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AlgeriePart 6 février 2021
Incroyable, mais vrai. Les réseaux algériens de l’émigration clandestine ou illégale ont inventé une nouvelle formule de Harga : la « Harga luxe », à savoir une traversée de la Méditerranée qui coûte pas moins de 4000 euros sur un bateau prestigieux et confortable avec même des tests de dépistage PCR négatifs au COVID-19 pour démonter aux autorités espagnoles que les passagers ne représentent aucun danger pour la santé publique de l’Espagne !
Ce n’est pas une blague. Mais une véritable histoire qui a été dévoilée le 2 février dernier par le célèbre quotidien espagnol El Mundo, basé à Madrid, l’un des plus importants médias espagnols. Ce quotidien très sérieux le deuxième quotidien généraliste payant le plus diffusé en Espagne, derrière El País, la police espagnole à Palma de Majorque, les iles Baléares, a mis la main sur un hors-bord d’environ huit mètres de long, avec des moteurs intra-bord et une cabine. Battant pavillon algérien, le petit bateau porte le nom « Freedom » (liberté).
Ce bateau de luxe illustre bien son nom car son propriétaire proposait des traversées de… luxe pour les migrants algériens souhaitant faire la « Harga » jusqu’en Espagne moyennant la coquette somme de… 4000 euros ! A la suite d’une enquête diligentée par la Police Espagnole, le propriétaire de cette embarcation de ‘’luxe’’ a été arrêté. Il s’agit d’un Algérien âgé de 33 ans qui a été placé en détention préventive et en quarantaine pour des raisons sanitaires, révèle encore et toujours El Mundo.
Les passagers du ‘’Liberté’’ arrivaient à l’ile de Majorque avec avec des tests PCR négatifs, nous apprend le même quotidien Espagnol d’après lequel le passeur algérien voulait présenter ses « Harragas » d’un nouveau genre comme « des touristes VIP » en visite à Palma pour découvrir les charmes des iles Baléares. Le passeur algérien arrêté travaillait selon les révélations de l’enquête policière espagnole avec un réseau basé en Algérie qui organise les voyages pour un prix de 4 000 euros par personne. D’après les aveux du passeur algérien, ce réseau algérien gagnait des revenus allant jusqu’à 20 000 euros par voyage ! Un nouveau business qui a totalement choqué les autorités espagnoles visiblement dépassées par les nouvelles formes de « Harga » qui se développement depuis l’Algérie.
Le bateau de luxe pouvait transporter jusqu’à 5 personnes. Et il pouvait relier l’Algérie à plusieurs zones des côtes espagnoles, mais c’est la première fois qu’il a été détecté aux Îles Baléares, indique encore El Mundo. Cette embarcation de luxe a été interceptée cette fois-ci facilement par les garde-côte espagnols pour cause de mauvaises conditions climatiques. Le propriétaire de l’embarcation était contraint de lancer des signaux d’alerte pour demander des secours aux autorités espagnoles.
Cette « harga de luxe » n’en est qu’à ses débuts selon les éléments préliminaires recueillis par la Police Espagnole. Aucune information n’a encore filtré sur l’identité des passagers aisés de cette embarcation. Il s’agit certainement de personnes riches capables de payer les 4000 euros. Les bénéfices importants des passeurs démontent que cette « harga de luxe » est largement recherchée et demandée… en Algérie.
Incroyable, mais vrai. Les réseaux algériens de l’émigration clandestine ou illégale ont inventé une nouvelle formule de Harga : la « Harga luxe », à savoir une traversée de la Méditerranée qui coûte pas moins de 4000 euros sur un bateau prestigieux et confortable avec même des tests de dépistage PCR négatifs au COVID-19 pour démonter aux autorités espagnoles que les passagers ne représentent aucun danger pour la santé publique de l’Espagne !
Ce n’est pas une blague. Mais une véritable histoire qui a été dévoilée le 2 février dernier par le célèbre quotidien espagnol El Mundo, basé à Madrid, l’un des plus importants médias espagnols. Ce quotidien très sérieux le deuxième quotidien généraliste payant le plus diffusé en Espagne, derrière El País, la police espagnole à Palma de Majorque, les iles Baléares, a mis la main sur un hors-bord d’environ huit mètres de long, avec des moteurs intra-bord et une cabine. Battant pavillon algérien, le petit bateau porte le nom « Freedom » (liberté).
Ce bateau de luxe illustre bien son nom car son propriétaire proposait des traversées de… luxe pour les migrants algériens souhaitant faire la « Harga » jusqu’en Espagne moyennant la coquette somme de… 4000 euros ! A la suite d’une enquête diligentée par la Police Espagnole, le propriétaire de cette embarcation de ‘’luxe’’ a été arrêté. Il s’agit d’un Algérien âgé de 33 ans qui a été placé en détention préventive et en quarantaine pour des raisons sanitaires, révèle encore et toujours El Mundo.
Les passagers du ‘’Liberté’’ arrivaient à l’ile de Majorque avec avec des tests PCR négatifs, nous apprend le même quotidien Espagnol d’après lequel le passeur algérien voulait présenter ses « Harragas » d’un nouveau genre comme « des touristes VIP » en visite à Palma pour découvrir les charmes des iles Baléares. Le passeur algérien arrêté travaillait selon les révélations de l’enquête policière espagnole avec un réseau basé en Algérie qui organise les voyages pour un prix de 4 000 euros par personne. D’après les aveux du passeur algérien, ce réseau algérien gagnait des revenus allant jusqu’à 20 000 euros par voyage ! Un nouveau business qui a totalement choqué les autorités espagnoles visiblement dépassées par les nouvelles formes de « Harga » qui se développement depuis l’Algérie.
Le bateau de luxe pouvait transporter jusqu’à 5 personnes. Et il pouvait relier l’Algérie à plusieurs zones des côtes espagnoles, mais c’est la première fois qu’il a été détecté aux Îles Baléares, indique encore El Mundo. Cette embarcation de luxe a été interceptée cette fois-ci facilement par les garde-côte espagnols pour cause de mauvaises conditions climatiques. Le propriétaire de l’embarcation était contraint de lancer des signaux d’alerte pour demander des secours aux autorités espagnoles.
Cette « harga de luxe » n’en est qu’à ses débuts selon les éléments préliminaires recueillis par la Police Espagnole. Aucune information n’a encore filtré sur l’identité des passagers aisés de cette embarcation. Il s’agit certainement de personnes riches capables de payer les 4000 euros. Les bénéfices importants des passeurs démontent que cette « harga de luxe » est largement recherchée et demandée… en Algérie.
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