Source APS - ALGER - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, a reçu jeudi les ambassadeurs de Rwanda (avec résidence au Caire) et d’Argentine à Alger, respectivement Alfred Kalisa et Mariano Simon Padros, avec lesquels il a passé en revue les voies de renforcement de la coopération bilatérale en matière d’enseignement supérieur et de recherche scientifique, indique un communiqué du ministère.
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Benziane reçoit les ambassadeurs de Rwanda et d’Argentine à Alger
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Savez vous que entre centres de recherche ou bien entre universités et centre de recherche en Algérie
il n'existe rien pour formaliser la création d'une équipe de recherche mixte
genre chercheur associé donc d'un coté on te dit oui oui et de l'autre mince la loi n'a rien prévue
même pour ce minimum et il n'y a aucun moyen de recruter pour créer une équipe
à tel point que les jeunes prèfèrent pour manger rentrer dans l'armée ou la police ou la gendarmerie pour manger juste manger
et le gars vient me raconter coopération collaboration et je ne sais quoi entre l'Algérie et un autre pays
il faut qu'ils arrêtent ... un pays ne se gère pas avec des communiqués
je déteste lehbal et le mensonge
personne ne peut comprendre ce pays ghir lekdoubDernière modification par Aloha, 05 février 2021, 15h24.
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Salut Aloha
l'épouvantail. qu'on on arrive pas à offrire un cadre pour l'épanouissement des ressources humaines, on reglemente pour plus de bureaucratie et de rigidité
Universités algériennes : les contacts avec l’étranger réglementés
TSA- Par: Sonia L. 04 Oct. 2020 à 22:20
Tout contact ou partenariat entre les universités algériennes et des partenaires étrangers devra désormais passer par les canaux diplomatiques officiels.
C’est ce que stipule une note du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique adressée aux recteurs et aux directeurs de centres universitaires, rapporte El Bilad ce dimanche.
La décision est motivée par le fait que « certaines parties activent avec l’intention de vider les instances scientifiques et de recherche algériennes de leurs ressources humaines et de leurs compétences pour les transférer vers d’autres entités ».
Le ministre a insisté dans sa note sur l’obligation de signaler à la direction de la coopération et des échanges tout contact avec des universités étrangères de la part d’établissements universitaires algériens ou de membres de la famille universitaire agissant au nom de l’université.
Les recteurs et responsables des centres universitaires sont exhortés de montrer la plus grande vigilance dans de pareils cas et de procéder aux investigations et vérifications nécessaires, afin, écrit-il, de protéger « nos enseignants et nos chercheurs ».
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il n'existe rien pour formaliser la création d'une équipe de recherche mixte
Le Français est un handicap majeur au développement de l’université algérienne, tant qu’on n’est pas passe à l’anglais, il ne peut rien sortir de nos universités.
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Avec des universités francophones, il n’y a pas grand-chose à faire. Nos universités sont limitées aux quelques universités françaises qui acceptent bien de répondre aux mails des algériens lorsqu’ils n’ont rien à faire. Même pour collaborer avec des universités arabes ou africaines il faut être anglophone.
Le Français est un handicap majeur au développement de l’université algérienne, tant qu’on n’est pas passe à l’anglais, il ne peut rien sortir de nos universités.
j'ai dit que lorsque la collaboration et la coopération existera entre les différents organismes de recherche et d'enseignement supérieurs algériens à ce moment là
je peux croire la propagande et lsen etwil quoi que lsen c'est vrai c'"est la langue
ce n'est pas un problème de langue mais de lsen ettwil et le vacarme alors que la réalité et tout autre ...
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