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**Pomaria** · 05 janvier 2021, 23h58

Message de Rachid Nekkaz de la prison de Koléa le 03 janvier 2021

LA STRATÉGIE DU DÉNOMMÉ ZEGHMATI : PAS DE LIVRES DE DROIT POUR LES PRISONNIERS.

Le dénommé Belkacem ZEGHMATI, ministre de la justice a donné l’ordre au directeur de la prison de Koléa d’interdire aux 4 000 prisonniers de lire à la bibliothèque des livres juridiques et de les emprunter pour les lire dans leurs cellules. Des livres de droit comme le code civil, le code pénal, le code de procédure pénal, le code de l'organisation pénitentiaire ainsi que la constitution.

Cette démarche scandaleuse et inadmissible dont l’objectif principal est d’empêcher des prisonniers d’opinion d’avoir accès à des livres juridiques pour mieux se défendre devant les juridictions algériennes ou les juridictions internationales telles que :
- La cour internationale de justice,
- la cour pénale internationale
- et la cour européenne des droits de l'homme.

SE DÉFENDRE EST UN DROIT.

En résumé, LA STRATÉGIE DU DÉNOMMÉ ZEGHMATI EST DE CONTRÔLER ET DE LIMITER LES DÉMARCHES JURIDIQUES DES PRISONNIERS DU HIRAK, EN AYANT AUCUN LIVRE DE DROIT À METTRE À LEUR DISPOSITION AFIN DE LES MAINTENIR EN PRISON LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE.
Les seules choses que les prisonniers ont le droit de consommer ce sont les lentilles, les haricots et le pouvoir arbitraire du dénommé ZEGHMATI qui malheureusement ne tient pas compte des lois algériennes.

L’arbitraire est devenu la « BIBLE » du dénommé ZEGHMATI.

Par ailleurs, RACHID NEKKAZ REMERCIE TOUTE LA COMMUNAUTÉ DES AVOCATS ALGÉRIENS QUI SONT LES SEULS À DONNER AUX PRISONNIERS DES CONSEILS JURIDIQUES POUR COMBATTRE CETTE DICTATURE QUI NE RESPECTE NI DIEU, NI LES LOIS HUMAINES.

**OKHAYYAM** · 06 janvier 2021, 00h07

Les voyous et voleurs qu’il avait démasqués se vengent ! Sinon de quoi est-il accusé ?

**Pomaria** · 06 janvier 2021, 00h11

C'est Rachid Nekkaz qui a donné au mouvement populaire un caractère pacifique, civilisé et démocratique.

C'est Rachid Rachid Nekkaz qui a sillonné le pays 4 années durant, sillonné dans tous les recoins et toutes bourgades du pays

C'est Rachid Rachid Nekkaz qui a donné courage, montré le chemin et a impliqué les jeunes dans l'activisme politique, alors que tous les algériens étaient devenus apolitiques.

Sincèrement, il avait tout ce qu'il faut pour vivre une vue paisible.
Mais, il a choisit son pays, abandonné sa nationalité de naissance, pour se consacrer et se mettre du coté de son peuple et leurs droits à la parole et à la vie comme tous les peuples du monde.
Maintenant, il se retrouve à se faire torturer lui et Drareni dans sa propre cellule, par ces émirs terroristes de ce régime criminel !

Ca dépasse tout entendement !

**Pomaria** · 06 janvier 2021, 00h13

OKHAYYAM

Sinon de quoi est-il accusé ?

Au point ou on en est avec la HOGRA contre les PATRIOTES
et avec cette justice aux ordres de la JUNTE MILITAIRE MAFIEUSE,
est-ce que tu es sérieux en posant cette question ?

**wahrani** · 06 janvier 2021, 09h38

C'est la loi de l'OMERTA tu goul tu coule !

**Pomaria** · 06 janvier 2021, 10h53

Nekkaz, ce brave patriote a touché du doigt à un secteur très très stratégique, et à mis en lumière un scandale de la compagnie TOTAL qui touche aux puissants de cette JUNTE CRIMINELLE MAFIEUSE.

Et c'est très très dangereux pour ces mafieux !

Alors, non seulement ils l'emprisonnent, mais ils le torturent pour qu'il pète les plombs !

