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Madrid, 3 février 2021. - (ECSAHARAUI)
Par Mah Iahdih Nan / ECS
Lance des missiles lors de bombardements au Sahara Occidental / photo Brahim Chagaf - RASD24
https://lh3.googleusercontent.com/-b...81997968-0.png
La semaine qui se déroulera du 18 au 24 janvier marquera un changement substantiel dans l'escalade de la guerre qui s'est déchaînée au Sahara, depuis le 13 novembre 2020. Tant les attaques sur le sud du Maroc que l'attaque sur la brèche guerguerat, située à quelques kilomètres de la côte sahraouie, constituent un jalon dans la guerre du Sahara, dans la guerre précédente (1975-1991), l'armée sahraouie, a cessé d'attaquer les deux extrêmes à partir de l'année 1985, ce qui veut dire que dans les six dernières années de guerre, tant le sud du Maroc que la zone du Sahara atlantique n'ont pas subi les assauts de la guerre. Cette situation était essentiellement motivée par deux facteurs qui, à leur époque, ont empêché les attaques de l'armée sahraouie contre ces zones; d'une part la construction du mur de la honte, qui laissait très peu de marge de manœuvre aux combattants sahraouis dans ces zones et d'autre part, la décision des autorités sahraouies de ne pas impliquer les pays voisins dans la guerre, avec laquelle un d'excellentes relations sont maintenues.
Cependant, 30 ans plus tard, les circonstances, la nature, le caractère et la modernisation technologique ont changé les concepts et les caractéristiques de la guerre. Il y a aussi d'autres facteurs humains qui font la différence dans les changements stratégiques face à une guerre, le dévouement, la motivation, la combativité, le sacrifice et le moral élevé des combattants sahraouis ne sont pas les mêmes, comparés aux démoralisés, découragés, vaincus, démotivés et non motivés. corrompre les troupes marocaines. Si tous ces ingrédients sont mélangés, des résultats satisfaisants sont obtenus, indépendamment du matériau et des autres conditions.
Cependant, on peut tirer de ces attaques la conclusion qu'elles ont enregistré l'opérabilité, la compétence, la mobilité, l'expertise et le professionnalisme de la guérilla sahraouie. En plus du message qu'ils envoient au Makhzen, cela ne fait que commencer et que les prochains mois seront très durs pour leurs troupes abattues et démoralisées.
Ces opérations chirurgicales magistrales réalisées par la SPLA, outre le ciblage précis de la cible et la panique se sont propagées dans tout le réseau Makhzen qui occupe la zone de Guerguerat (des audios qui montrent leur peur et leur lâcheté circulent sur le réseau). Ils ont réussi à traverser deux murs en même temps; le mur de la honte franco-israélo-marocain de plus de 2 770 km et le mur du silence imposé par le Makhzen depuis le retour des hostilités, en novembre dernier. Toutes les agences de presse, journaux, numériques, télévisions et radios du monde entier se sont fait l'écho de l'attaque perpétrée par l'armée sahraouie, même le makhzen désorienté dans sa schizophrénie informationnelle habituelle, a publié des déclarations contradictoires reconnaissant et niant l'attaque. La presse majzénienne domestiquée n'a pas reçu à temps les directives appropriées de la DGST et certains journaux ont pris la liberté de publier une note sur les attentats, qui des heures plus tard a été retirée de ses pages, ce qui montre le degré d'hystérie et d'anxiété dans l'histoire. que le Makhzen est installé, mais dans le cadre de son aliénation il progresse de manière satisfaisante; Avant, il nia tout et maintenant il minimise tout.
Le pas en avant franchi par le peuple sahraoui, répondant d'abord à l'agression du Makhzen et donnant maintenant une autre vitesse et profondeur à la guerre, a semé le chaos, le désordre et la confusion dans les structures du makhzen, à qui on ne s'attendait pas à une réponse aussi énergique.
En revanche, l'ONU et sa MINURSO, sont absentes et ont disparu de la scène depuis plus de deux mois, c'est comme si elles avaient disparu dans le désert, elles sont dans un véritable état de choc. Quelque chose qui a surpris les locaux et les étrangers, une mission de paix qui exploite la guerre entre ses mains et qui n'est pas capable de réagir et au moins de diffuser une déclaration, même si c'est pour donner une petite clarification.
