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Le diplomate français est au cœur d’une polémique après avoir rencontré des partisans de l’instauration d’une période de transition en Algérie.
Accrédité par les autorités algériennes en tant que nouvel ambassadeur de France en Algérie en remplacement de Xavier Driencourt, François Gouyette «se retrouve au centre d’une offensive menée par deux députés: Amira Slim (ex-RND) et Kamel Belarbi (FLN)», a rapporté jeudi dernier le journal français Jeune Afrique.
Pour les deux députés, le diplomate français a «profité de l’absence du chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune (hospitalisé en Allemagne) pour engager des discussions avec des partisans de l’instauration d’une période de transition, et de surfer sur un dangereux scénario imaginaire de la vacance du pouvoir».
Amira Slim a dit dans un post posté sur sa page facebook le 15 décembre dernier avoir «dénoncé et s’être indignée après les visites et les mouvements suspects de l’ambassadeur de France en Algérie et de son épouse dans le but de véhiculer l’idée d’une période de transition ».
Pour elle, ces sorties du diplomate français coïncide avec l’appel du président français Emmanuel Macron pour une période transitoire en Algérie qui est perçue comme une menace pour la souveraineté nationale et une ingérence dans les affaires internes de notre pays».
En outre, elle s’est montrée très critique envers le secrétaire général du FLN Abou El Fadl Baâdji qui a reçu, le 14 décembre au siège de son parti, François Gouyette, dont les sorties ne sont absolument pas du goût de certaines parties en Algérie.
Baâdji s’est attiré en effet les foudres de plusieurs personnes y compris au sein de son parti, dont certains ont qualifié sa démarche d’”irresponsable”.
chouroukonline
Accrédité par les autorités algériennes en tant que nouvel ambassadeur de France en Algérie en remplacement de Xavier Driencourt, François Gouyette «se retrouve au centre d’une offensive menée par deux députés: Amira Slim (ex-RND) et Kamel Belarbi (FLN)», a rapporté jeudi dernier le journal français Jeune Afrique.
Pour les deux députés, le diplomate français a «profité de l’absence du chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune (hospitalisé en Allemagne) pour engager des discussions avec des partisans de l’instauration d’une période de transition, et de surfer sur un dangereux scénario imaginaire de la vacance du pouvoir».
Amira Slim a dit dans un post posté sur sa page facebook le 15 décembre dernier avoir «dénoncé et s’être indignée après les visites et les mouvements suspects de l’ambassadeur de France en Algérie et de son épouse dans le but de véhiculer l’idée d’une période de transition ».
Pour elle, ces sorties du diplomate français coïncide avec l’appel du président français Emmanuel Macron pour une période transitoire en Algérie qui est perçue comme une menace pour la souveraineté nationale et une ingérence dans les affaires internes de notre pays».
En outre, elle s’est montrée très critique envers le secrétaire général du FLN Abou El Fadl Baâdji qui a reçu, le 14 décembre au siège de son parti, François Gouyette, dont les sorties ne sont absolument pas du goût de certaines parties en Algérie.
Baâdji s’est attiré en effet les foudres de plusieurs personnes y compris au sein de son parti, dont certains ont qualifié sa démarche d’”irresponsable”.
chouroukonline
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