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Les législatives déchirent les dirigeants de l’ex-FIS

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  • Les législatives déchirent les dirigeants de l’ex-FIS

    L’ex-n° 1 du parti dissous appelle au boycott du scrutin, alors que Kebir invite au contraire à " voter massivement ".

    Deux ex-dirigeants de l’ex-FIS, Abassi Madani, et Rabah Kebir, ont commis chacun, un communiqué de presse, le premier à l’adresse de notre confrère de la presse arabophone, Djazaïr News, afin de donner leurs consignes de vote en perspective des prochaines législatives. L’ex-n° 1 du parti dissous appelle au boycott du scrutin, alors que Kebir invite au contraire à " voter massivement ".

    L’ex-leader intégriste, considérant ces joutes électorales comme " étant un jeu de diversion et une ruse politique ", estime qu’elles ont pour objectif de faire perdurer " l’impasse politique due à l’absence de la part du pouvoir de quelque réelle intention d’une solution à la crise ".

    Après avoir établi un constat catastrophiste de la situation globale du pays sur les plans social, économique, sécuritaire et celui des libertés démocratiques, il dévoilera finalement les réelles motivations de sa sortie. A savoir, sa déception de se voir définitivement écarté de la vie politique nationale en vertu des dispositions de la Charte portant réconciliation nationale. Le premier responsable de la tragédie nationale des années 90, exprime, en effet, son dépit quant à la Réconciliation nationale que " les équilibres " au sommet, a-t-il estimé, ont " vidé de sa substance ". " Qu’est-ce qu’une réconciliation nationale quand la politique ne signifie pas la recherche de solutions politiques… ? ".
    Il ira même jusqu’à expliquer la récente recrudescence des actes terroristes par " les limites " de son point de vue, de la démarche de réconciliation nationale. Quant à l’ex-président de la dite instance exécutive de l’ex-FIS à l’étranger, Rabah Kebir, son appel au " vote massif ", équivaudrait à " défendre la réconciliation nationale ", mais aussi, a-t-il déclaré, faisant allusion, à ses opposants au sein de la mouvance de l’ex-FIS, " pour réagir envers ceux qui me demandent à moi et à mes proche de démissionner de la politique ". Une position qui s’explique par l’illusion qu’entretient ce chef intégriste de créer son propre parti politique, projet auquel se sont catégoriquement opposées les autorités.

    Kebir, a d’autant plus intérêt à rentrer dans les bonnes grâces du pouvoir, que certains hommes politiques nationaux, dont le Chef du gouvernement, lui-même, lui ont exprimé une “certaine” sympathie.

    - La depeche de Kabylie

  • #2
    Aprés tout ce que le FIS a fait, ces dirigeants osent encore parler????
    On deverait les museler et les découper en petit morceaux au nombre des morts algériens par leurs fautes.

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    • #3
      L’ex-n° 1 du parti dissous appelle au boycott du scrutin, alors que Kebir invite au contraire à " voter massivement ".
      On ne peut que pouffer à entendre LE CHEIKH(?) depuis sa villa qatari se méler des affaires algéro-algériennes. Abbassi boycotte, Kébir soutient, Haddam désavoue les attentats du 11/04, et puis quoi encore? C'est le monde à l'envers wallah! Y a de quoi vouloir se faire bonze!
      ᴎᴏᴛ ᴇᴠᴇᴎ ᴡᴙᴏᴎɢ!

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      • #4
        Belle replique d'un dirigeant de HMS sur eljazeera

        "Cheikh vous avez le droit de vous exprimé mais vous etes en dehors de l'algerie geographiquement et historiquement"

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