Face aux velléités de déstabilisation au 2e anniversaire du Hirak
L'armée fixe les lignes rouges
Les forces du chaos veulent «réveiller» la bête de la sédition à l'occasion du 2e anniversaire du Mouvement populaire, le 22 février prochain.
Fondamentalement, la nouvelle Algérie n'a pas échoué. Elle est née dans le tumulte d'une révolution citoyenne et ne pouvait véritablement exister qu'en référence aux revendications des Algériens portées par le Mouvement populaire. Une année, c'est une trop courte période pour juger de la pertinence d'une action politique, surtout lorsque l'élan de la nouvelle République s'en trouve entravé par une crise sanitaire mondiale qui a mis tant de pays à genoux. Mais paradoxalement, alors que certains espéraient l'effondrement du pays, cet épisode sanitaire est venu prouver sa solidité et la confiance mutuelle entre la société et l'Etat. L'Editorial du dernier numéro d'El Djeïch a justement souligné cet aspect de la vie de la nation. Il en a déduit que «la nouvelle Algérie est une réalité concrète, traçant son chemin avec sagesse et fermeté».
Le propos s'appuie sur un parcours exceptionnel et sans précédent, dans l'Histoire de l'Algérie indépendante, pour un Exécutif à peine installé. On en veut pour preuve que trois mois à peine après l'arrivée du président Tebboune à la présidence de la République, l'urgence qui s'imposait, de fait, n'était pas du tout le fruit de l'imagination, mais bien un défi réel pour la nation toute entière. La vie des Algériens était menacée. Et en mars 2020, pareille expression ne relevait pas de «l'entourloupe» politicienne. Le monde entier était traversé par une panique inédite. Et les Algériens n'étaient pas en reste. La gestion de la pandémie aura été un succès éclatant. L'OMS et les Algériens eux-mêmes en témoignent, même si le prix à payer était lourd aux plans social et économique. Mais malgré sa violence, la pandémie n'a pas détourné le président des promesses faites aux Algériens. Les bas salaires ont été défiscalisés et le programme de lutte contre les zones d'ombre a été totalement maintenu, en sus du programme de réalisation de logements. Se battre contre la maladie et l'exclusion auront été les deux grandes batailles de la nouvelle Algérie. Cela est un fait que personne ne peut ignorer.
L'Editorial qui rappelle les premiers pas de la nouvelle Algérie, souligne également l'activisme des forces ennemies de l'Algérie qui «s'étaient ingéniées à cibler notre pays par différents canaux».
Et cela est également vrai. On n'a pas entendu une voix, parmi les détracteurs, reconnaître le double succès de l'Algérie. Les Algériens n'attendent pas un quelconque assentiment de leurs ennemis pour apprécier l'action de leur Etat. Cela aussi est un fait. Mais, il faut aussi admettre que les forces du chaos font de l'écho et leurs mercenaires s'attellent, depuis le premier jour du Mouvement populaire, «à la promotion de divers scénarii» destinés principalement à semer le chaos. Mais, retient la revue El Djeïch, que «le peuple algérien avait déjà fermement rejetés et condamnés».
Ces milieux, qui vouent une haine féroce à l'endroit de l'Algérie et de son peuple, ne sont certainement pas à leur dernière tentative. La prochaine est déjà en marche et son objectif consiste à «réveiller» la bête de la sédition à l'occasion du 2e anniversaire du Mouvement populaire, le 22 février prochain. Au mieux, ils misent sur une fracture entre les Algériens et leur armée. Le fameux slogan «Etat civil et non militaire» est la «trouvaille» par laquelle, ils espèrent fragiliser le lien entre le peuple et l'ANP. Ils «ne parviendront jamais à briser cette relation sacrée qui plonge ses racines dans la glorieuse Révolution libératrice», affirme, à juste titre, l'auteur de l'Editorial, donnant au slogan naturel «Djeich Chaâb Khaoua Khaoua» que les Algériens avaient spontanément entonné à l'unisson lorsqu'ils avaient investi les rues des villes et villages du pays, bien avant que les forces du chaos n'aient tenté de détourner le «fleuve» de la nouvelle Algérie.
Au pire, ils espèrent voir la pandémie flamber aux quatre coins du pays, après des regroupements de masse qui durent habituellement plus de 5 heures. L'écroulement du système sanitaire du pays fait partie de leurs objectifs. Ils ont d'ailleurs à plusieurs reprises annoncé l'hécatombe en Algérie, motif pour eux de semer la graine de la violence. Les forces de la haine n'ont réussi aucun de leurs plans. «Les rêveurs qui veulent semer le chaos et la discorde au sein du peuple ou les illusionnistes qui aspirent à concrétiser des intérêts au détriment de la nation, semblent ignorer que cette époque est bien révolue et ne représente qu'un souvenir», conclut l'Editorial.