**bendz** · 06 janvier 2021, 17h03

pourquoi celles pour qui il a paye des milliers d'amendes anti burka ici en France ne font rien devant les consulats algeriens pour lui venir en aide..puisque les initiateurs des exhibitions place de la Republique ne lui seront d'aucune utilite..pour une raison ou une autre

**sekrouf** · 06 janvier 2021, 19h06

Wallah ce type yastahel koul el-khir !

**Yastasinas** · 06 janvier 2021, 19h39

Militance : entre réalité et fiction.

Pomaria,
Avant de commencer mon propos, je tiens à ce qu'il n'y ait aucune ambiguïté sur mes intentions : la détention de Rachid Nekkaz est une détention arbitraire car elle est la conséquence de ses opinions politiques. De ce fait, comme tous les autres détenus politiques et d'opinion, sa remise en liberté ne doit souffrir d'aucune nuance. Et si demain, il y a une manifestation pour exiger sa libération, je serai parmi les manifestants, comme je l'ai fait pour exiger la libération de tous les détenus d'opinion.

Cette clarification faite, je ne puis ne pas réagir à ton propos sans nuances :

1/ En dehors de la mouvance islamiste qui a pris les armes, le courant démocrate a toujours fait du pacifisme sa maxime de vie et de militance. C'est même l'une de ses références. Son projet de société moderne, "civilisé" (pour te paraphraser) et démocratique a été formalisé depuis des décennies : le FFS à partir de 1963, le PAGS, en 1965, le MCB avec le Printemps berbère d'avril 1980. Je mentionne volontairement les partis de la mouvance démocratique qui ont fait de la modernité et du pacifisme leur projet de société avant 1988. Octroyer une telle paternité à Nekkaz, c'est faire montre d'une manipulation éhontée de l'histoire. Et de un.

2/ Depuis des décennies, des militantes et des militants sillonnent le pays dans toute son immensité pour expliquer le projet d'une Algérie moderne, laïque et démocratique. Malgré la barbarie du terrorisme islamiste et la répression du pouvoir, ces militants n'ont jamais baissé les bras, au risque de leurs vies, à un moment où Nekkaz vivait à Paris bien au chaud. Et de deux.

3/ Je ne sais pas de quels Algériens tu parles mais moi, je n'ai jamais cessé de rencontrer des Algériennes et des Algériens politisés. Certes, il y a eu une certaine forme de désaffection partisane, vu les limites et les renoncements des partis politiques, mais le débat politique a toujours été nourri. J'ai l'impression que tu confonds entre les notions "apolitique" et "non partisan".
Le mouvement populaire de février 2019 n'est pas né du néant. Ce n'est pas un mouvement spontané ayant émergé du jour au lendemain, comme veut l'imposer une certaine propagande. C'est la conséquence de plusieurs décennies de luttes, de victimes du terrorisme islamiste et de l'arbitraire d'Etat. C'est la résultante de ces milliers de manifestations organisées par les mouvements de femmes, les associations, les partis politiques démocratiques, le Mouvement culturel berbère. C'est le fruit de ces graines semées depuis longtemps pour une Algérie démocratique, moderne, laïque et respectueuse de ses diversités et de ses identités multiples. Durant toutes ces années, Rachid Nekkaz faisait ses affaires entre Paris et Douha (tant mieux pour lui). Au moment où on luttait contre l'intégrisme islamiste et son corollaire le terrorisme islamiste, il se vantait de payer les amendes des femmes qui portaient la burka en violation de la loi française. Et de tois.

A chacun de choisir, en toute liberté, ses paradigmes et ses combats. Cependant, refaire l'histoire n'aidera aucunement le combat de Rachid Nekkaz, surtout en cette période où les démocrates ont besoin de militer ensemble.

#Free_Rachid_Nekkaz

**Pomaria** · 06 janvier 2021, 22h46

Yastasinas

1/ En dehors de la mouvance islamiste qui a pris les armes, le courant démocrate a toujours fait du pacifisme sa maxime de vie et de militance. C'est même l'une de ses références. Son projet de société moderne, "civilisé" (pour te paraphraser) et démocratique a été formalisé depuis des décennies : le FFS à partir de 1963, le PAGS, en 1965, le MCB avec le Printemps berbère d'avril 1980. Je mentionne volontairement les partis de la mouvance démocratique qui ont fait de la modernité et du pacifisme leur projet de société avant 1988.

Tu ne me dis rien de nouveau. Donc, on est d'accord sur ces points.

