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Le ministre espagnol des Affaires étrangères refuse de dire si l'arrivée du nouveau président à la Maison Blanche contribuera à inverser le renouvellement américain de la souveraineté marocaine sur l'ancienne colonie espagnole
Madrid, 21 janvier 2021. - (ECSAHARAUI)
Rédaction
La ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération espagnole, Arancha González Laya, a évité mercredi de demander aux États-Unis un changement de position sur la décision de l'administration Donald Trump de reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental et a exigé reprendre le processus dans le cadre des Nations Unies.
Dans des déclarations à RTVE recueillies par Europa Press, il a refusé de dire si l'arrivée de John Biden à la Maison Blanche contribuera à inverser ce renouvellement de la souveraineté du gouvernement américain du Maroc sur l'ancienne colonie espagnole.
"Je ne vais pas entrer dans ce jeu, c'est une décision qui correspond aux Etats-Unis et à l'Espagne, et cela ne va pas supprimer ou mettre dans cette discussion", a souligné le chef de la diplomatie espagnole.
En tout état de cause, la ministre des Affaires étrangères a souligné la nécessité de reprendre le processus à l'ONU et a de nouveau regretté que son secrétaire général, António Guterres, n'ait pas nommé un nouvel envoyé spécial pour le Sahara occidental, un poste qui était vacant 18 mois.
"Ce que l'Espagne insiste, au-delà de la décision que prennent les États-Unis, que le président Trump a prise et quoi que fasse le président Biden, c'est la nécessité de relancer le processus aux Nations Unies", a-t-il déclaré.
"Ce que nous pensons clairement, c'est la nécessité de relancer cette procédure, qui est légitime car elle est à l'ONU, car tout le monde est assis autour de la table pour pouvoir résoudre ce problème, qui n'a pas été résolu depuis de nombreuses années", a-t-il soutenu.
Via: La Vanguardia.
Madrid, 21 janvier 2021. - (ECSAHARAUI)
Rédaction
La ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération espagnole, Arancha González Laya, a évité mercredi de demander aux États-Unis un changement de position sur la décision de l'administration Donald Trump de reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental et a exigé reprendre le processus dans le cadre des Nations Unies.
Dans des déclarations à RTVE recueillies par Europa Press, il a refusé de dire si l'arrivée de John Biden à la Maison Blanche contribuera à inverser ce renouvellement de la souveraineté du gouvernement américain du Maroc sur l'ancienne colonie espagnole.
"Je ne vais pas entrer dans ce jeu, c'est une décision qui correspond aux Etats-Unis et à l'Espagne, et cela ne va pas supprimer ou mettre dans cette discussion", a souligné le chef de la diplomatie espagnole.
En tout état de cause, la ministre des Affaires étrangères a souligné la nécessité de reprendre le processus à l'ONU et a de nouveau regretté que son secrétaire général, António Guterres, n'ait pas nommé un nouvel envoyé spécial pour le Sahara occidental, un poste qui était vacant 18 mois.
"Ce que l'Espagne insiste, au-delà de la décision que prennent les États-Unis, que le président Trump a prise et quoi que fasse le président Biden, c'est la nécessité de relancer le processus aux Nations Unies", a-t-il déclaré.
"Ce que nous pensons clairement, c'est la nécessité de relancer cette procédure, qui est légitime car elle est à l'ONU, car tout le monde est assis autour de la table pour pouvoir résoudre ce problème, qui n'a pas été résolu depuis de nombreuses années", a-t-il soutenu.
Via: La Vanguardia.
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