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Pour la deuxième fois consécutive, Dhib El Djiane, de son vrai nom Bahri Djilali, 51 ans, condamné à la peine capitale par la cour criminelle de Sidi-Bel-Abbès dans la journée d’hier où il comparaissait pour répondre des chefs d’accusation, instauration de climat de terreur au sein des populations, meurtre avec préméditation et guet-apen, port d’arme prohibé, vol qualifié et appartenance aux groupes armes dans les années 96, 97 et 98. Le témoin principal, en l’occurrence le repenti Miloudi Abdelkader était absent à l’audience de ce procès.
Mais d’après la lecture de l’arrêt de renvoi, ce repenti originaire de Aïn- Aden s’était rendu le 29 avril 1998 aux services de la garde communale et a déposé ses armes, à savoir une kalachnikov et un fusil de chasse. Lors de son interrogatoire le 3 février 1999, celui-ci aurait déclaré avoir rejoint le groupe terroriste activant sous la bannière de Dhib El-Djiane le 11 janvier 1996 et auquel appartenaient Laradji et Boualla. Les principales actions de ce groupe étaient entre autres des faux barrages dans la région de Sfisef (S.B.A). Le repenti aurait évoqué l’implication de Dhib El Djiane dans l’assassinat des trois citoyens dans un faux barrage dressé au croisement des routes de Aïn-Aden et Boudjebaha- Bordj, dans l’assassinat des douze enseignants dont onze femmes, dans le meurtre de Didane Abdelkader enlevé et égorgé le 9 septembre 1995 et le vol de 96 moutons et d’un tracteur. Après la lecture de l’arrêt de renvoi, l’interrogatoire du prévenu, c’était au tour de la défense de ce dernier de plaider demandant tout simplement l’acquittement pour les chefs d’inculpation, instauration de climat de terreur au sein des populations, meurtre avec préméditation et guet-apen, port d’arme prohibée et vol qualifié et la clémence de la cour en ce qui son appartenance aux groupes terroristes. L’avocat du ministère public, quant à lui, a mis en évidence la gravité des faits reprochés et a requis la peine maximale à savoir la peine capitale. Après délibérations, Dhib El Djiane a été condamné à la peine capitale pour la deuxième fois.
Mais d’après la lecture de l’arrêt de renvoi, ce repenti originaire de Aïn- Aden s’était rendu le 29 avril 1998 aux services de la garde communale et a déposé ses armes, à savoir une kalachnikov et un fusil de chasse. Lors de son interrogatoire le 3 février 1999, celui-ci aurait déclaré avoir rejoint le groupe terroriste activant sous la bannière de Dhib El-Djiane le 11 janvier 1996 et auquel appartenaient Laradji et Boualla. Les principales actions de ce groupe étaient entre autres des faux barrages dans la région de Sfisef (S.B.A). Le repenti aurait évoqué l’implication de Dhib El Djiane dans l’assassinat des trois citoyens dans un faux barrage dressé au croisement des routes de Aïn-Aden et Boudjebaha- Bordj, dans l’assassinat des douze enseignants dont onze femmes, dans le meurtre de Didane Abdelkader enlevé et égorgé le 9 septembre 1995 et le vol de 96 moutons et d’un tracteur. Après la lecture de l’arrêt de renvoi, l’interrogatoire du prévenu, c’était au tour de la défense de ce dernier de plaider demandant tout simplement l’acquittement pour les chefs d’inculpation, instauration de climat de terreur au sein des populations, meurtre avec préméditation et guet-apen, port d’arme prohibée et vol qualifié et la clémence de la cour en ce qui son appartenance aux groupes terroristes. L’avocat du ministère public, quant à lui, a mis en évidence la gravité des faits reprochés et a requis la peine maximale à savoir la peine capitale. Après délibérations, Dhib El Djiane a été condamné à la peine capitale pour la deuxième fois.
A. M. (Le soir d'Algérie)
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