Capital par Loïs Larges Publié le 22/01/2021
En pleine course à l’avion à hydrogène, Airbus vient de déposer un brevet sur le “pod”, une capsule amovible située sous les ailes.
Avant de prendre sa décision en 2025, le constructeur aéronautique français Airbus propose plusieurs concepts d’avions à hydrogène. Cette fois, le groupe a développé un modèle composé de 6 "pods". Ces capsules amovibles, désormais brevetées, nécessitent encore beaucoup de travail pour être parfaitement fonctionnelles.
La particularité de ces “pods” est qu’ils sont à fixation amovible, ce qui permet de faciliter la maintenance et le ravitaillement de l'appareil. Autre avantage : le gain de place. En effet, les capsules seraient situées sous l’aile des avions et seraient toutes équipées de piles à combustible ainsi que d’un réservoir d’hydrogène liquide. L’un des principaux inconvénients de l’hydrogène est son volume, environ 4 fois supérieur au kérosène. Les “pods” se composent également de huit pales permettant de bénéficier d’une poussée supplémentaire lors du décollage.
Bien que d’autres options existent, ce nouveau modèle retient l’attention des ingénieurs du groupe puisqu’il permettrait une autonomie de vol et une capacité d’accueil de passagers bien plus importantes. Pour rappel, l’objectif est de produire un avion neutre en émission carbone à l’horizon 2035 afin de répondre à la feuille de route écologique du gouvernement français.
En pleine course à l’avion à hydrogène, Airbus vient de déposer un brevet sur le “pod”, une capsule amovible située sous les ailes.
Avant de prendre sa décision en 2025, le constructeur aéronautique français Airbus propose plusieurs concepts d’avions à hydrogène. Cette fois, le groupe a développé un modèle composé de 6 "pods". Ces capsules amovibles, désormais brevetées, nécessitent encore beaucoup de travail pour être parfaitement fonctionnelles.
La particularité de ces “pods” est qu’ils sont à fixation amovible, ce qui permet de faciliter la maintenance et le ravitaillement de l'appareil. Autre avantage : le gain de place. En effet, les capsules seraient situées sous l’aile des avions et seraient toutes équipées de piles à combustible ainsi que d’un réservoir d’hydrogène liquide. L’un des principaux inconvénients de l’hydrogène est son volume, environ 4 fois supérieur au kérosène. Les “pods” se composent également de huit pales permettant de bénéficier d’une poussée supplémentaire lors du décollage.
Bien que d’autres options existent, ce nouveau modèle retient l’attention des ingénieurs du groupe puisqu’il permettrait une autonomie de vol et une capacité d’accueil de passagers bien plus importantes. Pour rappel, l’objectif est de produire un avion neutre en émission carbone à l’horizon 2035 afin de répondre à la feuille de route écologique du gouvernement français.
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