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La famille de l’émir Abdelkader refuse qu’une stèle de l’émir soit érigée en France.
livenews************
12 février 2021
[IMG]https://www.livenews************/wp-content/uploads/2021/02/images-2021-02-12T174223.752-580x330.jpeg[/IMG]
Cette déclaration a été faite, ce vendredi, par l’un des petits-fils de l’émir Abdelkader, Mohamed Boutaleb, à l’agence turque Anadolu.
« Nous rejetons la construction d’une stèle de l’émir en France où il a été emprisonné et retenu en otage », a déclaré Mohamed Boutaleb. « Nous avons préparé une pétition électronique pour recueillir des signatures pour rejeter la proposition du rapport français », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le rapport de l’historien Benjamin Stora, commandé par le président français Emmanuel Macron, a été critiqué par plusieurs voix en Algérie pour n’avoir pas proposé la présentation d’excuses officielles de la France pour son passé colonial en Algérie.
En revanche, la France s’est engagée à faire « des gestes symboliques » tels que la construction d’une stèle » en hommage à l’émir Abdelkader ».
Le 8 février dernier, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a dénoncé » les résistances à la reconnaissance par la France de ses crimes ».
« Il y a des raisons connues aux résistances à la reconnaissance par la France de ses crimes, émanant des nostalgiques du passé colonial et de l’Algérie française », a dit M. Belhimer, ajoutant que « le criminel fait tout pour éviter de reconnaître ses crimes », « Mais cette fuite en avant ne pourra pas durer ».
R.M
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12 février 2021
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Cette déclaration a été faite, ce vendredi, par l’un des petits-fils de l’émir Abdelkader, Mohamed Boutaleb, à l’agence turque Anadolu.
« Nous rejetons la construction d’une stèle de l’émir en France où il a été emprisonné et retenu en otage », a déclaré Mohamed Boutaleb. « Nous avons préparé une pétition électronique pour recueillir des signatures pour rejeter la proposition du rapport français », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le rapport de l’historien Benjamin Stora, commandé par le président français Emmanuel Macron, a été critiqué par plusieurs voix en Algérie pour n’avoir pas proposé la présentation d’excuses officielles de la France pour son passé colonial en Algérie.
En revanche, la France s’est engagée à faire « des gestes symboliques » tels que la construction d’une stèle » en hommage à l’émir Abdelkader ».
Le 8 février dernier, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a dénoncé » les résistances à la reconnaissance par la France de ses crimes ».
« Il y a des raisons connues aux résistances à la reconnaissance par la France de ses crimes, émanant des nostalgiques du passé colonial et de l’Algérie française », a dit M. Belhimer, ajoutant que « le criminel fait tout pour éviter de reconnaître ses crimes », « Mais cette fuite en avant ne pourra pas durer ».
R.M