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Le Belge Moncef Slaoui prend la tête d'une nouvelle biotech

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  • Le Belge Moncef Slaoui prend la tête d'une nouvelle biotech

    "Je suis aussi excité par Centessa que par l'opération Warp Speed."
    Erin Scott
    MAXIME FETTWEIS
    17 février 2021 13:08
    Le Belge Moncef Slaoui, ex-directeur du programme américain de développement du vaccin anti-Covid sous l'administration Trump, rejoint la toute nouvelle biotech Centessa Pharmaceuticals.

    Après plus de trente ans chez GlaxoSmithKline (GSK) en Belgique et aux États-Unis et un poste à la tête de l'opération américaine Warp Speed, c'est dans le secteur privé que le Belge d'origine marocaine Moncef Slaoui prendra fonction. Il vient de décrocher le poste de directeur scientifique de Centessa Pharmaceutical, la coalition de dix start-ups actives dans la biotechnologie.

    Réunies par la société d'investissement britannique Medicxi, les dix filiales se concentrent sur des traitements destinés aux patients atteints d'hémophilie, de cancer et de maladies rénales, entre autres. Centessa bénéficiera d'un montant de départ de 250 millions de dollars, récoltés lors d'une levée de fonds.





    Retour chez Medicxi
    Loin d'être le premier appel du pied de Medicxi au scientifique belge, ils sont associés dans l'aide aux entreprises pharmaceutiques en phase de démarrage depuis 2017. C'est donc un nouveau défi pour Moncef Slaoui qui assurera la supervision et le conseil des programmes de développement de médicaments de Centessa.

    "Je suis aussi excité par Centessa que par l'opération Warp Speed."
    MONCEF SLAOUI
    DIRECTEUR SCIENTIFIQUE DE CENTESSA
    À la demande de Joe Biden, Moncef Slaoui avait démissionné mi-janvier de son poste de directeur scientifique de l'opération Warp Speed, le programme américain de développement de traitements anti-Covid.

    "Je suis aussi excité par Centessa que par l'opération Warp Speed", a confié le Belge à Bloomberg. Il estime que l'approche centralisée de Centessa est similaire à celle du gouvernement américain.
    lecho

  • #2
    Cette histoire de mRNA a de bonnes chances d'etre revolutionnaire pour le traitement des cancers et de bien d'autres maladies... C'est une technologie a suivre de près.

    Commentaire


    • #3
      Cette histoire de mRNA a de bonnes chances d'etre revolutionnaire pour le traitement des cancers
      Les premiers travaux sur le traitement du cancer par l'ARN messager remontent à un peu plus de 20 ans. Mais certains problèmes se posent à cette technique. Entre autres, pour que l'ARN messager se traduit en protéine, il faut qu'il pénètre à l’intérieur de la cellule, or la membrane plasmique de la cellule est une barrière infranchissable.

      Commentaire


      • #4
        Les premiers travaux sur le traitement du cancer par l'ARN messager remontent à un peu plus de 20 ans. Mais certains problèmes se posent à cette technique. Entre autres, pour que l'ARN messager se traduit en protéine, il faut qu'il pénètre à l’intérieur de la cellule, or la membrane plasmique de la cellule est une barrière infranchissable.

        Hakimcasa

        La technologie de l'ARN messager est très utilisée dans le domaine vétérinaire. Son utilisation dans le cas de Covid-19 va ouvrir la porte à son utilisation dans d'autres maladies. Dans les préparations vaccinales contre le Covid-19, le RNA messager est encapsulé dans une structure lipidique qui permet le fusion avec les membranes lipidiques des cellules humaines et d'injecter leur contenu sans la cellules humaine.

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        • #5

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