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Bonsoir
BOBIGNY - Le prince saoudien Nayef Bin Fawaz al Chaalan a été condamné par défaut à dix ans de prison par la justice française pour sa participation en 1999 à un vaste trafic de cocaïne. Neuf autres prévenus ont écopé de quatre à dix ans de prison.
M. al Chaalan, qui était absent lors du procès et du jugement, était accusé, sur la foi de témoignages de repentis colombiens, d'avoir importé en France deux tonnes de cocaïne. La drogue serait arrivée dans ses bagages à bord d'un Boeing 727 privé dans la nuit du 15 au 16 mai 1999 à l'aéroport du Bourget, au nord de Paris.
Le prince, réputé francophile, niait toute implication dans ce trafic et un représentant saoudien a indiqué qu'il ferait appel. Il a été définitivement interdit de territoire français, comme les huit autres prévenus de nationalité étrangère.
Le ministère public de la Confédération avait également enquêté sur le prince al Chaalan. Il avait notamment mené une perquisition à la Banque Kanz, dont le prince était actionnaire et président, avait reconnu l'établissement en 2002. La banque, qui a depuis fermé ses portes, avait "démenti formellement toute implication dans les activités illicites visées par ces procédures".
Swissinfo
BOBIGNY - Le prince saoudien Nayef Bin Fawaz al Chaalan a été condamné par défaut à dix ans de prison par la justice française pour sa participation en 1999 à un vaste trafic de cocaïne. Neuf autres prévenus ont écopé de quatre à dix ans de prison.
M. al Chaalan, qui était absent lors du procès et du jugement, était accusé, sur la foi de témoignages de repentis colombiens, d'avoir importé en France deux tonnes de cocaïne. La drogue serait arrivée dans ses bagages à bord d'un Boeing 727 privé dans la nuit du 15 au 16 mai 1999 à l'aéroport du Bourget, au nord de Paris.
Le prince, réputé francophile, niait toute implication dans ce trafic et un représentant saoudien a indiqué qu'il ferait appel. Il a été définitivement interdit de territoire français, comme les huit autres prévenus de nationalité étrangère.
Le ministère public de la Confédération avait également enquêté sur le prince al Chaalan. Il avait notamment mené une perquisition à la Banque Kanz, dont le prince était actionnaire et président, avait reconnu l'établissement en 2002. La banque, qui a depuis fermé ses portes, avait "démenti formellement toute implication dans les activités illicites visées par ces procédures".
Swissinfo
...c'est clair, dans leurs tenues de pingouins et leur barbichettes...ils se ressembles tous 
...
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