Yastasinas

Octroyer une telle paternité à Nekkaz, c'est faire montre d'une manipulation éhontée de l'histoire. Et de un.

Bah bah bah !

Je crois que tu n'as vraiment pas bien compris mes propos. Je n'ai jamais octroyé la paternité du HIRAK à Nekkaz. Mais la démarche, oh que oui !
En effet, il faut savoir avouer, le dire haut et fort, et reconnaitre que NEKKAZ a fait un travail colossal et sur plusieurs années. Il a réussit à réconcilier l'algérien avec la lutte politique, et avec la possibilité de lutte démocratiquement pour ses idées, même avec un pouvoir violent Je m'explique...

Si on revient en arrière dans les années avant le 22 fevrier 2019, il faut voir comment la stricte majorité des algériens étaient devenu totalement APOLITIQUE. Des khobistes finis ! Genre ... les policitien ? ils sont tous pourris .. Après moi le déluge ... Chacun pour soi ...

Je me souviens juste d'une scène quelques moi avant le HIRAK, et qui m'a fait vraiment pitié. C'était le jour où Zoubida Assoul, Soufiane Jilali et quelques autres activistes, se sont retrouvés à manifester seuls dans une place publique, puis, ont été embarqué violemment et manu militari par la police, sous les regards curieux de badots.

Voilà où en était arrivé le peuple algérien ! :22:

La raison de cette situation était très simple:
Non seulement la terreur de la décennie noire était passée par là,
mais surtout que le Régime Mafieux Bouteflika et son DRS de TOUFIK, ont réussit à gangréner et à discréditer tous les partis politiques. Même la vraie opposition et des partis prestigieux comme le FFS.

Toutes manifestations politiques, estudiantines,ou sociales étaient soit très localisées, soit on la faisait virer la plupart du temps dans la violence, car pas très encadré par des partis politiques, ou facilement noyauté par le DRS.
Ainsi le régime mafieux Boutef arrivait très facilement à discréditer et à tuer dans l'oeuf toute opposition ou tout mouvement politique ou social.

Dans ce cadre, Nekkaz a été d'un très grand apport et un vrai catalyseur pour le déclenchement du Hirak, et ce, sur l'aspect pacifisme de la lutte démocratique pour ses idées, et le calme à tout épreuve qu'il avait inculqué à pas mal de jeunes algériens dans tous les recoins et dans tous les plus petits patelins de ce pays., et ce pendant plusieurs années avant le Hirak.
Et là, je ne parle aucunement de ses idées politiques et son idéologie. Loin de là.

Et jamais de mémoire d'algérienne, je n'ai vu un politicien ayant lutté pour ses idées avec autant de persévérance, autant d'acharnement, autant de capacité d'écoute des préoccupations de ceux qu'il cotoyait dans la rue, et autant de pédagogie pour vulgariser ses idées au petit citoyen lambda, aux jeunes,
Son engagement étai telle :
- qu'il est arrivé à sillonner tout le pays du nord au grand sud et l'est à l'ouet,
- sur plusieurs milliers de kilomètres
- sans répits, sans fatigue et sans relache,
- et ce, pendant plus 4 à 5 ans durant.
Et ce, malgrè toutes les répressions et toutes les violences qu'il a eu à subir à chaque fois, et dont il a fait l'objet par les agents du DRS et par les services de sécurité.

Nekkaz, et par son comportement à toujours savoir rester de marbre face aux pires situations, il a su démontrer que par le pacifisme, par le langage policé, le courage à toute épreuve, et le fait de ne pas céder à la manipulation du régime, tout algérien peut ainsi réussir à faire passer son message et lutter pour ses idées.

Et ce, tandis que nos autres opposants politiques se réunissaient eux, et de temps en temps, en petit comité avec leurs propres partisants dans des petites salles. Mais lui, Nekkaz, n'avait jamais peur de sortir tout seul dans la rue à cotoyer les premiers concernés, et être présent dans toutes les luttes, à l'écoute des préoccupations du peuple et des petites gens, et à tous les évenements et partout dans le pays, et avec ses propres moyens.

Et ceci, strictement aucun activiste politique algérien n'a pu le faire. Aucun !

Alors si tu n'es incapable de reconnaitre au moins ca, et le fait qu'il a réconcilié l'algérien avec la lutte pacifique et la lutte politique pour ses idées, alors je n'y peux rien pour toi !

