Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière écarte tout projet d’hôpital exclusivement dédié à la Covid-19, et ce, faute de moyens aussi bien matériels qu’humains.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Ce sont 141 décès et 10 817 contaminations au coronavirus à être enregistrés parmi le corps médical, et ce, depuis le début de cette terrible pandémie, à la mi-mars dernier.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière qui intervenait, avant-hier jeudi, dans le cadre d’une séance plénière du Conseil de la Nation dédiée à des questions orales, a affirmé que les professionnels du secteur de la santé ont été, et sont encore, aux premiers rangs de la guerre menée contre la pandémie de coronavirus, et ce, à l’effet de sauver les vies des citoyens. Et de préciser que pas moins de 18 000 lits ont été mobilisés au niveau national, et plus de 1 400 lits en soins intensifs ont été assurés, outre l’élément humain pour les besoins de la lutte contre la Covid-19.
Abderrahmane Benbouzid a, dans la foulée, exclu la possibilité de construire une enceinte hospitalière ou l’affectation d’une structure hospitalière existante, exclusivement dédiée à la lutte contre la Covid-19 pour cause, a-t-il expliqué, de l’indisponibilité des moyens financiers, mais aussi de la ressource humaine y afférente.
Pour le ministre, cette perspective est «pratiquement impossible, car il est irraisonnable d’accueillir un grand nombre de malades dans un seul établissement, faute de moyens matériels et humains».
Et de faire part de la «poursuite de l’application de la stratégie du secteur , celle d’accueillir et de soigner les malades Covid-19, adoptée par la tutelle depuis le début».
Une stratégie qui tend, a-t-il ajouté, à «protéger les malades non infectés et ceux souffrant d’immunodépression, tels que les cancéreux et les insuffisants rénaux».
M. K.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Ce sont 141 décès et 10 817 contaminations au coronavirus à être enregistrés parmi le corps médical, et ce, depuis le début de cette terrible pandémie, à la mi-mars dernier.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière qui intervenait, avant-hier jeudi, dans le cadre d’une séance plénière du Conseil de la Nation dédiée à des questions orales, a affirmé que les professionnels du secteur de la santé ont été, et sont encore, aux premiers rangs de la guerre menée contre la pandémie de coronavirus, et ce, à l’effet de sauver les vies des citoyens. Et de préciser que pas moins de 18 000 lits ont été mobilisés au niveau national, et plus de 1 400 lits en soins intensifs ont été assurés, outre l’élément humain pour les besoins de la lutte contre la Covid-19.
Abderrahmane Benbouzid a, dans la foulée, exclu la possibilité de construire une enceinte hospitalière ou l’affectation d’une structure hospitalière existante, exclusivement dédiée à la lutte contre la Covid-19 pour cause, a-t-il expliqué, de l’indisponibilité des moyens financiers, mais aussi de la ressource humaine y afférente.
Pour le ministre, cette perspective est «pratiquement impossible, car il est irraisonnable d’accueillir un grand nombre de malades dans un seul établissement, faute de moyens matériels et humains».
Et de faire part de la «poursuite de l’application de la stratégie du secteur , celle d’accueillir et de soigner les malades Covid-19, adoptée par la tutelle depuis le début».
Une stratégie qui tend, a-t-il ajouté, à «protéger les malades non infectés et ceux souffrant d’immunodépression, tels que les cancéreux et les insuffisants rénaux».
M. K.
Commentaire