La reconnaissance des États-Unis de la souveraineté du Maroc sur les provinces du Sahara a remis sur le devant de la scène la ville de l’extrême-sud marocain qui compte servir de tremplin aux investisseurs désireux de se lancer sur le continent.
Après la reconnaissance des États-Unis de la souveraineté du Maroc sur les provinces du Sahara en décembre 2020 – contrepartie d’une normalisation des relations entre Israël et le royaume chérifien -, puis l’ouverture, mi-janvier, d’un consulat américain à Dakhla, la ville se rêve en hub économique, notamment pour le développement en Afrique de l’Ouest.
À LIRE Donald Trump reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental
« Je pense en toute objectivité que pour les investisseurs qui veulent s’attaquer au marché subsaharien, Dakhla est sans doute le meilleur emplacement, notamment grâce à ses infrastructures », estime Mounir Houari, le patron du Centre régional d’investissement (CRI) de Dakhla-Oued Eddahab.
En 2020, la commission régionale d’investissements a ainsi recensé pour 14 milliards de dirhams (1,3 milliard d’euros) d’intentions d’investissement, et compte sur une progression en 2021.
Jeuneafrique
Après la reconnaissance des États-Unis de la souveraineté du Maroc sur les provinces du Sahara en décembre 2020 – contrepartie d’une normalisation des relations entre Israël et le royaume chérifien -, puis l’ouverture, mi-janvier, d’un consulat américain à Dakhla, la ville se rêve en hub économique, notamment pour le développement en Afrique de l’Ouest.
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« Je pense en toute objectivité que pour les investisseurs qui veulent s’attaquer au marché subsaharien, Dakhla est sans doute le meilleur emplacement, notamment grâce à ses infrastructures », estime Mounir Houari, le patron du Centre régional d’investissement (CRI) de Dakhla-Oued Eddahab.
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