L Expression
L'armée fixe les lignes rouges
Les forces du chaos veulent «réveiller» la bête de la sédition à l'occasion du 2e anniversaire du Mouvement populaire, le 22 février prochain.
Fondamentalement, la nouvelle Algérie n'a pas échoué. Elle est née dans le tumulte d'une révolution citoyenne et ne pouvait véritablement exister qu'en référence aux revendications des Algériens portées par le Mouvement populaire. Une année, c'est une trop courte période pour juger de la pertinence d'une action politique, surtout lorsque l'élan de la nouvelle République s'en trouve entravé par une crise sanitaire mondiale qui a mis tant de pays à genoux. Mais paradoxalement, alors que certains espéraient l'effondrement du pays, cet épisode sanitaire est venu prouver sa solidité et la confiance mutuelle entre la société et l'Etat. L'Editorial du dernier numéro d'El Djeïch a justement souligné cet aspect de la vie de la nation. Il en a déduit que «la nouvelle Algérie est une réalité concrète, traçant son chemin avec sagesse et fermeté».
Le propos s'appuie sur un parcours exceptionnel et sans précédent, dans l'Histoire de l'Algérie indépendante, pour un Exécutif à peine installé. On en veut pour preuve que trois mois à peine après l'arrivée du président Tebboune à la présidence de la République, l'urgence qui s'imposait, de fait, n'était pas du tout le fruit de l'imagination, mais bien un défi réel pour la nation toute entière. La vie des Algériens était menacée. Et en mars 2020, pareille expression ne relevait pas de «l'entourloupe» politicienne. Le monde entier était traversé par une panique inédite. Et les Algériens n'étaient pas en reste. La gestion de la pandémie aura été un succès éclatant. L'OMS et les Algériens eux-mêmes en témoignent, même si le prix à payer était lourd aux plans social et économique. Mais malgré sa violence, la pandémie n'a pas détourné le président des promesses faites aux Algériens. Les bas salaires ont été défiscalisés et le programme de lutte contre les zones d'ombre a été totalement maintenu, en sus du programme de réalisation de logements. Se battre contre la maladie et l'exclusion auront été les deux grandes batailles de la nouvelle Algérie. Cela est un fait que personne ne peut ignorer.
L'Editorial qui rappelle les premiers pas de la nouvelle Algérie, souligne également l'activisme des forces ennemies de l'Algérie qui «s'étaient ingéniées à cibler notre pays par différents canaux».
Et cela est également vrai. On n'a pas entendu une voix, parmi les détracteurs, reconnaître le double succès de l'Algérie. Les Algériens n'attendent pas un quelconque assentiment de leurs ennemis pour apprécier l'action de leur Etat. Cela aussi est un fait. Mais, il faut aussi admettre que les forces du chaos font de l'écho et leurs mercenaires s'attellent, depuis le premier jour du Mouvement populaire, «à la promotion de divers scénarii» destinés principalement à semer le chaos. Mais, retient la revue El Djeïch, que «le peuple algérien avait déjà fermement rejetés et condamnés».
Ces milieux, qui vouent une haine féroce à l'endroit de l'Algérie et de son peuple, ne sont certainement pas à leur dernière tentative. La prochaine est déjà en marche et son objectif consiste à «réveiller» la bête de la sédition à l'occasion du 2e anniversaire du Mouvement populaire, le 22 février prochain. Au mieux, ils misent sur une fracture entre les Algériens et leur armée. Le fameux slogan «Etat civil et non militaire» est la «trouvaille» par laquelle, ils espèrent fragiliser le lien entre le peuple et l'ANP. Ils «ne parviendront jamais à briser cette relation sacrée qui plonge ses racines dans la glorieuse Révolution libératrice», affirme, à juste titre, l'auteur de l'Editorial, donnant au slogan naturel «Djeich Chaâb Khaoua Khaoua» que les Algériens avaient spontanément entonné à l'unisson lorsqu'ils avaient investi les rues des villes et villages du pays, bien avant que les forces du chaos n'aient tenté de détourner le «fleuve» de la nouvelle Algérie.
Au pire, ils espèrent voir la pandémie flamber aux quatre coins du pays, après des regroupements de masse qui durent habituellement plus de 5 heures. L'écroulement du système sanitaire du pays fait partie de leurs objectifs. Ils ont d'ailleurs à plusieurs reprises annoncé l'hécatombe en Algérie, motif pour eux de semer la graine de la violence. Les forces de la haine n'ont réussi aucun de leurs plans. «Les rêveurs qui veulent semer le chaos et la discorde au sein du peuple ou les illusionnistes qui aspirent à concrétiser des intérêts au détriment de la nation, semblent ignorer que cette époque est bien révolue et ne représente qu'un souvenir», conclut l'Editorial.
L Expression
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