Sans grande douceur
qu'une brise légère
ne m'écarte du droit chemin sans chagrin
Elle passe sous ma fenêtre
et moi silencieux je l'accroche
dans un songe presque prétentieux
elle plane sur le macadam
avec une allure de grande dame
je suis son voyeur autorisé,
mais qui d'amour suis aveugle
le vent qui la frôle demande permission pour la toucher
et les arbres se courbent jusqu'à s'en arracher le tronc
et même dans la terre les racines s'en détachent
Juste l'espace d'un instant, juste le temps présent.
Beauté presque inhumaine,
qui ferait envier même les reines
Pourtant elle m'aime...
Je suis près d'elle, même sous son aile, elle me rie, me sourit
Mais en silence, dans la patience de son cœur déjà pris.
Aimer sans toucher, sauf dans mes rêves au fond de mes nuits.
Je ne puis plus lutter,
faut-il tout lui avouer, au risque de me désavouer.
Que lui dire, que lui faire, sans avoir l'air,
pour que sur terre, elle prospère.
Concrétiser mon oeuvre avec la glaise
d'un cœur maniable à souhait.
Peindre ses courbes sur la toile de ma vie,
tel un grand maître maniant
Son pinceau d'un doigt agile et furtif,
elle est la Joconde qui m'inonde.
Pauvre de moi, petit artiste sans envergure, sans aucun pouvoir
sinon de lui faire croire qu'un jour,
je pourrais lui conter l'histoire de
Cet homme, mort de n'avoir pas pût l'aimer.
qu'une brise légère
ne m'écarte du droit chemin sans chagrin
Elle passe sous ma fenêtre
et moi silencieux je l'accroche
dans un songe presque prétentieux
elle plane sur le macadam
avec une allure de grande dame
je suis son voyeur autorisé,
mais qui d'amour suis aveugle
le vent qui la frôle demande permission pour la toucher
et les arbres se courbent jusqu'à s'en arracher le tronc
et même dans la terre les racines s'en détachent
Juste l'espace d'un instant, juste le temps présent.
Beauté presque inhumaine,
qui ferait envier même les reines
Pourtant elle m'aime...
Je suis près d'elle, même sous son aile, elle me rie, me sourit
Mais en silence, dans la patience de son cœur déjà pris.
Aimer sans toucher, sauf dans mes rêves au fond de mes nuits.
Je ne puis plus lutter,
faut-il tout lui avouer, au risque de me désavouer.
Que lui dire, que lui faire, sans avoir l'air,
pour que sur terre, elle prospère.
Concrétiser mon oeuvre avec la glaise
d'un cœur maniable à souhait.
Peindre ses courbes sur la toile de ma vie,
tel un grand maître maniant
Son pinceau d'un doigt agile et furtif,
elle est la Joconde qui m'inonde.
Pauvre de moi, petit artiste sans envergure, sans aucun pouvoir
sinon de lui faire croire qu'un jour,
je pourrais lui conter l'histoire de
Cet homme, mort de n'avoir pas pût l'aimer.
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