Par Mah Iahdih Nan / ECS
Lance des missiles lors de bombardements au Sahara Occidental / photo Brahim Chagaf - RASD24
https://lh3.googleusercontent.com/-b...81997968-0.png
La semaine qui se déroulera du 18 au 24 janvier marquera un changement substantiel dans l'escalade de la guerre qui s'est déchaînée au Sahara, depuis le 13 novembre 2020. Tant les attaques sur le sud du Maroc que l'attaque sur la brèche guerguerat, située à quelques kilomètres de la côte sahraouie, constituent un jalon dans la guerre du Sahara, dans la guerre précédente (1975-1991), l'armée sahraouie, a cessé d'attaquer les deux extrêmes à partir de l'année 1985, ce qui veut dire que dans les six dernières années de guerre, tant le sud du Maroc que la zone du Sahara atlantique n'ont pas subi les assauts de la guerre. Cette situation était essentiellement motivée par deux facteurs qui, à leur époque, ont empêché les attaques de l'armée sahraouie contre ces zones; d'une part la construction du mur de la honte, qui laissait très peu de marge de manœuvre aux combattants sahraouis dans ces zones et d'autre part, la décision des autorités sahraouies de ne pas impliquer les pays voisins dans la guerre, avec laquelle un d'excellentes relations sont maintenues.
Cependant, 30 ans plus tard, les circonstances, la nature, le caractère et la modernisation technologique ont changé les concepts et les caractéristiques de la guerre. Il y a aussi d'autres facteurs humains qui font la différence dans les changements stratégiques face à une guerre, le dévouement, la motivation, la combativité, le sacrifice et le moral élevé des combattants sahraouis ne sont pas les mêmes, comparés aux démoralisés, découragés, vaincus, démotivés et non motivés. corrompre les troupes marocaines. Si tous ces ingrédients sont mélangés, des résultats satisfaisants sont obtenus, indépendamment du matériau et des autres conditions.
Cependant, on peut tirer de ces attaques la conclusion qu'elles ont enregistré l'opérabilité, la compétence, la mobilité, l'expertise et le professionnalisme de la guérilla sahraouie. En plus du message qu'ils envoient au Makhzen, cela ne fait que commencer et que les prochains mois seront très durs pour leurs troupes abattues et démoralisées.
Ces opérations chirurgicales magistrales réalisées par la SPLA, outre le ciblage précis de la cible et la panique se sont propagées dans tout le réseau Makhzen qui occupe la zone de Guerguerat (des audios qui montrent leur peur et leur lâcheté circulent sur le réseau). Ils ont réussi à traverser deux murs en même temps; le mur de la honte franco-israélo-marocain de plus de 2 770 km et le mur du silence imposé par le Makhzen depuis le retour des hostilités, en novembre dernier. Toutes les agences de presse, journaux, numériques, télévisions et radios du monde entier se sont fait l'écho de l'attaque perpétrée par l'armée sahraouie, même le makhzen désorienté dans sa schizophrénie informationnelle habituelle, a publié des déclarations contradictoires reconnaissant et niant l'attaque. La presse majzénienne domestiquée n'a pas reçu à temps les directives appropriées de la DGST et certains journaux ont pris la liberté de publier une note sur les attentats, qui des heures plus tard a été retirée de ses pages, ce qui montre le degré d'hystérie et d'anxiété dans l'histoire. que le Makhzen est installé, mais dans le cadre de son aliénation il progresse de manière satisfaisante; Avant, il nia tout et maintenant il minimise tout.
Le pas en avant franchi par le peuple sahraoui, répondant d'abord à l'agression du Makhzen et donnant maintenant une autre vitesse et profondeur à la guerre, a semé le chaos, le désordre et la confusion dans les structures du makhzen, à qui on ne s'attendait pas à une réponse aussi énergique.
En revanche, l'ONU et sa MINURSO, sont absentes et ont disparu de la scène depuis plus de deux mois, c'est comme si elles avaient disparu dans le désert, elles sont dans un véritable état de choc. Quelque chose qui a surpris les locaux et les étrangers, une mission de paix qui exploite la guerre entre ses mains et qui n'est pas capable de réagir et au moins de diffuser une déclaration, même si c'est pour donner une petite clarification.
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