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L’Algérie a exporté à peine 290 mille barils de pétrole par jour au mois de janvier : le seuil le plus bas de ces 4 dern

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  • L’Algérie a exporté à peine 290 mille barils de pétrole par jour au mois de janvier : le seuil le plus bas de ces 4 dern

    L’Algérie a exporté à peine 290 mille barils de pétrole par jour au mois de janvier : le seuil le plus bas de ces 4 dernières années

    L’Algérie a exporté à peine 290 mille de barils de pétrole par jour pendant le mois de janvier 2021 enregistrant son seuil le plus bas de ces 4 dernières années. Cette contre-performance marque un recul de 36 % par rapport au niveau des exportations pétrolières enregistrées au mois de décembre 2020, nous apprend ce lundi 8 février Bloomberg, une agence de presse américaine du groupe Bloomberg LP, spécialisée dans l’économie et la finance.

    D’après les experts internationaux consultés par Bloomberg, depuis 2017, l’Algérie n’a jamais enregistré un niveau des exportations du pétrole brut aussi bas et dérisoire. C’est un indicateur très inquiétant qui témoigne d’une descente en enfer du secteur pétrolier algérien.

    « La production globale de pétrole a légèrement augmenté en janvier, mais elle reste encore à son niveau le plus bas depuis 2002 », révèle encore Reuters en estimant que l’Algérie souffre aujourd’hui d’une « production anémique ». Pis encore, l’agence de presse appartenant à Michael Bloomberg, maire de New York de 2002 à 2013, explique encore que l’Algérie ne pourra pas profiter de la récente reprise des prix du baril de pétrole sur les marchés mondiaux en raison de sa très faible production journalière et sa capacité dérisoire à exporter vers l’étranger.

    Les prix du baril de pétrole ont augmenté effectivement de plus de 50% depuis le début du mois de novembre 2020 « grâce au déploiement des vaccins Covid-19 et à la demande croissante en Chine », rappelle également Bloomberg, le groupe de presse spécialisé dans les services aux professionnels des marchés financiers et dans l’information économique et financière aussi bien en tant qu’agence de presse que directement, via de nombreux médias (télévision, radio, presse, internet et livres) dont les plus connus sont probablement ses propres chaînes de télévision par câble/satellite.

    La même source a précisé enfin que même le secteur gazier souffre énormément de la décadence en Algérie. Et pour cause, les exportations nationales de gaz naturel brut et liquéfié (GNL) ont chacune baissé d’environ 30% en 2020. Pour annoncer ce chiffre, Bloomberg s’est appuyé sur « les données de suivi des navires ». Bloomberg conclut que la production du gaz naturel a commencé à chuter depuis l’année 2019 enregistrant son niveau le plus bas de ces 10 dernières années. Ces données font de l’Algérie le pays membre de l’OPEP le plus fragile face aux chocs extérieurs.


    algeriepartplus

  • #2

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    • #3
      "echaaouada" ou ma adrak men echaaouada

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      • #4
        De Mal en pis

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        • #5
          Hier, le brent a dépassé les 60$ pour la premier fois depuis une année. 2021 est tres mal partie pour certains!

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          • #6
            Hier, le brent a dépassé les 60$ pour la premier fois depuis une année. 2021 est tres mal partie pour certains!
            Un prix correct pour l'Arabie Saoudite, pour l'Algerie, elle a besoin d'un prix de $157 le baril pour equilibrer sa balance...

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            • #7
              Selon Bloomberg L'Algérie a besoin d'un Baril à 135 Dollars pour atteindre un équilibre financier

              Dernière modification par sergio, 11 février 2021, 00h19.

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              • #8
                Un prix correct pour l'Arabie Saoudite, pour l'Algerie, elle a besoin d'un prix de $157 le baril pour equilibrer sa balance...
                Un autre cite 134 $ peu importe,
                Pour l'instant un baril de 60 à 65 $ nous suffit largement, quant au besoin d'un baril fort pour equilibrer les finances, rien ne presse. Cite moi un pays qui songe de nos jours à equilibrer ses finances?

