Le Mouvement du 20 février appelle à manifester ce samedi
Une marche pourrait avoir lieu, samedi à Rabat, en commémoration du 10ᵉ anniversaire du Mouvement du 20 février. Plusieurs appels ont été lancés sur les réseaux sociaux par des militants associatifs.
L’appel, à en croire le site Alyaoum24, aurait trouvé écho favorable auprès d’une dizaine d’organisations des droits de l’homme au Maroc, regroupées sous l’égide du « Front social marocain ». Le slogan « 10 ans de lutte contre l’oppression, la tyrannie, et la répression des libertés » a été rapidement relayé par les différents organes.
Le FSM a annoncé à cet effet que la manifestation, qui attend l’accord des autorités, sera l’occasion de « brandir des slogans où on appelle à libérer les détenus politiques et les prisonniers d’opinion et à renoncer aux poursuites judiciaires ».
« Pouvoir pour le peuple » ou encore « justice sociale », sont parmi les principales revendications de ce mouvement protestataire, qui dénonce les inégalités sociales et l’impuissance du gouvernement à opérer des changements profonds.
De leur côté, les autorités se défendent, en affirmant que l’essentiel des revendications auraient été satisfaites avec l’adoption de la Constitution de 2011, mise en place à l’initiative du roi Mohammed VI.
ALM
Une marche pourrait avoir lieu, samedi à Rabat, en commémoration du 10ᵉ anniversaire du Mouvement du 20 février. Plusieurs appels ont été lancés sur les réseaux sociaux par des militants associatifs.
L’appel, à en croire le site Alyaoum24, aurait trouvé écho favorable auprès d’une dizaine d’organisations des droits de l’homme au Maroc, regroupées sous l’égide du « Front social marocain ». Le slogan « 10 ans de lutte contre l’oppression, la tyrannie, et la répression des libertés » a été rapidement relayé par les différents organes.
Le FSM a annoncé à cet effet que la manifestation, qui attend l’accord des autorités, sera l’occasion de « brandir des slogans où on appelle à libérer les détenus politiques et les prisonniers d’opinion et à renoncer aux poursuites judiciaires ».
« Pouvoir pour le peuple » ou encore « justice sociale », sont parmi les principales revendications de ce mouvement protestataire, qui dénonce les inégalités sociales et l’impuissance du gouvernement à opérer des changements profonds.
De leur côté, les autorités se défendent, en affirmant que l’essentiel des revendications auraient été satisfaites avec l’adoption de la Constitution de 2011, mise en place à l’initiative du roi Mohammed VI.
ALM
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