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Les dernières pluies ont contribué à l’amélioration des réserves des barrages nationaux. Au 31 janvier 2021, ces barrages ont affiché un taux de remplissage de 46,5%, contre 36,5% au 23 novembre, avant les premières précipitations, selon le suivi de la situation journalière des barrages.
Ce taux se rapproche, ainsi, de celui enregistré l’an passé à la même période, qui était de l’ordre de 49%. Les réserves à la date du 31 janvier ont, quant à elles, atteint 7,472 MMm3 contre 7,641 MMm3 à la même date de l’année dernière.
Par ailleurs, les trois principaux épisodes pluvieux ont été profitables aux réserves des principaux barrages au niveau national, mais aussi aux nappes phréatiques et à l’agriculture marocaine, rapporte Medias 24, citant l’Association des producteurs d’agrumes du Maroc (Aspam).
“Lorsqu’elles tombent, les pluies arrivent directement sur les champs. Les agriculteurs n’utilisent donc ni l’eau des puits ni celle des barrages durant 3 à 4 semaines et économisent de l’argent”. En effet, “pour utiliser l’eau des puits, celle-ci doit être remontée à l’aide de pompes, qui consomment de l’énergie, soit l’électricité ou le gazole. L’eau du barrage est pour sa part payante au m3, et chaque périmètre irrigué a sa propre tarification”, indique la même source.
agrima
Ce taux se rapproche, ainsi, de celui enregistré l’an passé à la même période, qui était de l’ordre de 49%. Les réserves à la date du 31 janvier ont, quant à elles, atteint 7,472 MMm3 contre 7,641 MMm3 à la même date de l’année dernière.
Par ailleurs, les trois principaux épisodes pluvieux ont été profitables aux réserves des principaux barrages au niveau national, mais aussi aux nappes phréatiques et à l’agriculture marocaine, rapporte Medias 24, citant l’Association des producteurs d’agrumes du Maroc (Aspam).
“Lorsqu’elles tombent, les pluies arrivent directement sur les champs. Les agriculteurs n’utilisent donc ni l’eau des puits ni celle des barrages durant 3 à 4 semaines et économisent de l’argent”. En effet, “pour utiliser l’eau des puits, celle-ci doit être remontée à l’aide de pompes, qui consomment de l’énergie, soit l’électricité ou le gazole. L’eau du barrage est pour sa part payante au m3, et chaque périmètre irrigué a sa propre tarification”, indique la même source.
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