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                • #9
                  L’Algérie a besoin d’un baril de pétrole à 60 dollars minimum sur une durée de deux ans pour arriver à équilibrer son budget, selon le ministre de l’Energie Abdelmadjid Attar.
                  https://www.algerie-eco.com/2020/08/...llars-minimum/
                  Dernière modification par Ismail, 11 février 2021, 11h40.

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                  • #10
                    Ce que tu ne comprends pas ismael, c'est que même à 60$, une production de 293000b/j ne génère que moitié moins de recette en année glissante qu'1 Mj/j a 30 $......
                    C'est exactement ce que dis Semmar, l'algerie n'en profite pas. Factuellement, ou se trompe t-il ?

                    Par contre j'aurais moins de pudeur que lui s'agissant du secteur de la pêche chez le voisin "crève la dalle" de l'ouest : c'est 2 mds$ d'exportation et premier exportateur mondial de sardine

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                    • #11
                      Par contre j'aurais moins de pudeur que lui s'agissant du secteur de la pêche chez le voisin "crève la dalle" de l'ouest : c'est 2 mds$ d'exportation et premier exportateur mondial de sardine
                      Jai evite de relever ça pour ne pas gener les sensibilités
                      Dernière modification par ayoub7, 12 février 2021, 14h15.

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                      • #12
                        Ce que tu ne comprends pas ismael, c'est que même à 60$, une production de 293000b/j
                        cette petite production concernait uniquement le mois de janvier, mais en moyenne annuelle l'algerie peut beaucoup mieux faire au prix de 60$ le baril.

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                        • #13
                          Finalement la joie fut de courte durée pour les makhzenis :

                          Le ministre de l'Energie a mis en garde jeudi contre certaines parties, qui se livrent à la manipulation des chiffres de la production énergétique nationale et certaines prévisions alarmistes, au sujet de la situation économique en Algérie, invitant l'opinion nationale à "ne pas se laisser abuser par les auteurs de ses informations erronées qui visent à faire mal à l'Algérie"

                          Abdelmadjid Attar fait, en l'occurrence, référence au dernier rapport de l'agence américaine Bloomberg, sur la production pétrolière en Algérie , indiquant qu''il (rapport) se caractérise par une légèreté inacceptable."

                          le ministre de l'Energie, s'exprimant devant les membres du Conseil de la Nation a démenti la baisse de la production pétrolière algérienne, ajoutant que les prévisions catastrophistes de certains journaux spécialisés sont fausses et s'appuient sur des données erronées.

                          "A les croire, l'Algérie produit à peine 290.000 barils/ jours, nos réserves pétrolières sont en voie d'épuisement" déplore encore Abdelmadjid Attar qui décline les chiffres réels des exportations , à savoir 677.000 barils/j de pétrole brut, 80.000 barils/j de pétrole léger et 180.000 barils/j de pétrole liquéfié.

                          Pa ailleurs, le ministre de l'énergie est revenu sur la question du soutien des tarifs des produits énergétiques, proposant de mettre un terme à la politique de la subvention, à travers la mise en place d'une aide directe aux familles à faible revenus, ainsi que la création de deux nouvelles tranches dans la facture l'électricité et du gaz, proposant l'année 2022 pour l'entrée en application de ce nouveau système.

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                          • #14
                            "A les croire, l'Algérie produit à peine 290.000 barils/ jours, nos réserves pétrolières sont en voie d'épuisement" déplore encore Abdelmadjid Attar qui décline les chiffres réels des exportations , à savoir 677.000 barils/j de pétrole brut, 80.000 barils/j de pétrole léger et 180.000 barils/j de pétrole liquéfié.
                            Ce qui correspond aux quotas Opep décidés en 2019 et reconduits depuis.

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                            • #15
                              silence de plomb !

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