27 December 2020
Ce projet de loi que la députée algérienne Amira Selim, a proposé et qui criminalise la promotion de la normalisation avec l'entité sioniste à travers les médias et les réseaux sociaux, est plus qu'un acte symbolique.
C'est une politique de principe qui veut dire beaucoup plus qu'elle n'en a l'aire. Elle veut dire que l'Algérie ne tolérera pas une "golanisation" du Sahara occidentale et qu'elle n'attendra pas que les sionistes d'origine marocaine débarquent au sein de l'armée marocaine, qu'ils en prennent le contrôle avant de passer à l'acte et à nuire à la sécurité nationale algérienne. Car pour dire les choses comme elles, pas un Algérien digne de ce nom n'est adepte de la capitulation face à "Israël".
Le Parlement algérien décide de criminaliser la normalisation avec l’entité sioniste.
Dans un post sur sa page Facebook, la députée a expliqué que ce projet juridique vient en soutien à la position officielle de l' État algérien qui rejette toute normalisation avec l'entité sioniste, d'autant plus que le conflit du Sahara occidental est une question de décolonisation. Le projet de loi comprend neuf articles, dont l'interdiction à toute personne ou parti de promouvoir le discours de normalisation avec l'entité sioniste par le biais des médias officiels ou privés, la possibilité d'engager une action en justice contre tout journaliste ou travailleur du secteur des médias.
Pour cette député, tout comme pour l'Etat et la nation anti colonialiste algériens, la capitulation du Maroc qui était dans l'air depuis fort longtemps fait partie de ce projet du Maghreb élargi dont le volet moyen oriental vient de se faire capoter par l'axe de la Résistance. Au Maghreb, l'axe US/Israël, cherche tout comme au Moyen-Orient, de créer une nouvelle vague de "chaos interne et armé" par intrusion du facteur sioniste, chaos qu'il cherchera être le plus confessionnalistes, ethnicistes possible. Une ligne de chaos reliant le Moyen Orient au Maghreb avec à ses deux extrémités, l'Iran et l'Algérie. Après tout un Israël quasi inexistant ne saurait survivre qu'en se faisant inoculer aux Emirats ou au Maroc et en y cherchant à foutre le chaos, puisque telle est l'essence de l'entité sioniste.
En fait, cette politique fournit le prétexte à Israël de ne mobilisera pas son armée pour combattre sur les fronts. Mais elle le poussera à propager le projet de l’iranophobie pour faire suggérer à ses mercenaires du bassin du golfe Persique que l’Iran représente une menace pour la sécurité régionale et il faut l’affronter !
Jacques Tourtaux blog
Ce projet de loi que la députée algérienne Amira Selim, a proposé et qui criminalise la promotion de la normalisation avec l'entité sioniste à travers les médias et les réseaux sociaux, est plus qu'un acte symbolique.
C'est une politique de principe qui veut dire beaucoup plus qu'elle n'en a l'aire. Elle veut dire que l'Algérie ne tolérera pas une "golanisation" du Sahara occidentale et qu'elle n'attendra pas que les sionistes d'origine marocaine débarquent au sein de l'armée marocaine, qu'ils en prennent le contrôle avant de passer à l'acte et à nuire à la sécurité nationale algérienne. Car pour dire les choses comme elles, pas un Algérien digne de ce nom n'est adepte de la capitulation face à "Israël".
Le Parlement algérien décide de criminaliser la normalisation avec l’entité sioniste.
Dans un post sur sa page Facebook, la députée a expliqué que ce projet juridique vient en soutien à la position officielle de l' État algérien qui rejette toute normalisation avec l'entité sioniste, d'autant plus que le conflit du Sahara occidental est une question de décolonisation. Le projet de loi comprend neuf articles, dont l'interdiction à toute personne ou parti de promouvoir le discours de normalisation avec l'entité sioniste par le biais des médias officiels ou privés, la possibilité d'engager une action en justice contre tout journaliste ou travailleur du secteur des médias.
Pour cette député, tout comme pour l'Etat et la nation anti colonialiste algériens, la capitulation du Maroc qui était dans l'air depuis fort longtemps fait partie de ce projet du Maghreb élargi dont le volet moyen oriental vient de se faire capoter par l'axe de la Résistance. Au Maghreb, l'axe US/Israël, cherche tout comme au Moyen-Orient, de créer une nouvelle vague de "chaos interne et armé" par intrusion du facteur sioniste, chaos qu'il cherchera être le plus confessionnalistes, ethnicistes possible. Une ligne de chaos reliant le Moyen Orient au Maghreb avec à ses deux extrémités, l'Iran et l'Algérie. Après tout un Israël quasi inexistant ne saurait survivre qu'en se faisant inoculer aux Emirats ou au Maroc et en y cherchant à foutre le chaos, puisque telle est l'essence de l'entité sioniste.
En fait, cette politique fournit le prétexte à Israël de ne mobilisera pas son armée pour combattre sur les fronts. Mais elle le poussera à propager le projet de l’iranophobie pour faire suggérer à ses mercenaires du bassin du golfe Persique que l’Iran représente une menace pour la sécurité régionale et il faut l’affronter !
Jacques Tourtaux blog
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