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Qualité des textes législatifs Djerad critique ses ministres

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  • Qualité des textes législatifs Djerad critique ses ministres

    Après le chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune, c’est au tour de son Premier ministre, Abdelaziz Djerad, d’exprimer son insatisfaction quant au rendement de son gouvernement en matière de la qualité des textes législatifs initiés par les différents ministères.
    Karim Aimeur - Alger (Le Soir) - « Il m'a été donné de constater que certains projets de textes législatifs et réglementaires initiés par des départements ministériels, voire même ceux présentés en réunion du gouvernement, manquent de maturation et de concertation intersectorielle, ce qui se répercute sur leur qualité, tant sur le plan de la forme que du fond, et amène le gouvernement à demander leur réexamen, et parfois à les renvoyer pour développer une nouvelle approche du dispositif envisagé », a relevé le Premier ministre dans une instruction adressée aux membres du gouvernement, répercutée ce jeudi par l’agence de presse officielle.
    Abdelaziz Djerad a, de ce fait, demandé aux membres et au secrétaire général du gouvernement une observation stricte d'un certain nombre de directives quant à l'élaboration des textes législatifs et réglementaires.
    Il a expliqué que cette situation appelle la nécessité d'accorder « une attention particulière à la qualité » des textes législatifs et réglementaires, durant toutes les étapes du processus normatif, expliquant que ces textes constituent l'instrument par excellence d'encadrement et de mise en œuvre des politiques publiques, en premier lieu, le programme du président de la République et le plan d'action du gouvernement.
    Ainsi, M. Djerad indique que tout projet de texte programmé pour examen en Conseil des ministres ou en réunion de gouvernement doit faire l'objet d'une dernière lecture de validation au niveau du secrétariat général du gouvernement, en présence du secrétaire général du ministère initiateur, et le cas échéant, les secrétaires généraux des ministères directement concernés par le texte ou ayant émis des réserves quant à son contenu. Cette procédure est également applicable à tout autre projet de texte à présenter directement à la signature.
    Les projets d'arrêtés doivent être transmis au secrétariat général du gouvernement, pour examen de leur conformité à la législation et à la réglementation en vigueur, préalablement à leur signature, a-t-il ajouté.
    Dans son instruction, le Premier ministre a affirmé que tout projet de texte transmis au secrétariat général du gouvernement doit préalablement faire l'objet d'une large concertation au sein du secteur initiateur, en y impliquant, notamment, les secteurs et institutions concernés, des experts et, éventuellement, des représentants de la société civile concernés par les implications du projet de texte, pour s'inscrire pleinement dans la cohérence de l'action gouvernementale.
    Aussi, l'exposé des motifs de tout texte initié doit comprendre les éléments de son étude d'impact, qui précise, notamment, l'ancrage juridique du texte et son articulation au sein du dispositif juridique déjà en vigueur, l'objectif escompté, la prise en charge, par les dispositions proposées, de la problématique traitée, ainsi que son impact sur le public ciblé, l'incidence économique, financière et sociale du texte et les modalités de sa mise en œuvre et, éventuellement, l'échéancier y afférent.
    La veille, le Premier ministre avait présidé une réunion du gouvernement durant laquelle il a évoqué le dossier de l’importation des véhicules neufs.
    Ainsi, concernant le traitement des dossiers de concessionnaires et de constructeurs de véhicules et de motocycles, Abdelaziz Djerad a chargé le ministre de l’Industrie d’accélérer le rythme de traitement des dossiers introduits au niveau du comité technique placé auprès de son secteur et de veiller à l’exigence de transparence dans ce domaine.
    Un rappel à l’ordre du ministre qui a refusé de divulguer l’identité des quatre concessionnaires autorisés à importer les véhicules neufs ?
    K. A.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Il a expliqué que cette situation appelle la nécessité d'accorder « une attention particulière à la qualité » des textes législatifs et réglementaires, durant toutes les étapes du processus normatif, expliquant que ces textes constituent l'instrument par excellence d'encadrement et de mise en œuvre des politiques publiques, en premier lieu, le programme du président de la République et le plan d'action du gouvernement.

    Les responsables qui atteignent leurs objectifs beaucoup plus rapidement que d'autres ne sont pas les plus compétents . La compétence ça s'acquiert avec le travail et l'expérience , en Algérie non , ce ne sont pas les critères pour devenir dirigeant.

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    • #3
      Ils ont poussé tous les cadres valeureux à l'immigration et maintenant ils se plaignent de la qualité du travail réalisé !
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #4
        Le mafieux Djerad est pathétique. Il nous parle de textes législatifs alors que l'APN demeure un bastion des mafieux du FLN, RND & cie qui ne font que perpétuer le régime mafieux et dilapider l'argent public. Quel est l'intérêt de parler de textes législatifs si les législateurs qui occupent le parlement algérien sont des mafieux pourris?

        Si le régime mafieux du cartel ANP/FLN n'était pas totalement pourri, la très corrompue et la très pourrie APN aurait été dissoute dès mars 2019 par respect aux révendications des millions d'Algériens qui manifestaient pacifiquement en faveur d'un Etat de droit démocratique en Algérie.

        On est en 2021 mais l'Algérie demeure soumise aux lois votées par les députés corrompus et pourris du FLN/RND qui ne sont rien d'autres que des mafieux au service du cartel mafieux ANP/FLN qui sabote et qui dilapide l'Algérie depuis plusieurs décennies.

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