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DEUX HAUTS RESPONSABLES AMÉRICAINS REÇUS À ALGER Cartes sur table !

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  • DEUX HAUTS RESPONSABLES AMÉRICAINS REÇUS À ALGER Cartes sur table !

    L’Algérie a accueilli Barbara McConnell Barrett, la secrétaire aux Forces aériennes américaines, et David Schenker, le sous-secrétaire d’État américain en charge du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord. Une double visite militaire et diplomatique de deux membres de l’administration Trump à quelques jours de l’installation du Président Joe Biden.
    Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Alger est une des étapes de la tournée régionale qu’effectuent Barbara Barrett, la secrétaire aux Forces aériennes américaines, et David Schenker, et le sous-secrétaire d’État américain en charge du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord.
    Une visite qui intervient à quelques jours de la fin du mandat du Président Donald Trump. Barbara Barrett et David Schenker, étant membres de son administration, sont tous deux appelés à quitter leurs postes dans quelques semaines. Jeudi, David Schenker a été reçu par Sabri Boukadoum, le ministre des Affaires étrangères.

    Impartialité
    Une occasion pour le chef de la diplomatie algérienne de lui rappeler que les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, ont ouvertement pris position pour un pays colonisateur en reconnaissant la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental. «Les deux responsables ont longuement échangé sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun, y compris le Sahara Occidental, le Mali, la Libye, et la situation prévalant dans la région du Sahel et au Moyen-Orient. À cet égard,
    M. Boukadoum a souligné la nature du rôle attendu des États-Unis pour faire avancer les causes de la paix sur les plans régional et international, dans l’impartialité qu’exigent les défis actuels», précise un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
    Une position totalement assumée par ce responsable du département d’État qu’il a tenu à réitérer lors d’une conférence de presse animée à l’ambassade des États-Unis.
    «Nous pensons que les négociations (entre le Front Polisario et le Maroc) devraient avoir lieu dans le cadre du plan d'autonomie du Maroc», a indiqué David Schenker. Exit le principe d’un règlement de ce conflit sous l’égide de l’ONU. Pour ce qui est d’une éventuelle suppression par le Président Biden de la reconnaissance de la «marocanité» du Sahara Occidental, le sous-secrétaire d’État américain a eu la réponse suivante : «Ce n’est pas une décision dont je peux parler. J'ai été nommé pour travailler dans l'administration du secrétaire Pompeo. Chaque administration a la prérogative de définir la politique étrangère et de déterminer les initiatives de l'administration.» Une évidence.

    Pas de base US au Sahara Occidental
    Cependant, Schenker a été catégorique : Washington n’a aucune intention d’installer une base militaire sur le territoire du Sahara Occidental. L’information avait été diffusée par la presse marocaine puis largement commentée par des médias algériens.
    Les États-Unis n'établissent pas de base militaire au Sahara Occidental. Africom ne parle pas de déplacer son siège au Sahara Occidental. À cet égard, j'ai vu les articles de la presse marocaine et algérienne et ils sont incorrects», a-t-il précisé. De son côté, Barbara Barrett, la secrétaire aux Forces aériennes américaines, qui était accompagnée du général Jeffrey Harrigian, commandant des forces aériennes américaines en Afrique et en Europe, a rencontré de hauts responsables du ministère algérien de la Défense nationale, notamment le général-major Abdelhamid Ghriss, secrétaire général du MDN, général-major Mahmoud Laraba, commandant des Forces aériennes et le général-major Kaïdi Mohamed, chef du département emploi-préparation de l'état-major de l'Armée nationale populaire.
    La délégation américaine menée par Barbara Barrett n’a cependant pas été reçue par le chef d’état-major de l’ANP, le général de corps d’armée Saïd Chanegriha.
    Il est évident que le devenir des relations algéro-américaines ne peut se définir à l’occasion d’une simple visite de représentants d’une administration sur le départ. Tout se jouera dans quelques mois, lorsque le Président Joe Biden et Antony Blinken auront clairement posé leur politique en Afrique du Nord.
    T. H.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Impartialité

    Une occasion pour le chef de la diplomatie algérienne de lui rappeler que les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, ont ouvertement pris position pour un pays colonisateur en reconnaissant la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental.
    Alger qui a pris position " en reconnaissant une RASD " demande aux States de ne pas prendre position " Marocanité du sahara "

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    • #3
      e


      et SI une guerre quelque part se tramait derriere la tete = tatonnement de point de vues !
      Dernière modification par m1111, 09 janvier 2021, 13h35.

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      • #4
        Beaucoup mélangent entre la politique Américaine et un président Américain

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        • #5
          La tu prends le peuple américain pour des imbéciles profonds.
          J'aime surfer sur la vague du chaos.

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          • #6
            Le tiers monde qui croit mieux connaitre ce qui doit aller pour la première puissance mondiale

            C'est effectivement prendre les States pour des imbéciles

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            • #7



              un apérçu du dialogue dz-usa , qui digèrent mal , que le Maghreb , n est pas une propriété auxilliaire privée !
              Dernière modification par m1111, 10 janvier 2021, 09h21.

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