche.
Il mobilise des chaînes turques comme TRT, son agence de presse, ses relais dans les pays concernés et paie grassement des journalistes qui passent leur temps à aboyer contre le TGV qui passe. Et qu’il a lui-même devancé!
Quelqu’un pourrait-il nous expliquer ce qui se passe, parce que les esprits rationnels ne s’y retrouvent plus. Erdogan veut-il monopoliser les relations avec Israël et se positionner comme le seul, l’unique facilitateur, celui sans qui rien de bon ne pourrait arriver? Comme on le connaît ce n’est pas exclu.
Quoi qu’il en soit, la réalité sur le terrain a montré qu’il n’a que peu de prise sur la décision d’Etats indépendants de faire la paix avec Israël. Il a beau crier au loup, on s’est vite aperçu que le loup c’est lui.
Je plains les journalistes qui font la promotion des idées erdoganiennes. Ils sont bien payés, certes, mais à chaque apparition, ils perdent un peu de crédibilité. Erdogan va les déplumer complètement.
Enfin, le président comprendra peut-être un jour que les relations internationales ne sont pas un match de foot où le gardien de but de l’équipe adverse se couche à droite pour laisser passer le ballon présidentiel à gauche.
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