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Optimisation du fret et extension du port, tout cela grace a Cevital, les entreprises prives devraient plus s'impliquer dans la gestion des villes ou au moins etre consulter.
Aujourd'hui, les choses semblent évoluer dans le bon sens. En effet, l'extension du port de Béjaïa projetée par le groupe Cevital, a été examiné par le Conseil national de l'investissement, CNI, qui s'est réuni ce lundi et passé en revue le rapport de la commission chargée de l'examen de la faisabilité dudit projet.
Après avoir approuvé cinq projets d'investissement appartenant au même groupe, à savoir les deux centrales électriques, la raffinerie de sucre, l'unité de trituration de graines oléagineuses, la réalisation de 29 lignes de conditionnement du sucre et l'unité de production d'aliment de bétail, c'est autour du dossier de l'extension du port de Béjaïa de passer au peigne fin. M. Issad Rabrab avait déjà annoncé que les ports représentent le poumon de l'économie d'un pays, d'où d'ailleurs son intéressement. L'extension du port à partir de l'emplacement de Cévital jusqu'à la limite de l'aéroport Abane-Ramdane permettra de libérer le premier bassin de l'activité économique pour le restituer à la ville en le transformant en port de plaisance et fera ainsi jonction avec l'autre port de plaisance de la Brise de mer qui est, lui, en cours de réalisation. Le deuxième objectif de l'extension du port est de permettre de transférer la marchandise du bateau vers l'avion et vice- versa. Une zone de fret serait prévue à cet effet.
Il est à signaler que l'étude de l'extension du port est faite par un bureau d'études étranger, et que sa réalisation se ferait en partenariat avec Singapour. A Béjaïa, le groupe Cevital a commencé par la réalisation d'une unité de raffinage d'huile dont la capacité de production est portée à 570 000 tonnes par an, et qui fait de cette raffinerie la plus importante d'Europe et d'Afrique.
Une margarinerie a été aussi réalisée avec une capacité de production de l'ordre de 180 000 tonnes par an. Ainsi qu'une raffinerie de sucre d'une capacité de 600 000 tonnes par an. Sur le même site un terminal de déchargement portuaire d'une capacité de 2 000 tonnes à l'heure a été installé. C'est l'un des plus grands terminaux de déchargement portuaire de la Méditerranée selon M. Rabrab.
Nassima B.
http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=3101
Aujourd'hui, les choses semblent évoluer dans le bon sens. En effet, l'extension du port de Béjaïa projetée par le groupe Cevital, a été examiné par le Conseil national de l'investissement, CNI, qui s'est réuni ce lundi et passé en revue le rapport de la commission chargée de l'examen de la faisabilité dudit projet.
Après avoir approuvé cinq projets d'investissement appartenant au même groupe, à savoir les deux centrales électriques, la raffinerie de sucre, l'unité de trituration de graines oléagineuses, la réalisation de 29 lignes de conditionnement du sucre et l'unité de production d'aliment de bétail, c'est autour du dossier de l'extension du port de Béjaïa de passer au peigne fin. M. Issad Rabrab avait déjà annoncé que les ports représentent le poumon de l'économie d'un pays, d'où d'ailleurs son intéressement. L'extension du port à partir de l'emplacement de Cévital jusqu'à la limite de l'aéroport Abane-Ramdane permettra de libérer le premier bassin de l'activité économique pour le restituer à la ville en le transformant en port de plaisance et fera ainsi jonction avec l'autre port de plaisance de la Brise de mer qui est, lui, en cours de réalisation. Le deuxième objectif de l'extension du port est de permettre de transférer la marchandise du bateau vers l'avion et vice- versa. Une zone de fret serait prévue à cet effet.
Il est à signaler que l'étude de l'extension du port est faite par un bureau d'études étranger, et que sa réalisation se ferait en partenariat avec Singapour. A Béjaïa, le groupe Cevital a commencé par la réalisation d'une unité de raffinage d'huile dont la capacité de production est portée à 570 000 tonnes par an, et qui fait de cette raffinerie la plus importante d'Europe et d'Afrique.
Une margarinerie a été aussi réalisée avec une capacité de production de l'ordre de 180 000 tonnes par an. Ainsi qu'une raffinerie de sucre d'une capacité de 600 000 tonnes par an. Sur le même site un terminal de déchargement portuaire d'une capacité de 2 000 tonnes à l'heure a été installé. C'est l'un des plus grands terminaux de déchargement portuaire de la Méditerranée selon M. Rabrab.
Nassima B.
http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=3101
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