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Maroc-Algérie: La tentation de l’autonomie de la Kabylie comme en 2015?

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  • Maroc-Algérie: La tentation de l’autonomie de la Kabylie comme en 2015?

    Non seulement aucun Marocain ne maîtrise l'affaire kabyle, mais qui plus est que les Kabyles haïssent les Marocains et ce faisant, cet article de Ya..bi n'entend que jeter de l'huile sur le feu entre l'Algérie et le Maroc!

    In fine , l'Algérie s'est-elle mêlée de la rébellion du Rif? Absolument pas.

    En conclusion, ne jamais comparer le Sahara Occidental avec la Kabylie ou le Rif: ces deux derniers reconnus appartenir à l'Algérie et au Maroc, mais que tel n'est pas le cas pour le Sahara Occidental.

    - En riposte aux nombreuses attaques du régime algérien contre le royaume, d’aucuns estiment que l’Etat marocain doit répondre en plaidant l’autonomie de la Kabylie. Il y a six ans, Rabat avait pris une telle initiative dans un contexte géostratégique particulier.

    Face aux récents épisodes d'hostilités médiatiques et politiques venant d'Alger, certains internautes marocains ont exhumé vidéos et articles d'octobre et novembre 2015 comme réponse à donner par Rabat. Depuis la tribune des Nations unies, le Maroc avait défendu à deux reprises l’autonomie de la Kabylie, régions amazighes en Algérie. «Le peuple Kabyle doit être entendu et écouté pour la reconnaissance de ses besoins et de ses attentes (…) La communauté internationale a le devoir de l’accompagner pour qu’il puisse jouir de ses droits légitimes à l’autodétermination et à l’autonomie», avait plaidé le diplomate Omar Rabi lors d’une réunion de la 3e commission de l’ONU.

    Depuis ces deux interventions, la question a disparu des discours officiels même si le Maroc a accueilli en 2016 et pendant plusieurs mois deux militants amazighs du mouvement mozabite à Ghardaïa. Salah Abbouna et Khodir Sekkouti, sont deux compagnons du leader Kamal Eddine Fekhar, décédé dans une prison algérienne le 28 mai 2019. Ils avaient fui la répression avant qu’ils n’entrent à Melilla et forcent ensuite le gouvernement espagnol, dirigé alors par Mariano Rajoy, de leur accorder l’asile politique, tient à rappeler Rachid Raha dans des déclarations à Ya..bi.

    Le précédent de 2015 répondait à un contexte géostratégique particulier

    Mais les retards au Maroc sur la question amazighe ne sont pas forcément un obstacle quant au soutien de l'autonomie kabyle en Algérie. Cette carte a déjà été jouée en 2015 à l'ONU dans le bras de fer vec (!) l'Algérie sur le Sahara occidental. Rachid Raha tient à apporter un éclaraige (!) sur cet épisode ô combien sensible. Tout en veillant à ne pas s’immiscer sur un terrain qui relève, selon lui, des prérogatives du ministère des Affaires étrangères, il inscrit le plaidoyer marocain en faveur de l’autonomie kabyle dans un «contexte géostratégique particulier».

    «L'action de 2015 répondait à une volonté de la part du royaume de promouvoir l’autonomie comme solution à des conflits territoriaux au Maghreb et dans la région du Sahel. N’oublions pas que le roi Mohammed VI avait reçu, le 31 janvier 2014, Bilal AG Cherif le secrétaire général du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) au Mali, qui était venu défendre l’autonomie des Touaregs maliens et non l’indépendance de la province.Rachid Raha

    (Ya..bi. extraits

  • #2
    Simple erreur.

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