Moi je dirai même plus. Si nos vrais partis d'opposition politiques voulaient vraiment recouvrer leur propre crédibilité auprès du peuple, convaincre de leurs idées une bonne part des algériennes et algériens, et pourquoi pas avoir de nouveaux partisans, ils n'ont qu'à se mouiller la chemise, et sortir dans la rue, et pas seulement dans les grandes villes, mais aussi et surtout partout dans tous les recoins du pays.. Ils n'ont pas 36.000 choix possibles. Et cette remarque, je l'ai déjà dite, redite et criée ici dans ce forum-même, et ceci, bien avant que le Hirak ne se déclenche.

Et heureusement, qu'avant le hirak, Nekkaz avait fait une bonne part de ce travail auprès des jeunes , et auprès du petit peuple

**Yastasinas** · 07 janvier 2021, 18h14

Convergence des luttes pour la démocratie.

Pomaria,
Encore une fois, Rachid n'est aucunement mon adversaire politique. Au contraire, je considère que nous convergeons sur plusieurs sujets, même si je ne connais pas assez bien son opinion sur l'islamisme politique et son corollaire le terrorisme islamiste.

Mon propos n'est donc aucunement polémique. Cependant, réduire le combat démocratique en Algérie à ces 4 dernières années et affaire de cécité politique ou de calculs politiciens étroits.

Je ne le dirai jamais assez, la protestation citoyenne de février 2019 tire ses racines des décennies de luttes de femmes et d'hommes, au sein d'associations, de partis et de mouvements politiques. Il a fallu qu'il y ait la synergie des efforts de toutes les militantes et de tous les militants pour arriver à canaliser toutes les lames de fond qui traversaient le pays et ce, malgré les contradictions apparentes.

Dans l'histoire récente de l'Algérie, l'action politique se fait en fonction de l'évolution d'un contexte historique, celui-ci en harmonie avec les actions politiques des uns et des autres, qui connaissent des périodes de flux et de reflux. Les événements du Printemps noir de Kabylie en 2001 furent un point culminant au début du siècle. Ils auraient pu être un catalyseur des luttes pour réussir une convergence démocratique mais à cause de certaines contradictions au sein de la société, il n'en fut rien.

Ces périodes de luttes sont des étapes historiques qui secouent les tréfonds du pays régulièrement. Chacune mobilisant un peu plus et offrant des étapes intermédiaires pour un meilleur sursaut. La décennie sanglante, en lien avec le terrorisme islamiste, a imposé le changement de paradigmes et, surtout, la mutation des méthodes de lutte.

Pour des raisons que j'ignore, vous voulez personnaliser un combat politique qui est porté par des milliers de femmes et d'hommes, torturés, emprisonnés et assassinés, depuis des lustres. En procédant de la sorte, vous participez, sans le vouloir, à cette méthode inique du pouvoir qui veut décrédibiliser l'action politique.

Connaissez-vous le défunt militant démocrate Hamid Ferhi? Savez-vous qu'il a passé ces 3 décennies à sillonner le pays, seul ou avec quelques camarades, en allant de bourgade à village, de petite ville à grande agglomération? Pourtant, il n'avait aucunement les moyens financiers dont dispose Rachid Nekkaz. Savez-vous qu'il a été arrêté des dizaines de fois, qu'il a été bastonné des centaines d'autres? Qu'il a échappé à plusieurs tentatives d'assassinat? Pourtant, Hamid ne faisait pas de la politique à la sauce Twitter. Hamid ne disait pas "Je". Hamid faisait en sorte à ce qu'il y ait une convergence des forces démocratiques.

Pourquoi je donne l'exemple de Hamid? C'est pour illustrer l'indispensable humilité de l'engagement en politique. Quand on est un militant, on sait que nos actions ne valent rien, si elles ne sont pas la résultante d'un travail des multiples forces en devenir.

Les actions de Rachid ont-elle eu un impact positif? Evidence que oui. Cet apport est-il à l'origine de la déferlante de 2019? Une autre évidence : non.

A sa sortie de prison, j'espère qu'on retrouvera Rachid sur le terrain des luttes, en dehors des périodes électorales, pour la démocratie, la laïcité, l'abrogation du code de l'infamie, l'indépendance de la justice, la liberté d'expression, la défense des droits humains, etc.

Je vais conclure mon message en espérant que tous le démocrates vont se mobiliser sans délais pour exiger la libération de tous les détenus d'opinion, à commencer par Rachid Nekkaz, un détenu d'opinion en détention arbitraire.

