Pourquoi aimer, l’amour impossible.
Pourquoi le laisser nous prendre pour cible.
Un chemin qu’on connaît la fin.
Dans un précipice il nous guide .
A sa volonté il nous jette dans le vide .
Et nous, nous faisons que suivre .
Tête baissé ou bien sommes-nous ivres.
Si étroit qu’il ne laisse passé qu’une paire.
A la fois de deux astres diffère.
Nous de deux paires en entame .
Cette marche , cette course , ce macadam.
Chaque moitié de nous , n’a rien fait pour .
Chaque moitié est obligé à .
Sans savoir est , ne rien pouvoir l’est .
Le je en moi sème le doute .
J’ai pitié de moi, je me dégoûte.
J’arrête je ne vais pas continuer dans cette folie .
J’arrête, par pitié de ma personne , par envie d’une vie saine .
Par défaut d’avoir tout faux ,(amour son issue, bonheur non accomplis)
J’arrête de marcher, ses sentiments qui me déchiquètent, qui me brûle, qui me consume.
Je vais les refouler
Je vais les vomir , de ma part
Toi, je t’incite a faire autant .
Mais si tu peux, je t’en conjure .
Fais rejaillir tes démons, si vous en avez.
Sinon , de dehors il en aura , puisque t’en as pas dedans.
Lâches-les , s’ils t’obéissent , .
Lâches-les qu’ils me pourchassent.
Non , non , je ne fuirais jamais .
Je les attendrai, à cœur ouvert ,pied nu et torse .
Allez-y démons, allez-y faites votre besogne.
Je vous aime ,même quand vous me faites ça .
Je vous caresse avec ce qui reste de mes bras,mains et doigts.
Déchiquetez-moi , que ma chère aurait servit à quelque chose.
Un met que je vous remets , le cœur en premier,S.V.P.
S’il me reste des doigts ce serait pour ces trois ,S.W.M.
Au moins qu’ils auraient servis a ces quelques bides.
Combler un creux leur boucher un vide .
Je te disais mon ange , je t’en supplie avec toutes les louanges.
Détestes-moi , de toutes tes forces.
Détestes-moi , de la manière la plus noble.
Détestes-moi , je le mérite, et je ne mérite pas .
Quel paradoxe.
Pourquoi le laisser nous prendre pour cible.
Un chemin qu’on connaît la fin.
Dans un précipice il nous guide .
A sa volonté il nous jette dans le vide .
Et nous, nous faisons que suivre .
Tête baissé ou bien sommes-nous ivres.
Si étroit qu’il ne laisse passé qu’une paire.
A la fois de deux astres diffère.
Nous de deux paires en entame .
Cette marche , cette course , ce macadam.
Chaque moitié de nous , n’a rien fait pour .
Chaque moitié est obligé à .
Sans savoir est , ne rien pouvoir l’est .
Le je en moi sème le doute .
J’ai pitié de moi, je me dégoûte.
J’arrête je ne vais pas continuer dans cette folie .
J’arrête, par pitié de ma personne , par envie d’une vie saine .
Par défaut d’avoir tout faux ,(amour son issue, bonheur non accomplis)
J’arrête de marcher, ses sentiments qui me déchiquètent, qui me brûle, qui me consume.
Je vais les refouler
Je vais les vomir , de ma part
Toi, je t’incite a faire autant .
Mais si tu peux, je t’en conjure .
Fais rejaillir tes démons, si vous en avez.
Sinon , de dehors il en aura , puisque t’en as pas dedans.
Lâches-les , s’ils t’obéissent , .
Lâches-les qu’ils me pourchassent.
Non , non , je ne fuirais jamais .
Je les attendrai, à cœur ouvert ,pied nu et torse .
Allez-y démons, allez-y faites votre besogne.
Je vous aime ,même quand vous me faites ça .
Je vous caresse avec ce qui reste de mes bras,mains et doigts.
Déchiquetez-moi , que ma chère aurait servit à quelque chose.
Un met que je vous remets , le cœur en premier,S.V.P.
S’il me reste des doigts ce serait pour ces trois ,S.W.M.
Au moins qu’ils auraient servis a ces quelques bides.
Combler un creux leur boucher un vide .
Je te disais mon ange , je t’en supplie avec toutes les louanges.
Détestes-moi , de toutes tes forces.
Détestes-moi , de la manière la plus noble.
Détestes-moi , je le mérite, et je ne mérite pas .
Quel paradoxe.
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