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ALGERIEPART PLUS
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24 FÉVRIER 2021
Le Premier-ministre, Abdelaziz Djerad, a imposé l’un de ses fils, Hichem Djerad, dans la course pour la numérisation du secteur de la Santé, l’un des secteurs les plus archaïques en Algérie, a constaté Algérie Part au cours de ses investigations.
Depuis le mois d’avril 2020, l’actuel Premier-ministre a exercé de fortes pressions pour imposer son fils Hichem Djerad dans un projet d’expérimentation d’une plateforme numérique de consultations en ligne. Le fils du Premier-ministre, qui a été reconduit dans ses fonctions lors du dernier remaniement gouvernemental décidé le 21 février dernier, s’est associé à une jeune startup algérienne dont les principaux fondateurs se sont établis en France après avoir échoué à lever des fonds nécessaires au financement de leur projet innovant dans leur propre pays. Mais dés le début de l’épidémie de la COVID-19, Hichem Djerad a exploité l’infortune de cette jeune startup pour contraindre ses propriétaires de s’associer avec lui dans le but d’obtenir un marché public important dans le secteur de la santé consistant à expérimenter des consultations en ligne avec des médecins algériens établis à l’étranger en vue d’accompagner les patients souffrant des maladies les plus complexes à traiter sur le territoire national.
L’attribution de ce marché a été effectuée sans aucune procédure de mise en concurrence ni le moindre appel d’offres. Le mode de gré à gré a été privilégié pour les « beaux yeux » du fils du Premier-ministre. Hichem Djerad s’était lancé récemment dans la commercialisation des services et logiciels informatiques.
Auparavant, il était le principal gérant de la société EDUPRO Formations basée à Dely Ibrahim, l’un des quartiers résidentiels les plus chics de la capitale Alger. Il s’agit d’un centre de formation spécialisé dans la formation des gestionnaires professionnels qui font faire carrière dans l’univers du commerce, du management, finance ou commerce international. L’actuel Premier-ministre, Abdelaziz Djerad, avait lui-même dirigé ce centre de formation qui avait remporté plusieurs contrats avec des sociétés étrangères présentes à Alger.
Force est également de constater que chez les Djerad, on aime depuis très longtemps faire dans le mélange des genres puisque l’argent et la politique ont toujours été étroitement liés dans cette famille de l’ex-secrétaire général de la Présidence de la République sous l’ère de Liamine Zeroual. Preuve en est, Hichem Djerad était aussi l’ancien associé à Tebboune Khaled et son frère Tarik Abbas dans la société IGLOBAL COMMUNICATION. Cette société privée avait lancé ses activités depuis le 27 avril 2010 avec un registre de commerce sous le numéro 10B1003649.
Dés son arrivée au pouvoir, Abdelaziz Djerad va faciliter la fructification des affaires de ses enfants. Il est allé jusqu’à négocier le recrutement de son fils Tarek Djerad avec le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar, son protégé, originaire tout comme lui de Khenchela, et l’un des membres les plus actifs de son clan. Effectivement, Algérie Part a été le seul média qui avait révélé que le fils du Premier Ministre a été recruté en juin 2020 à Sonatrach, dans le même service qu’occupe le fils du sénateur Djiar, muté de son poste à la raffinerie de sidi r’cine, vers la Direction Corporate Affairs, au niveau du siège de la direction générale de Sonatrachà Hydra. Décidément, Abdelaziz Djerad est davantage soucieux de l’avenir et du portefeuille de ses enfants que du développement salutaire de l’Algérie.
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24 FÉVRIER 2021
Le Premier-ministre, Abdelaziz Djerad, a imposé l’un de ses fils, Hichem Djerad, dans la course pour la numérisation du secteur de la Santé, l’un des secteurs les plus archaïques en Algérie, a constaté Algérie Part au cours de ses investigations.
Depuis le mois d’avril 2020, l’actuel Premier-ministre a exercé de fortes pressions pour imposer son fils Hichem Djerad dans un projet d’expérimentation d’une plateforme numérique de consultations en ligne. Le fils du Premier-ministre, qui a été reconduit dans ses fonctions lors du dernier remaniement gouvernemental décidé le 21 février dernier, s’est associé à une jeune startup algérienne dont les principaux fondateurs se sont établis en France après avoir échoué à lever des fonds nécessaires au financement de leur projet innovant dans leur propre pays. Mais dés le début de l’épidémie de la COVID-19, Hichem Djerad a exploité l’infortune de cette jeune startup pour contraindre ses propriétaires de s’associer avec lui dans le but d’obtenir un marché public important dans le secteur de la santé consistant à expérimenter des consultations en ligne avec des médecins algériens établis à l’étranger en vue d’accompagner les patients souffrant des maladies les plus complexes à traiter sur le territoire national.
L’attribution de ce marché a été effectuée sans aucune procédure de mise en concurrence ni le moindre appel d’offres. Le mode de gré à gré a été privilégié pour les « beaux yeux » du fils du Premier-ministre. Hichem Djerad s’était lancé récemment dans la commercialisation des services et logiciels informatiques.
Auparavant, il était le principal gérant de la société EDUPRO Formations basée à Dely Ibrahim, l’un des quartiers résidentiels les plus chics de la capitale Alger. Il s’agit d’un centre de formation spécialisé dans la formation des gestionnaires professionnels qui font faire carrière dans l’univers du commerce, du management, finance ou commerce international. L’actuel Premier-ministre, Abdelaziz Djerad, avait lui-même dirigé ce centre de formation qui avait remporté plusieurs contrats avec des sociétés étrangères présentes à Alger.
Force est également de constater que chez les Djerad, on aime depuis très longtemps faire dans le mélange des genres puisque l’argent et la politique ont toujours été étroitement liés dans cette famille de l’ex-secrétaire général de la Présidence de la République sous l’ère de Liamine Zeroual. Preuve en est, Hichem Djerad était aussi l’ancien associé à Tebboune Khaled et son frère Tarik Abbas dans la société IGLOBAL COMMUNICATION. Cette société privée avait lancé ses activités depuis le 27 avril 2010 avec un registre de commerce sous le numéro 10B1003649.
Dés son arrivée au pouvoir, Abdelaziz Djerad va faciliter la fructification des affaires de ses enfants. Il est allé jusqu’à négocier le recrutement de son fils Tarek Djerad avec le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar, son protégé, originaire tout comme lui de Khenchela, et l’un des membres les plus actifs de son clan. Effectivement, Algérie Part a été le seul média qui avait révélé que le fils du Premier Ministre a été recruté en juin 2020 à Sonatrach, dans le même service qu’occupe le fils du sénateur Djiar, muté de son poste à la raffinerie de sidi r’cine, vers la Direction Corporate Affairs, au niveau du siège de la direction générale de Sonatrachà Hydra. Décidément, Abdelaziz Djerad est davantage soucieux de l’avenir et du portefeuille de ses enfants que du développement salutaire de l’Algérie.
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