**lala-moulati** · 07 janvier 2021, 21h51

C'est pour illustrer l'indispensable humilité de l'engagement en politique. Quand on est un militant, on sait que nos actions ne valent rien, si elles ne sont pas la résultante d'un travail des multiples forces en devenir.

Je suis d'accord mais il ne faut pas oublier que Nekkaz son combat est plus médiatisé a cause des réseaux sociaux. Au temps de Hamid Ferhi et bien d'autres les moyens de diffusion de l'info n'étaient pas identiques. A part ca, tout les combats et toutes les luttes se valent si c'est pour la justice pour tous.

Il faut un large soutien de la population comme au début, une plus grande solidarité pour que ceux qui sont en prison soient relaxés.
Sinon,ce sera dorénavant la traversée du désert pour les activistes. J'ai remarqué qu'il y a une certaine tiédeur, désolidarisation et non engagement de la classe moyenne,je peux me tromper. la pandémie n'a pas été avantageuse au Hirak.

**Pomaria** · 07 janvier 2021, 22h56

Yastasinas

Tu es plus entêté que moi, on dirait !

Disons que le travail pour aboutir au HIRAK était collectif , et ce pour ne pas te froisser encore !

Pour le chef du MDS, mon mari l'a connu à travers son fils. Il est malheruresement décédé comme un parfait inconnu la veille du Hirak dans un hopital publique pour un simple AVC "mal pris en charge."... :22: Allah yerrahmou.

Je persiste à dire qu'au niveau de la méthode, Nekkaz a apporté un vrai "plus" au Hirak qui manquait à tous les autres politiciens et partis d'opposition réunis ,qui sont, eux, de la veille école

en terme de communication et en terme de travail-terrain. Malheureusement...

Donc, à cette opposition d'en prendre de la graine pour travailler sur le terrain autrement que par leurs vielles méthodes révolues, et ce, en tachant d'être présents partout dans tous les évenements importants, de parler le langage de la rue, en côtoyant et être à l'écoute et donner la parole à monsieur tout le monde, les convaincre de sa démarche et de ses idées. Et avoir ainsi plus d'aura, plus d'impact et plus de partisans. Il ne faut plus qu'ils attendent que les médias du régime diffusent quoi que soit.

Et là quand je parle "aspect démarche", je ne parle aucunement de combat des idées et des idéologies. Ainsi, je ne défend ni les idées de Nekkaz, ni celles du FFS,ni les tiennes, ni l'idéologie de quiconque. Pour moi tout algérien doit avoir le droit d'exprimer ses idées. Quelqu'elles soient.
Et donc pour moi, la lutte sur le terrain des idéologies, ce n'est vraiment pas le moment de les sortir maintenant. Mais vraiment pas le moment.
Ce régime Mafieux n'attend que ca, pour nous diviser et avoir raison de nous.

L'objectif prioritaire et critique est de d'abord et avant tout, les dégager.
Dégager cette Mafia criminelle, avant que ca ne soit trop tard.

Pour ensuite préparer une vraie phase de transition pour que ce peuple puisse poser enfin les fondation d'un vrai état démocratique, qui respecte des droits fondamentaux, politiques, civils et sociaux de chacun,
et d'un vrai état de droit où la Justice est au dessus de toutes et de tous,
et état où tout citoyen se sentira comme parti prenante dans son pays, et comme un vrai acteur pour la construction de son propre pays.
Ce jour là, plus personne n'ira se suicider au large de la méditerranée....:22:

Car après avoir dégager ces Mafieux, on aura tout le loisir de discuter, et de permettre à toutes les tendances politiques de s'exprimer, de montrer ce qu'elles ont dans le cran et de tenter de convaincre le peuple de leurs programmes.

Mais, surtout pas maintenant. Non !

**Pomaria** · 10 janvier 2021, 23h36

Une pensée à Rachid Nekkaz à Paris (place Trocadéro), à l'occasion de son anniversaire.
Ca fait 13 mois qu'il est en détention arbitraire au GANTANAMO d'ALgérie

Joyeux anniversaire à notre frère RACHID NEKKAZ
Liberté à Rachid NEKKAZ et à tous les détenus du HIRAK
ABAT ce Régime CRIMINEL MAFIEUX

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Le Régime pratique de la TORTURE Physique et Psychologique contre Rachid NEKKAZ

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