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Brexit : le père de Boris Johnson se dit «européen» et réclame la citoyenneté française

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  • Brexit : le père de Boris Johnson se dit «européen» et réclame la citoyenneté française

    Par Le Figaro Publié le 31/12/2020

    Le divorce entre le Royaume-Uni et l'Union européenne entrera en vigueur ce jeudi 31 décembre à 23h00 à Londres.

    «Je serai toujours européen, ça c'est sûr». Stanley Johnson, le père du premier ministre britannique, s'est exprimé au micro de RTL jeudi 31 décembre, à quelques heures de l'entrée en vigueur du Brexit.

    Le père de Boris Johnson effectue toutes les procédures nécessaires pour obtenir la citoyenneté française. L'écrivain et ex-député européen réclame ce qu'il estime lui être dû : «Ce n'est pas une question de devenir français. Si j'ai bien compris, je suis Français. Ma mère est née en France, sa mère était entièrement française, et son grand-père également. Alors pour moi, c'est une question de réclamer ce que j'ai déjà. De ce fait, je suis très content» explique-t-il à RTL.

    Selon Stanley Johnson qui refuse de cantonner l'UE au marché commun, les Britanniques resteront des Européens. «On ne peut pas dire aux Anglais : vous n'êtes pas Européens». Et d'ajouter : «Avoir un lien avec l'Union européenne, c'est important».
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

  • #2
    Comme Poutine et Erdogan (Istanbul), ils se disent européens.

    Il peut avoir la nationalité française pour d'autres raisons que celle de se considérer européen.

    Commentaire


    • #3
      @Panshir Il peut avoir la nationalité française pour d'autres raisons que celle de se considérer européen.

      May be to be a french lover ?
      Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
      Mahomet

      Commentaire


      • #4
        Si la moitié des Anglais qui a voté contre le Brexit demande la nationalité française, l'Angleterre deviendra à moitié française.
        La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

        Commentaire


        • #5
          A part le père de Boris
          Les vieux ont décidé de l'avenir des jeunes

          J'y croyais pas au Brexit
          J'y crois toujours pas
          Ça s'peut pas

          Comm' c'est con d'avoir fait ça

          Commentaire


          • #6
            Le royaume était bien désuni en 2016. Seulement 51,9 % pour le Brexit. Abstention 27,8%

            En 2016, les jeunes ont massivement voté pour le maintien dans l'union européenne.

            Les 50-64 ans ont voté pour le Brexit à 58% et les plus de 65 ans a voté 62 % Brexit.

            Londres, l'Ecosse, l'Irlande du nord et Gilbratar ont voté contre le Brexit, tout comme les villes des plus grandes universités.

            Exemple des fractures avec l'Ecosse et l'Irlande du Nord: Edinburgh et Belfast ont voté à plus de 74 % contre le Brexit.

            Commentaire


            • #7
              Panshir
              Voilà quoi

              Pourquoi les vieux décident ?

              Commentaire


              • #8
                Et les jeunes sont pas mieux..

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                • #9
                  @Nessy,

                  Les vieux sont en plus majoritaires dans la population.
                  Faut-il une limite d'âge pour qu'ils ne décident pas à la place des jeunes ?
                  Y a bien une limite à 16 ou 18 ans pour les jeunes.

                  Cameron a refusé le vote aux jeunes de 16 et 17 ans et à beaucoup d'autres expatriés. Il a exclu du vote de 2016 pas mal de britanniques pou remporter l'élection Brexit.

                  Commentaire


                  • #10
                    Le Brexit a été en grande partie influencé par le terrorisme djihadiste et la terrible crise des réfugiés qui avaient secoué l'Europe avant juin 2016. Sans la crise des réfugiés et sans le terrorisme djihadiste, il est fort possible qu'il n'y aurait pas eu de Brexit puisque le référendum avait été décidé sous la pression des politiciens et des médias de l'extrême droite britannique (conservateurs extrémistes, UKIP, The Sun, Dailymail...etc) qui avaient massivement exploité le terrorisme djihadiste et la crise des réfugiés en Europe pour faire peur aux Britanniques en leur répétant que sans une sortie de l'UE, le Royaume-Uni allait subir une invasion de réfugiés musulmans et un déluge d'actes terroristes djihadistes (voir vidéo 1).

                    La propagande xénophobe et islamophobe étaient si massives qu'une député britannique a été sauvagement assassinée en plein jour et en pleine rue par un terroriste néo-nazi britannique parceque la brave député Jo Cox était pro-Europe et pro-tolérance (voir vidéo 2).

                    A travers leur invasion criminelle de l'Irak en 2003 qui avait fini par provoquer la création de Daech et la crise des réfugiés en Europe, et à travers leur propagation du salafisme et leur soutien aux groupes djihadistes à travers le monde, les terroristes américains et leurs valets saoudiens ont provoqué des séismes politiques en Europe avec le virage vers l'extrême droite dans plusieurs pays européens, y compris avec le Brexit au Royaume-Uni, le parti anti-Islam AfD en Allemagne...etc. Une fragilisation de l'Europe qui plait énormément au terroriste néo-nazi Donald Trump qui est arrivé au pouvoir grâce à ses discours anti-immigrés et anti-musulmans et qui était un fervent défenseur de Brexit. Pour les racistes néo-nazis américains comme le terroriste fasciste Donald Trump et son culte républicain, l'Europe doit demeurer divisée, fragmentée, fragilisée et soumise aux Etats-Unis.



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